Comices curiates

et qui comporte un droit de vie ou de mort sur les soldats et ce sans recours au peuple. C’est un pouvoir très large. Lorsqu’il est exercé a l'intérieur de la cité, cet impérium concerne l'activité politique avec tout d'abord la convocation des comices (assemblées) vote des lois, également réunion du sénat. Des pouvoirs assez larges, large différence avec Athènes ou les assemblées n'étaient pas convoquées et étaient libre de leur ordre du jour. Egalement pouvoir judiciaire aux mains des magistrats

l’investiture sacrée ou droit d’auspicium. C’est cette investiture venue des dieux qui donne sa légitimité au pouvoir. Aucun acte royal n’est en effet valable sans une prise d’auspices. Mais le roi sollicite une autre légitimité. Il demande aux comices curiates de l’acclamer. Le peuple, populus, naît. Déjà, Tarquin l’Ancien a augmenté le nombre des patres de cent nouveaux membres, d’origine non noble et pour beaucoup étrusques. Mais c’est surtout l’œuvre de Servius Tullius qui va donner un rôle au

effectué. Tout individu libre possédant des droits civils et politiques peut voter et défendre sa patrie. De ce système découle une nouvelle organisation sociale. Plus on paie d’impôts, plus on a de droits. Elle va s’exprimer politiquement : comices centuriates = assemblées politiques. Nouvelle organisation de l’armée en centuries qui va marquer le parallélisme entre les droits civils et les droits militaires. Votent et vont au service militaire ; en sont exclus orphelins, affranchis, esclaves

« leges » : Il y a à Rome deux types fondamentaux de loi : → Les « leges rogatae » (= les lois demandées) : Dans le contexte de la république, à coté du sénat aristocratique ont été mise en place des assemblé républicaine, ce sont les « comices ». Les comices réunissent le « populus » c'est à dire le patriciat plus la plebs. La république romaine est fondée sur l'idée que Tarquin a été chassé pour rééquilibrer le pouvoir devenu dictatorial et le rendre au peuple. Un peuple c'est une population

publics ou de ceux des particuliers, on est fidèle, à cause du serment que l’on fait. On a donc sagement établi la crainte des enfers ; et c’est sans raison qu’on la combat aujourd’hui ; » (Polybe, livre VI), [M]. Livre IV, lettre XVIII. La loi curiate donnait la puissance militaire, et le sénatus-consulte réglait les troupes, l’argent, les officiers, que devait avoir le gouverneur : or, les consuls, pour que tout cela fût fait à leur fantaisie, voulait fabriquer une fausse loi et un faux sénatus-consulte

magistrats qui réunissent les comis, donc un consul ou un préteur. Dans la réalité la participation au comis est faible, beaucoup de gens habite loin du centre-ville et ne se déplace pas aux assemblée. Ces « comis », il y en a 3 types : - les « comis curiates » : comis les plus anciens qui n’auront quasiment plus d’importance à partir du 4ème s av JC, ils n’auront plus que des attributions résiduelles. - « comis centuriates » : c’est l’assemblée par excellence. Elles sont constituées par des « centuris »

aux mains des pater familias qui, héréditairement, le cultivaient ; d'où l'appropriation définitive de ce sol. La terre ne pouvait pas sortir de la gens. Deux fois par an se faisait la désignation des héritiers, devant tout le peuple dans les Comices curiates. Une fraction considérable des terres était concédée à titre précaire à des clients qui se plaçaient sous le patronage du pater familias. Le client recevait une terre et la gens y gagnait un cultivateur. Patriciens et clients cultivaient leurs

également juge dans une autre institution, dénommée héliée. Des citoyens, tirés au sort, en formations de 200 à 2000 selon l’importance et la gravité des affaires, constituaient une assemblée de jurés, une vaste cour de justice populaire. A Rome, les comices, réunions des citoyens, assemblées du populus, votaient les lois portées, présentées, par les magistrats, consuls ou préteurs. Ils jugeaient également les citoyens déjà condamnés par la justice du consul : la procédure de la provocatio ad populum

siècle. b. Les organes de gouvernements « La royauté à Rome est une république aristocratique » Le roi : La fonction est non héréditaire, il est proposé par le sénat après consultation des dieux et élus par l’assemblée des 30 curies (les commis curiates). Le roi est le chef viager de la religion, de l’armée, de la justice et du sénat. A partir du VIème siècle, les insignes royaux sont ceux des dieux cet a dire la toge pourpre, la couronne d’or, le sceptre, la chaise curule et les faisceaux portée

traitée, ces assemblées sont des comices (comices curiates: les citoyens sont réunis en 30 curies et en fonction de leur gentes, groupe de famille, les chefs de famille dirigent l’assemblée; comices centuriates: elles jouent un rôle essentiel, les citoyens sont répartis en fonction de leur richesse en 193 centuries, elles votent les déclarations de guerres et ratifient les traités, elle votent les lois jusqu’au IIIème siècle et jouent un rôle judiciaire; comices tributes: répartition en fonction