Chryséléphantin

les architectes: Callicratès et Iktinos. Temple dédié à la déesse Athéna. Il fut crée à la seconde guerre médique. Il a servi de dépôt de munitions pendant l'époque turque. Salle des trésors située où l'on dépose les offrandes. Statue d'Athéna: chryséléphantine (d'or et d'ivoire). Frise située dans la partie intérieure (arraché et offert comme cadeau diplomatique). Représente une procession qui avait lieu tout les 4 ans et qui représente les Grandes Panathénée (venant des attiques pour aller jusqu'à

prétexte pour la sculpture. Dialogue, complicité entre la mère et l’enfant. On voit apparaître des sourires, des sentiments. Mais on reste quand même dans l’espace sculpturale. « Vierge de Saint Chapelle » : faite dans de l’ivoire, en matière chryséléphantine. Traits d’humain qui apparaissent. Proportions longitudinales. « Ange aux sourires » : à la cathédrale de Reims. Humanisme, volonté d’élévation. * Volonté d’élévation, apparition de sentiments, plus de mouvements et complicité entre les

touristes. Quant aux agalmata évoquées plus haut, elles constituent une part immense des œuvres qui peuplent nos musées, le Louvre en particulier. Bon nombre de statues du grand Phidias ne subsistent pas, hélas : ainsi la colossale statue chryséléphantine de Zeus, à Olympie ; et le musée national d’Athènes n’offre qu’une réplique en marbre de la fameuse Athéna-Parthénos qui alliait elle aussi l’ivoire et l’or. Sur sa tête, des coursiers au galop figurent la rapidité de la pensée. Mais les frises

Renaissance et le néo-classicisme des le 18e et le 19 e siècle européen. La période classique est aussi l'époque de sculptures monumentales, parfois en bronze (aurige de Delphes), parfois dans des matériaux moins usités, comme les sculptures chryséléphantines (placage d'or et d'ivoire) de Zeus ou d'Athéna, que Phidias a réalisées pour leurs temples respectifs, à Olympie (une des sept merveilles du monde) ou à Athènes. Le second classicisme (vers 370 - vers 330 av. JC) se distingue du premier par un

d’apprendre aux archéologues ? Qu’on t-il fait de cette tablette ? est-il possible de la voir en réalité ? Comment ont-ils déchiffré l’écriture cunéiforme ? ----------------------- [1] avec la pyramide de Khéops à Gizeh, la statue chryséléphantine de Zeus olympien à Olympie, le Temple d'Artémis à Éphèse, le Mausolée d'Halicarnasse, le Colosse de Rhodes et le phare d'Alexandrie. De tous ces monuments, seule subsiste aujourd’hui la pyramide de Khéops. [2] selon l’expression de Jean

La sculpture Deux tendances apparaissent chez les sculpteurs. La sculpture commerciale s'éloigne des thèmes classiques pour restituer l'ambiance contemporaine du sport et de la mode. Demêtre Chiparus s'affirme comme le leader de la sculpture chryséléphantine, qui associe l'or et l'ivoire à différents alliages métalliques. À l'opposé, la sculpture d'avant-garde, fortement influencée par le cubisme, est conçue, comme la peinture, pour s'harmoniser avec le mobilier. Ses représentants sont Miklos, avec

du Péloponnèse, exclusivement bronzier, Polyclète recherche l'équilibre du corps viril au repos d'après une architecture idéale, le « Canon » : le Cyniscos, le Diadumène, le Doryphore, l'Amazone blessée (pour l'Artémision d'Éphèse), la statue chryséléphantine d'Héra d'Argos. |[pic] |[pic] | | |

téménos, un espace sacré délimité, parfois par un mur. -Temple : de Zeus, temple dorique construit au Ve siècle donc temple pas point central dans religion grec, seul les prêtes peuvent rentrer dans temple pour entretenir la statue de Zeus en chryséléphantine. Les fidèles ne rentrent pas L’autel en plein air, sacrifices d’animaux (naissance : un coq, mariage : un bouc, jeux : au moins un bœuf) Sacrifices sanglants seul moment où grecs mangent de la viande (ne mangent pas viande en dehors car c'est

VIIe siècle av. J.‑C.) pour se concilier les dieux laisse place aux sacrifices d'animaux et aux donations en objets de valeur, notamment en or. Dans les temples, la représentation de Dieux en métal précieux perdurera longtemps (exemple la statue chryséléphantine d'Athéna au Parthénon ). « L'argent servait de tribut et n'était pas mis en circulation » 6 . Le dicton égyptien « L’or est le sang des Dieux 7 8 , » fut et reste valable bien au-delà de l’Égypte antique 9. Les sanctuaires sont le lieu d’une

intelligible (Traité 31, Ennéades, V, 8). Elle trouve sa source dans la distinction que Platon propose entre l’imitation première et le simulacre. Plotin prend l’exemple du sculpteur athénien du v° siècle av. J.-C. Phidias (~490-~430) et sa statue chryséléphantine de Zeus à Olympie. Selon Plotin le sculpteur imitait directement le Dieu lui-même. Force est de reconnaître qu’une telle conception promeut l’artiste. Elle eut son heure de gloire à la Renaissance. Par exemple La Vénus et l’organiste du Titien