Colloque de Poissy

remèdes à la crise financière. Les Etats généraux de Pontoise : Au cours des Etats de Pontoise, proposition est faire de vendre une partie des biens du clergé pour rembourser la dette. Finalement, l'assemblée du clergé accepte de signer le Contrat de Poissy par lequel le clergé offre en don gratuit 1 600 000 livres par an pendant 6 ans. Cette concession n'empêchera pas le roi, poussé par la ,nécessité, de procéder à plusieurs reprises à des ventes massives des biens du clergé. b) L'échec de la mise

face aux convictions ancrées des catholiques et aux protestants et à la haine qu’ils se vouaient, Michel de l’Hôpital ne pu rien et ne réussit pas à les réconcilier, ou tout du moins à faire en sorte qu’ils se tolèrent. Après l’autre échec du Colloque de Poissy de 1562, Michel de l’Hôpital est quelques temps oublié par la régente mais face à la crise financière grave, il est rappelé et conseille le roi Charles IX pour la rédaction de l’édit du 13 mai 1563. En effet, pour pallier à ces graves difficultés

À l'origine Colloques, du latin colloquium, désigne des conférences religieuses tenues dans le but de discuter un point de doctrine ou de concilier des opinions diverses. Par extension, il désigne des conférences de spécialistes (scientifiques). Parmi les principaux colloques, on cita dans les premiers temps du Christianisme : * Colloque de Cascar en Mésopotamie, entre l'évêque Archélaus et Manès ; * Colloque de Carthage, entre Saint Augustin et les Donatistes ; * Colloque de Marbourg (1529) ;

attribué. Elle créera de nombreux édits qui s’enchaineront années après années et qui seront en majorité tousses des échecs. En voici quelques un. En 1560, édit de Romorantin, où sont interdites les condamnations à mort pour hérésie. En 1561, colloque de Poissy s’agissant d’une réunion entre les deux camps, qui s’avèrera à être un échec à cause d’une difficulté à s’entendre. En 1562, édit de Saint-Germain-en-Laye qui permettra la liberté de culte aux protestants à condition qu’ils rendent les lieux

était hostile, évolue et tend à faire réunir sa population car la situation sur le territoire devient pesante. Le Gouvernement mène alors une politique plus apaisante. Afin de pallier à ces déchirements on tente divers rapprochement tel que le colloque de Poissy en 1561 ou le fait de donner quelque peu de libertés aux protestants ou encore le mariage de Henri de Navarre, protestant, avec la sœur du roi, une catholique (Marguerite de Valois), Pourtant rien de se passe comme prévu. En effet, à chaque

religions. Catherine de Médicis fit appel à lui pour calmer les velléités entre les catholiques et les protestants. Mais la haine qu’ils se vouaient ne lui permit pas de réussir cette mission. Il finit par tomber aux oubliettes suite à l’échec du colloque de Poissy en 1562. C’est une crise financière grave qui lui permet de revenir sur le devant la scène en tant que conseil de Charles IX pour la rédaction de l’édit du 13 mai 1563 autorisant la vente des biens de l’Eglise. Il est aussi conseil pour la rédaction

se sentant menacés, s’arment, commencent à fortifier les V ss leur contrôle, et même à y interdire le culte catho. Novembre 1561 : Synode de Saint-Foy crée une orga militaire protestante et désigne leur chef de guerre. La régente autorise le colloque de Poissy (conférence religieuse) pr essayer de maintenir l’unité religieuse et éviter la guerre. 12 ministres protestants exposent leur doctrine face à des clercs catholiques : confrontat° = échec Année 1561 = apogée protestantisme en France : 2 millions

2) La monarchie entre tolérance et répressiona) La politique de modération (1560-1562): Michel de L’Hospital, le colloque de Poissy, la tolérance couverte→ Michel de l’Hospital (1505-1573), humaniste, chancelier en 1560, c’est le garde des sceaux et le chef de la justice, c’est le deucième personage après le roi,favorable à une « tolérance couverte » vis-à-vis des protestants

par Catherine de Medicis qui est beaucoup plus tolérante et qui va gracier Louis de Condé. Catherine de Medicis tente de mener un politique de tolérance et elle fait reunir un grand colloque en 1561 a Poissy pour tenter de trouver un terrain d'entente entre protestants et catholiques. Mais c'est jsutement a ce colloque que l'on va se rendre compte qu'il n'y a pas de compromis possible entre les deux dogmes. Conséquence = en 1562, l'Edit de St Germain va officiellement reconnaitre le protestantisme

sa critique des préjugés, et, en tout premier lieu, de l'ethnocentrisme [en pleine époque des guerres de religion!]. D'ailleurs, ouvert au dialogue, il déplora comme Ronsard, mais en des termes choisis l'échec de la tentative oecuménique du Colloque de Poissy (1561): «Combien de querelles et combien importantes a produit au monde le double du sens de cette syllabe, Hoc!». Conseiller au Parlement de Bordeaux de 1557 à 1570, Montaigne y rencontre Étienne de La Boétie qui sera son ami jusqu'à la