Cinémathèque française

études de pharmacie, qu'il abandonne après avoir quadruplé sa première année[12]. C'est le cinéma qui lui sourit : il entre à la Fox (en 1955) comme attaché de presse[8], tout en agissant comme critique de cinéma dès l'aurore de la Nouvelle Vague française, aux côtés de François Truffaut et Jacques Rivette, ses collègues aux Cahiers du cinéma. De 1953 à 1957[6], dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs

publics administratifs); l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, le Centre national d’études spatiales (établissements publics industriels et commerciaux), l’Institut national du cancer (groupement d’intérêt public) et la Cinémathèque française (association). Des opérateurs qui contribuent pleinement à la performance des finances publiques Si la LOLF stricto sensu ne modifie pas le cadre juridique applicable aux opérateurs, ces derniers contribuent à la mise en œuvre d'une politique

orfanato » est le premier long-métrage de Juan Antonio Bayona. Pourtant lors de son visionnage on a peine à le croire tant le jeune réalisateur y fait preuve d’une maîtrise incroyable, et ce, de bout en bout. J’ai découvert ce long-métrage à la Cinémathèque Française où il était projeté en avant-première dans le cadre de la reprise de certains films présentés à « La semaine de la critique » du festival de Cannes 2007. Bien m’en a pris, d’une part car le film est une pure merveille et d’autre part car sa

Populaire de France et des Colonies. Durée : 43 minutes et 32 secondes. Noir et blanc. 1939 : La Règle du jeu. Réalisation : Jean Renoir. Assistant réalisateur : Henri Cartier-Bresson, André Zwobada, Carl Koch. Production : La Nouvelle Edition Française. Durée : 112 minutes. Noir et blanc. 1944 - 45 : Le Retour. Production : U.S Army Signal Corps, Captain G. Krimsky and Office of War Information (OWI), Norma Ratner. Conseiller technique : Henri Cartier-Bresson (Stalag VC), avec le concours du

revivre Hulot dans Mon Oncle (1956), qui sera son premier film en couleur. Il décide de faire de Hulot un oncle, pour qu’il soit proche de la famille, et que l’enfant soit attiré vers la liberté. Il raconte dans son film les révolutions de la société française d’après guerre et traite la question de l’architecture, qui est en pleine essor à cette époque. Il le fait à travers un personnage solitaire, plein de bonne volonté mais inadapté à la modernisation des techniques de travail (on le voit bien lorsqu’il

à   Beaubourg,   dans   le   centre   Georges   Pompidou.   Ouverte  tard  le  soir.     La  Cinémathèque  Française,  au  métro  Bercy.  4  salles  de  projections.   Une   bibliothèque,   payante.   Animations,   expositions...   Partenariat   avec  la  cinémathèque.     Le   Forum   des   Images,   au   forum   des   Halles  :   porgrammation   régulière,  

expressionnisme Atmosphère propice à l’expérimentation du cinéma expressionnisme. * Approche esthétique & sociale 2. Approche culturelle & esthétique : Lotte EISNER, cinéaste et historienne : * Va Travailler à la cinémathèque française avec Henry LANGLOIS * L’écran démoniaque en 1952 * L’expressionnisme prend ses racines ds l’âme allemande : Goût du clair obscur, goût des fantômes, des ombres. * Crée une continuité de l’inscription de ce mvt ds qq ch

l'émotion qui tient une part importante dans les travaux du réalisateur. "Le cinéma-vérité ce n'est pas la vérité au cinéma, mais la vérité du cinéma, c'est à dire, une fois de plus la vérité du trompe l’œil". Dans un de ces entretiens à la cinémathèque française avec Raymond Depardon, Rouch revient sur ses propos et tente de les illustrer par son film Les maîtres fous. Durant le tournage de la cérémonie de possession des Houkas, il devait remonter sa caméra de manière fréquente. Cela lui donnait

direction de Gérard CLADEL, Kristian FEIGELSON, Jean-Michel GEVAUDAN, Christian LANDAIS et Daniel SAUVAGET LE CINEMA DANS LA CITE Kiron- Edition du Félin, 2001, 240 pages Cet ouvrage a été rédigé à la suite d’un colloque organisé à la Cinémathèque française en Novembre 2000. C’est un recueil de différents auteurs (sociologues, urbanistes, historiens, économistes) sur les relations de la salle de cinéma à la ville. Ils donnent ensemble un bilan des politiques publiques en France et ouvrent le

exister dans l'oeuvre de Cocteau. Il est partout dans "Le Cap de Bonne-espérance" (7). Il s'est infiltré dans les vers de "Plain-Chant". Il est dans "Opéra" (Henri Langlois [1914-1977], l'un des créateurs, avec G.Franju et P.A. Harlé, de la cinémathèque française). Mais si "Le Sang d'un Poète" - ce "documentaire réaliste d'évènements irréels" (8) - resta la curiosité des psychiatres (9), son deuxième film, "La Belle et la Bête", réalisé en 1945, fût, en revanche, un enchantement visuel pour les