Compulsion de répétition

le désir de tout maîtriser , de tout contrôler avec une valorisation narcissique de la minceur . C° la boulimie elle se caractérise par la répétition de crises boulimiques . il s'agit d'absorption massive, en un temps tres court , d'aliments non choisis , sans plaisir , ni faim , ni rassasiement, suivie de vomissements . on parle aussi de compulsion alimentaire " frénétique" , qui ressemble à la crise boulimique , mais les aliments sont choisis , avec une connotation de plaisir . cet accés

Internet n’est pas source d’un comportement pathologique. Il s’agit davantage d’un comportement se rapportant à de la compulsion. Comprendre cette distinction permet de mieux saisir les solutions. Comme Internet n’est pas une véritable source de dépendance, la désintoxication ne sera pas nécessaire pour libérer le corps de ce besoin incessant de combler un manque. La compulsion recherche plutôt une satisfaction et des sensations intenses. Supprimer Internet complètement n’est pas une solution en

Aristote et les concepts psychanalytiques de « l’effet après coup » et de la répétition parYorgos Dimitriadis Psychiatre, psychanalyste, Ex-Psychiatre des Hôpitaux, Docteur en psychopathologie et psychanalyse, Université Paris VII Diderot. Campus Paris Rive Gauche Bâtiment Olympe de Gouges Ce qui se réalise dans mon histoire, n’est pas le passé défini de ce qui fut puisqu’il n’est plus, ni même le parfait de ce qui a été dans ce que je suis, mais le futur antérieur de ce que j’aurai été pour

patients de Freud font des rêves traumatiques : ce sont des rêves qui répètent une scène qui a provoqué le trauma du patient, et qui provoque le même effroi. Freud appelle ça la « compulsion de répétition », qui a un sens, et qui, une fois effectuée, permet de retourner au principe de plaisir. Cette compulsion de répétition répond à un besoin de rétablir un état antérieur, qui est la fonction de l'appareil psychique, qui cherche toutes les solutions pour avoir le moins d'excitations possible et de maintenir

désirs refoulés. Il s'agit d'un jeune homme de trente ans, juriste, intelligent et sympathique. Sur les conseils d'un ami proche, il vient consulter Freud, dont il avait lu Psychopathologie de la vie quotidienne. Il se plaint d'obsessions et de compulsions qui lui ont fait perdre plusieurs années dans sa carrière. Entre autres choses, il redoute depuis quelques temps qu'il n'arrive malheur à son père et à une femme qu'il aime avec dévotion. Dès la première séance, il raconte la scène infantile, que

| Trouble bipolaire | Épisode manique : * Augmen. estime de soi + idées de grandeur * Réduction besoin de sommeil * Désir parler constant * Fuite des idées, pensées qui défilent * Déficit de l’attention * Agitation psychomotrice * Compulsion épicurienne | Bio : GénétiquePsycho : Stress | PharmacothérapieThérapie psychologique : TCC, groupe, psychanalytiqueHospitalisationélectroconvulsivothérapie | Troubleanxieux | Trouble panique | * Attaques de panique récurrentes : palpitations

un langage par le corps. Pour Freud, il s'agit là d'une représentation, d'une « pantomime » (14), d'un mode de figuration équivalent à celui du rêve. C'est d'ailleurs à propos du rêve (15) qu'il note que la multiplication est une figuration de la répétition - ce qui évoque aussi qu'un élément refoulé est « fréquemment représenté par une série infinie » (16). Ainsi l'hystérie apparaît comme mise en scène. Celle-ci serait-elle donc ravissement pour autant que l'hystérique chercherait à ravir et à être

d'un produit il s'agit d'un être humain, de sentiments forts, médiatisés, valorisés, idéalisés, comme "passion, "dévouement" "amour", "tristesse" (= manque), émotions qui ressenties uniquement sur le plan physique dans le cas d'un produit ou d'une compulsion matérielle envahissent ici le champ affectif et humain. - Telle jeune femme victime du despotisme possessif de sa mère, qui décidait, pensait et ressentait à sa place, n'hésitant pas à gérer son quotidien bien après l'âge adulte... Mère oubliant

d’Au-delà du principe de plaisir, départ de la mère : déplaisir, transformé en jeu : plaisir). Le petit garçon à travers ce jeu va métamorphiser à ce jeu de va et vient plutôt que d’être désespéré quand sa mère s’on va. Il transforme en jeu par la répétition d’une situation de déplaisir (le départ de la mère) pour le transformer en situation de plaisir, en jeu. C‘est moi qui tiens la ficelle et je décide quand je veux quand je lâche. Freud met hypothèse que le sujet qui subit passivement un événement

Le transfert vient de la névrose de transfert telle que la définit la psychanalyse : « processus par lequel les désirs inconscients s’actualisent sur certains objets dans le cadre de certains types de relations établies avec eux… Il s’agit d’une répétition de prototype infantile vécue avec un sentiment d'actualité marquée » in Vocabulaire de la psychanalyse de Laplanche et Pontalis. Le transfert est supposé se porter sur celui qui est sensé savoir. Lacan dit « qu’il n’y a d’amour que de l’amour