Contremaître

grandes aires culturelles : Maghreb (regroupant les personnels marocains, tunisiens et algériens) et Afrique Noire (Mali, Mauritanie, Sénégal) 2. En tant que consultant en management interculturel, quels conseils donneriez-vous à un nouveau contremaître arrivant dans cette entreprise et se préparant à gérer une équipe de nettoyage, compte tenu de l’analyse des attentes des salariés liées à leurs conceptions culturelles ? 1. À partir des extraits des propos des salariés, mettez en évidence les

pratiqué notamment par Ford avec le fordisme. Mise en application du taylorisme : Organisation du travail. Avant que l’idée fleurisse dans la tête de Taylor, l’organisation du travail était caractérisée par deux catégories d’acteurs : - les contremaîtres, qui disposaient d’une complète autorité, - les ouvriers, qui travaillaient dans une totale autonomie, leur compétence technique étant encore irremplaçable. Au cours de la seconde moitié du 19ème siècle, la révolution industrielle a permis

situation 2. Dans la situation 2, on rencontre trois formes de coordination : – l’activité du responsable qualité relève de la standardisation des procédés ; – la relation entre les chefs de chantier et les contremaîtres relève de la standardisation des résultats ; – la relation entre les contremaîtres et les ouvriers repose sur la supervision directe. III. Les différents types de structures A. Les structures classiques Document 10. Les principales structures classiques, p. 10 Document 11. La représentation

responsabilisation des employés. Ceux-ci étant réduit à de simple exécuteur, ils deviennent passifs et dépendants. De plus, c’est contremaître ne semble pas formé adéquatement afin d’assumer leur responsabilité. Par contre il compte de nombreuse année d’expérience en tant qu’employé. Les recommandations Nous recommandons à Brasilia inc de coupé les 60 postes de contremaîtres et d’instaurer une culture de responsabilité des employés en créant des groupes de travail de 6 à 8 personnes qui élirait un

élevés que les hommes (sans doute cela est-il dû à la contrainte que représente en plus la gestion de la vie domestique et à une moindre reconnaissance au travail que les hommes) ; 2) les employés, les salariés et l'encadrement de proximité (contremaitres, responsables de petites équipes), les cadres supérieurs et les cadres dirigeants étant nettement moins touchés par le stress ; 3) les banques, les assurances, le secteur des services, et le service public plus que le secteur purement industriel

sur la hiérarchie ; on va donc installer des couches, des rangs intermédiaires à l'échelle hiérarchique entre les ouvriers et les patrons. C'est ce qu'on appelle les contremaîtres . Ils sont charger de contrôler le travail des ouvriers car ce mode de production ne fonctionne que si tout le monde marche au même rythme. Le contremaître fait respecter les cadences. Il y a donc également une division verticale du travail. Le taylorisme est donc formé sur trois principes : • séparation de la conception

|Effectifs (ni ) |Fréquences fi % | |Cadres supérieurs |10 |12,5 | |Contremaîtres |5 |6,25 | |Employés |20 |25

possèdent aucunement le savoir-faire de leurs 500 ou 1000 ouvriers, répartis en vingt ou trente corps de métiers. La direction de cette entreprise est elle-même composée de contremaîtres et de superviseurs, qui furent autrefois, pour la plupart d'entre eux, des ouvriers de première classe. En dépit de cela, ces contremaîtres et superviseurs savent, mieux que quiconque, que leur propres connaissances et leur savoir-faire ne dépassent pas le savoir-faire et la dextérité combinés de tous les ouvriers

résistances. Pour comprendre la révolution introduite par Frederick Winslow Taylor, il faut imaginer ce qu'était une usine américaine au milieu du XIXe siècle. Les dirigeants s'occupaient peu de la production. L'atelier était le royaume des contremaîtres, qui organisaient le travail, fixaient les salaires, embauchaient et licenciaient le personnel. Ils régnaient sur deux catégories de salariés : les manoeuvres, dont on n'utilisait que la force physique, et les ouvriers qualifiés. Ces derniers possédaient

résistances. Pour comprendre la révolution introduite par Frederick Winslow Taylor, il faut imaginer ce qu’était une usine américaine au milieu du XIXe siècle. Les dirigeants s’occupaient peu de la production. L’atelier était le royaume des contremaîtres, qui organisaient le travail, fixaient les salaires, embauchaient et licenciaient le personnel. Ils régnaient sur deux catégories de salariés : les manœuvres, dont on n’utilisait que la force physique, et les ouvriers qualifiés. Ces derniers