Chryséléphantin

plupart des sculptures grecques qui sont parvenues à l'ère moderne sont en pierre, le plus souvent en marbre blanc. Dans l'Antiquité, néanmoins, les Grecs sont loin de favoriser ce matériau. Il est alors en concurrence avec le bronze, la technique chryséléphantine (incrustations d'or et ivoire), mais aussi l'argile et le bois. Le bois[modifier] Le bois est utilisé principalement à l'époque archaïque, pour réaliser les xoana, figures grossières, caractéristiques de la religion pré-olympique. Le plus célèbre

placé Philippe, à sa droite ses parents Amyntas III et Eurydice, à sa gauche sa femme Olympias et son fils Alexandre. Pour sculpter ces statues, Léocharès a utilisé l’or pour les draperies et l’ivoire pour les chairs, ce qui les désignes statues chryséléphantine. Ces statues étaient typiques des images de culte divines comme le culte d’Athéna au Parthénon et de Zeus dans le temple d’Olympie, proche au Philippeion. Comme les fouilles confirment, la construction de l’édifice n’avait pas été commencée avant

demeure d'Athéna Parthenos » — est un édifice situé sur l'acropole d'Athènes. Le Parthénon est consacré à la déesse Athéna, protectrice de la cité et déesse de la guerre et de la sagesse. Il a été conçu tout à la fois pour abriter la statue chryséléphantine de la déesse, Athéna Parthénos, œuvre de Phidias, et pour abriter l'argent de la cité et de la ligue de Délos[2]. C'est probablement le plus connu des monuments grecs classiques. Il a été construit de -447 à -432 par l'architecte Ictinos et

chapitre de théâtre « de la tragédie antique au tragique contemporain » en classe de troisième. Étape 1 : Découverte de la statue de Zeus, par Phidias Doc 1 : Phidias, Zeus, Statue chryséléphantine de Zeus, temple d’Olympie, vers 430 avant JC. Œuvre de Phidias, exécutée vers 430 avant J.-C., la statue chryséléphantine de Zeus, d’une hauteur d’environ 12 mètres, qui trône au cœur du temple de Zeus à Olympie est considérée dans le monde antique comme la troisième des sept merveilles du monde. Statue

le maître d'œuvre, responsable de la décoration sculptée. Ictinos en conçut les plans et Callicratès en exécuta les travaux Phidias (490 à 431 avant J.-C.) : Le sculpteur du « siècle de Périclès » Athénien d’origine Connu pour sa statue Zeus chryséléphantin, une des sept merveilles du monde antique. On appelle « périptère » le temple qui est entouré de colonnes sur chacun de ses côté. L'ORDRE DORIQUE • C'est le plus ancien et le plus simple des ordres grecs. • Colonne sans base, reposant directement

maîtresses, ses attributs sont l'aîgle et la foudre. Cette célébrité est le résultat de l’association de deux grands personnages de la Grèce : Phidias, sculpteur, et Libon, architecte. En effet, le temple, déjà imposant par sa taille, abrite la statue chryséléphantine (plaques d’or et d’ivoire clouées sur une âme de bois) de Zeus de près de 13 mètres que Phidias fabrique dans son atelier proche.(Diapo 7 Statue) Il est construit au Ve siècle Av. JC., entre 470 et 456 Av. JC. grâce aux trésors récupérés par

la cire perdue sur positif (Procédé de moulage à partir d'une sculpture originale en cire). Mais, la plupart des sculptures grecques qui sont parvenues jusqu’à nous sont en pierre, le plus souvent en marbre blanc. Il existe aussi la technique chryséléphantine (incrustations d'or et ivoire), mais aussi l'argile et le bois. Pour ce qui est de l’architecture, la construction des colonnes est basée sur 3 ordres : dorique, ionique et corinthien. Quel est le contexte culturel, social, artistique de l’époque

occidentale puis dans l'architecture classique. II- Le Parthénon comme édifice de cette architecture Qu’est-ce que le Parthénon ? Le Parthénon est un édifice religieux, situé dans la partie sud de l’Acropole d’Athènes, qui contenait une statue chryséléphantine d’Athéna. Il a été construit au milieu du Ve siècle av. JC par l’architecte Ictinos, à l’initiative de Périclès, et sur les conseils de Phidias, auteur de la statue, qui a imposé certains paramètres à l’architecte. Que signifie son nom ? Étymologiquement

- la pyramide de Khéops de Memphis (Gizeh ou Gizâ), en Égypte - les jardins suspendus de Babylone, en Mésopotamie (Irak actuel) - le temple d'Artémis à Éphèse, appelé aussi l’Artémision, en Asie Mineure (Turquie actuelle) - la statue chryséléphantine de Zeus dans son temple d’Olympie (Grèce actuelle) - le tombeau de Mausole, dit le Mausolée, à Halicarnasse, en Asie Mineure (Turquie actuelle) - la statue de bronze d’Hélios, dite le Colosse de Rhodes en Grèce - la tour-fanal de Pharos

vers -490 par l'architecte Théodotos, était un temple dorique hexastyle (6 x 11 colonnes) de 24,30 x 13,20 m, décoré de frontons (Amazonomachie, Centauromachie, prise de Troie) et d'acrotères par le sculpteur Timothéos d'Épidaure. La statue de culte chryséléphantine était l'œuvre du sculpteur Thrasymédès de Paros. Il n'en subsiste que le soubassement et la rampe d'accès, ainsi que deux exèdres. La Tholos : La tholos, œuvre de Polyclète le Jeune, est un temple rond de marbre blanc du milieu