Contre Aristogiton Démosthène

Texte 3 : Démosthène, Contre Arisotgiton : Nature du texte : Plaidoyer politique c’est à dire une intervention orale dans un procès politique, contre un sycophante appelé Aristogiton. C’est l’un des 2 premiers plaidoyers de Démosthène contre Aristogiton Auteur : Né à Athènes en 384 et mort en 322 : mêmes dates qu’Aristote Au décès de son père, il hérite d’une petite fortune mais ses tuteurs détournent une partie de son héritage et c’est en vue du procès que Démosthène s’est intéressé

soutient le contraire. L'esprit a besoin d'une méthode pour enseigner le sublime. La nature ne se laisse pas conduire au hasard même dans un récit sublime et pathétique. Il ne faut pas abandonner le sublime à la nature téméraire et ignorante. 2. 3 Démosthène dit que ce qui peut nous arriver de plus impirtant dans la vie est d'être heureux. Mais il faut aussi savoir se conduire avec prudence. L'art prend soin de conduire la nature dans les discours. 3.1 Les phrases alambiquées troublent le discours

Stratagème qui l'oblige à s'exiler de nouveau. Puis il revient au pouvoir, par les armes cette fois, jusqu'à sa mort. Il a eu deux fils : Hippias (qui lui succède jusqu'en -510) et Hipparque (assassiné en -514 par deux hommes célèbres, Harmodios et Aristogiton, qui se disent tyrannoctones). De -510 à -507 : période de troubles. -507 : réforme de Clistème qui met en place les lois de démocratie. Règne de Pisistrate est une période d'épanouissement, de développement économique pour Athènes (premières monnaies

prospérité. Les sources le présentent comme un bon tyran. B) Le nouvel âge d'or a. une tyrannie démocratique    La tyrannie de Pisistrate est relativement modérée. Pisistrate, aristocrate lui-même, a pris le pouvoir au nom du peuple et a lutté contre les autres aristocrates. Il profite de leurs divisions et rencontre donc rarement une solide opposition. En cas de réelle hostilité, il recourt au bannissement ou à la prise d'otage. Mais il essaie de se concilier la plus part des nobles, en les nommant

Cependant, les Romains n’ont pas attendu, pour penser, de s’imprégner de la pensée grecque comme ils le feront surtout après la troisième et dernière guerre punique et les guerres qui suivirent –  en Orient contre Philippe V de Macédoine, Antiochus III de Syrie et, de nouveau en Macédoine, contre Persée. L’organisation civile, militaire et juridique de Rome lui est propre, antérieure aux leçons de la Grèce. Du reste, bien différents sont un Grec et un Romain : le premier, homme de mer (ce qui permit

rarissimes : la Thessalie, la Béotie. Les terres sont de dimensions réduites et les sols sont pauvres. On est souvent obligé donc de réduire la culture des céréales au profit de la vigne et de l'olivier. Le vin et l'huile d'olive étant échangé et exporté contre du blé.    La Grèce, pays pauvre est donc dépendante de l'extérieur.          4) Conséquences politiques de ces conditions naturelles.    Un grave problème d'approvisionnement, raisons pour laquelle des grecs ont quitté leur terre natale de grès

même s’il ne faut pas oublier qu’Athènes fut une démocratie d’assemblée quand nous pratiquons des démocraties parlementaires. Ces hommes politiques actuels sont dans la lignée de leurs devanciers : Clemenceau, pour sa part, aimait à s’identifier à Démosthène. En 1924, P. Valery fait paraître dans la Revue universelle, un article intitulé Mais qui est européen ? Pour lui, les seuls pays européens sont ceux qui ont été soumis à la triple influence de la Grèce, de Rome et du christianisme. De fait,

qui s'appelle l'Héliée. Ce tribunal est composé de 6000 juges tirés au sort parmi les citoyens, pour Solon en effet, tout citoyen qui s'estime lésé par un magistrat pourra saisir un tribunal qui tranchera l'affaire. Ici encore il s'agit de lutter contre l'arbitraire des eupatrides qui conservent la haute main sur les magistratures. Donc toute la politique de Solon n'a qu'un seul objectif, briser les privilèges eupatrides. B) L'atteinte aux privilèges politiques des eupatrides Les institutions

meilleurs sentiments cet interlocuteur qui méprisait sacrifices, prières et divination, un comportement qu'on peut considérer comme la conséquence extrême des critiques que Platon met dans la bouche de Socrate aux livres II et III de la République contre la représentation traditionnelle des dieux. Si les dieux sont bons et ne sont pas sujets au changement, à quoi bon leur offrir des sacrifices, leur adresser des prières et s'inquiéter de leurs intentions par l'intermédiaire de la divination ?

crainte des ennemis tient les sujets en devoir. Prévoyance du jeune Scipion. Résolution de la question. Conclusion. [Les] gens de métier [sont] inhabiles à la guerre Chapitre VI. De la sûreté des alliances et traités entre les Princes : Ligue contre la France. La foi des alliés. S'il faut garder la foi aux ennemis de la foi. La perfidie couverte par nouveau traité ne se doit pas répéter. La foi donnée aux brigands et pirates doit être gardée LIVRE SIXIÈME Chapitre I. De