Clozapine

Les délires tardifsLes délires tardifs Élaboré et présenté par : Lynda Ben AmmarMariem BouchendiraService de Consultation Externes et d’urgence de l’Hopital Razi , La ManoubaIntroductionLa vieillesse est une phase de la vie vulnérable à l’apparition ou à l’exacerbation de troubles psychiatriques.De part leur caractère atypique , les troubles psychiatriques sont souvent difficiles à différencier de la vieillesse ou des maladies somatiques.définitions- Délirer: étymologie: sortir du sillon-Un délire:

Hyperprolactinémie, et de nombreux autres.Ces effets dépendent de la sensibilité de la personne et s'atténuent parfois avec le temps, sinon par la prise de médicaments complémentaires. * Rares : colites ischémiques (surtout les phénothiazines, mais aussi le clozapine, l'olanzapine, la rispéridone). La prescription des neuroleptiques est formellement contre-indiquée chez les enfants. Le Dr David Graham, qui a sonné l'alarme sur le Vioxx, a déclaré au Congrès que les neuroleptiques atypiques comme le Zyprexa tuent

dyskinésie tardive, un trouble moteur. Les antipsychotiques récents se révèlent également utiles dans le traitement du trouble bipolaire. Ils comprennent l’olanzapine (ZyprexaMD), la rispéridone (RisperdalMD), la quétiapine (SeroquelMD) et la clozapine (ClozarilMD). L’action de ces nouveaux médicaments s’apparente peut-être à celle des psychorégulateurs. Les recherches se poursuivent en vue de déterminer s’ils peuvent traiter non seulement la manie, mais également la dépression, et prévenir de

voie sublinguale, 2 gouttes par jour le soir -> antispasmodique, douleurs aux ventres, vessie LORAZEPAM, TEMESTA 1mg en cp per os 3x/j 1cp le matin, 2cp le midi et 2cp le soir mais aussi deux cp si besoin -> anxiolytique pour son anxiété CLOZAPINE 100mg en cp per os 0.5cp le matin et 3cp le soir -> antipsychotiques (idées délirantes) VENLAFAXINE (CHLORHYDRATE) 75mg en gél LP per os 1x/j, deux cp le matin -> antidépresseur Autres prescriptions : VAD hebdomadaire Suivi IDEL 2x/j pour

engendre des mouvements anormaux de la langue, de la bouche et du corps. Elle est problématique dans le sens où elle ne disparaît pas à l’arrêt du traitement et qu’il n’existe aucun traitement pour la soigner. Il a cependant été démontré que la Clozapine a des avantages supplémentaires par rapport aux autres antipsychotiques. Elle conduit à une rémission complète des symptômes dans certains cas, ainsi qu’à une amélioration au niveau des symptômes négatifs (idées suicidaires, dépression). Les antipsychotiques

ne répondent pas aux médicaments antipsychotiques traditionnellement prescrits, mais obtiennent de bons résultats avec certains des médicaments plus récents. L’un de ces médicaments, la clozapine (Leponex®), peut affaiblir le système immunitaire. Il est donc important que les personnes qui prennent de la clozapine subissent régulièrement des analyses de sang pour contrôler le nombre de leurs globules blancs. En association avec les antipsychotiques, le patient bénéficie souvent de traitements pour

augmenter les effets et la toxicité de la clozapine. Des doses de caféine de 400 1000 mg par jour inhibent le métabolisme de la clozapine. La clozapine est métabolisée par le cytochrome P450 1A2 (CYP1A2). Les chercheurs supposent que la caféine pourrait inhiber le CYP1A2. Mais il n'y a aucune preuve fiable que la caféine affecte le CYP1A2. On pense aussi que des facteurs génétiques pourraient rendre certains patients plus sensibles à l'interaction entre la clozapine et la caféine. Théoriquement, la caféine

thymorégulateurs ou stabilisateurs d’humeur, Lithium (anciennement), carbamazépine et le valproate (antiépileptiques) stabilisent l’humeur. La lamotrigine (nouveau antiépileptique) semble avoir un effet favorable sur les sautes d’humeur. Les antipsychotiques (clozapine, olanzapine, quétiapine et respéridone) sont utilisés en cas d’épisode maniaque aigu. Certains de ces médicaments améliorent l’humeur pendant une phase dépressive et ont aussi des propriétés thym régulatrices. Les neuroleptiques classiques sont parfois

c'est un syndrome parkinsonien qui ne répond pas au traitement dopaminergique. Son traitement repose sur l’arrêt du neuroleptique s'il est envisageable, voire parfois sur la substitution au neuroleptique en cause d'un neuroleptique dit atypique (Clozapine) moins pourvoyeur d'effets indésirables moteurs. Dans quelques cas néanmoins, l’apparition d’un syndrome parkinsonien à l’occasion d’une prise de neuroleptiques peut correspondre en fait à la révélation d’une authentique maladie de Parkinson jusqu’alors

de médicaments de deuxième ligne demeure le lithium + le divalproex. Les options de troisième ligne destinées aux patients réfractaires au traitement, incluent l’addition de la cariprazine en monothérapie ainsi que de la chlorpromazine, de la clozapine et de l’oxcarbazépine. Cependant, la cariprazine n’a pas été approuvée par Santé Canada. La mise à jour de 2013 recommande également d’envisager d’utiliser des agents nouveaux/expérimentaux, tels que la zotépine, le lévétiracétam, la phénytoïne