Colique néphrétique

  Les analgésiques, antipyrétiques ,antispasmodiques ont pour indications:         ­ traitements symptomatiques des affections  fébriles et/ou douloureuses       ­ traitements des douleurs modérées à intense       ­ Colliques hépatiques et coliques néphrétiques    Les différentes voies d’administration sont         ­ Formes orales       ­ Formes injectables      Surveillance standard du médicaments:      ­  Risques  de  constipationn  nausées  et  somnolence,  rare  réaction  cutanées,  vomissements

liposolubles, aliments indispensables chez les enfants en pleine croissance. Ils doivent être présents à chaque repas et même au goûter, notamment chez les personnes âgées atteintes de décalcification. Par contre, chez les personnes sujettes aux coliques néphrétiques, leur apport doit être raisonnable. Groupe 2 : Viandes - Poissons - Oeufs Appartiennent à ce groupe les viandes, les poissons, le jambon, les volailles et les œufs. Ces aliments apportent principalement les protéines animales et les acides

(phosphate d’aluminium) - parfois effet rebond à l’arrêt du traitement Précautions - à prendre après le repas - nécessité d’un intervalle de 2h ou plus avant la prise de tt autre médicament LES ANTISPASMODIQUES Indications - coliques hépatiques et néphrétiques - spasmes digestifs douloureux - douleurs spasmodiques d’origine utérine LES ANTISPASMODIQUES ANTICHOLINERGIQUES Atropine*(atropine) - Scoburen*(scopolamine) - Viscéralgine*(tiémonium) Mode d’action - bloquent les récepteurs

convulsive convulsion détresse respiratoire Enfant de 2à 12 ans 45cas médicaux 23cas chirurgicaux thalassémie majeure ostéomylite fracture supracondylènne colique intestinale méningite (a et b) pneumopathie hernie rhumatisme articulaire aigu laryngite vomissement amaigrissement syndrome néphrétique amygdalectomie érysipèle abcès appendiculaire crise d’asthme gastro-entérite purpura brûlure des membres inférieurs appendicectomie diabète acite adénopathie cervicale

individuels et 20 doubles Les pathologies les plus fréquemment traitées dans ce service sont les chirurgies de la prostate (résection transurétrale de prostate, prostatectomie, une adénectomie de la prostate…) et de la vessie (pyélonéphrites, coliques néphrétiques,…) Dans cette unité de la chirurgie, on trouve un chef de service, 4 urologues, 2 internes, 7 aides soignantes, et 8 infirmières dont 3 IDE le matin, 3 IDE l’après midi et 2 IDE la nuit. Ma situation implique Mr D, un patient de 38

qu’un examen de la bandelette urinaire est également effectué. Mr P. accompli par la suite un examen radiologique abdomino-pelvien ainsi qu’un examen échographique abdomino-pelvien et un ASP qui confirmeront ou infirmeront le diagnostic de coliques néphrétiques posé par le médecin urgentiste. Une fois tous les examens complémentaires accomplis, le chirurgien Urologue de garde vient voir Mr P. et sa femme dans le box où ils patientent. Il leur explique la nécessité d’une hospitalisation durant

auto-pousseuse. Oxygénotthérapie. Colique néphrétique : La formation de calculs dans l'arbre urinaire, en majorité le haut appareil urinaire. Les calculs sont des concrétions pierreuses formées par des matières qui sont normalement en solution dans l'organisme. Risque d'une grosse dilatation du rein Signes cliniques Douleur aiguë lombaire avec irradiation dans les cuisses lié à l'hyperpression, cette douleur est nommée colique néphrétique Colique néphrétique : Syndrome douloureux lombo-abdominal

avant même que ceux-ci soient vus par les médecins et donc qu’une prescription soit rédigée. Concrètement cela voulait dire faire une bandelette urinaire à un patient présentant des douleurs abdominales aigues(pour aider au diagnostic de la colique nephretique), un ECG pour des douleurs thoraciques, poser un cathéter au moins obturé pour la plupart des patients en même temps que la réalisation d’un bilan sanguin générique (Un tube d’hémostase de biochimie et d’hématologie) et tout cela sans prescription

de la pompe à proton I : ttt des reflux oesophagiens EI : douleurs abdominales, constipation, céphalées S : Transit, EVA *Spasfon C : antispasmodique I : manifestations douloureuses au niveau du tube digestif, de l’utérus ou coliques hépatiques et néphrétiques EI : rares réactions cutanées S : EVA, douleurs digestives *Lovenox D : 4000UI P : 1/J C : anticoagulant I : ttt préventif de la phlébite EI : thrombopénie, saignements S : BS coagulation, NFS, TA, risque hémorragique *Xanax

microcristallines (goutte). 2) Autres indications - Néonatologie : fermeture du canal artériel - ORL et stomatologie - Traumatologie - Gynécologie (dysménorrhées) - Phlébologie (phlébites superficielles) - Urologie : traitement de la colique néphrétique - Cancérologie : douleur ; hypercalcémies - Cardiovasculaire : prévention d’accidents ischémiques (action antiplaquettaire). f. Effets secondaires : * ils gênent l'agrégation plaquettaire et