Corpus Racine Hugo Ionesco

des genres (cf colle sur l’histoire littéraire). L’intégration dans le temps de l’ « écart esthétique » est ce qui définit le « classicisme » d’un chef-d’œuvre (cf Calvino, La Machine littéraire, Butor Répertoire II, ou ce qui dit Barthes dans Sur Racine : voir le corrigé du sujet sur Bernard Bort). L’horizon d’attente semble être une notion qui préexiste au texte. Pourtant, est-il immuable ? Ne se modifie-t-il pas au cours de la lecture ? En effet, l'horizon d'attente change à mesure que se

; tous deux revêtent un caractère prédictif qui suppose des critères d’analyse préalablement théorisés, voire institutionnalisés, qui font autorité au point de bénéficier d’un effet de Jean Baudrillard, « Modernité », Encyclopaedia Universalis, corpus 15, MessiaenNatalité, Paris, Encyclopaedia Universalis, 1995, p. 554 : « [S]ans doute […] la modernité elle-même n’est-elle qu’un immense processus idéologique ». 2 Voir la définition que donne Hannah Arendt de la notion d’« histoire moderne » et

empruntés par exemple aux auteurs suivants : - Moyen Age – XVI° siècle : Charles d’Orléans, Clément Marot, initiation aux poèmes à forme fixe ; - XVII° siècle : Jean de La Fontaine, Fables (choisies dans les livres VII à XII) ; - XIX° siècle : Victor Hugo, Alfred de Musset, Charles Cros, Paul Verlaine, Tristan Corbière, Arthur Rimbaud ; - XX° siècle : Guillaume Apollinaire, Max Jacob, Robert Desnos, Eugène Guillevic, Jacques Prévert, Malcolm de Chazal, Raymond Queneau, Claude Roy, Boris Vian, Jacques

Confidences ». « Le travail constant est la loi de l’art comme celle de la vie ; car l’art, c’est la création idéalisée ». Honoré de Balzac, « La Cousine Bette ». « L’art c’est le reflet que renvoie l’âme humaine éblouie de la splendeur du beau ». Victor Hugo. « Il n’y a pas d’art, il n’y a que des hommes ». Alfred de Musset, « Un mot sur l’art moderne ». « C’est le côté humain, franchement humain, qui me touche le plus en art ». Jean-François Millet. « L’art est beau quand la main, la tête et le cœur de

.................................. 54 Denisa-Adriana OPREA (Roumanie) Sujets nomades. « Baroque d’aube » de Nicole Brossard................ 66 Elena PETREA (Roumanie) Traduction et circulation du capital culturel. « Les Misérables » de Victor Hugo en roumain ............................................................ 76 Muguraş CONSTANTINESCU (Roumanie) Le problème de l’identité culturelle dans la traduction de la littérature de jeunesse .................................................

s’était initié aux questions coloniales, notamment dans la gestion du mandat français en Syrie ; il se situait dans la lignée de Lyautey et de Catroux, en faveur d’une tutelle provisoire et légère. LES COLONIES. Le terme de colonie n’apparaît dans le corpus que de façon indirecte, lorsque le général de Gaulle – et Mitterrand après lui – parle de « l’Empire », héritage de la IIIe République avant que ne soit créée l’Union française puis la Communauté. De Gaulle désigne les colonies sous le nom de « territoires

se développent en écho : La baronneL’abbéle peloton bleule sermon de St-Roch1.41-44le fond du peloton le sujet de Jocelyn1.47-49le pelotonmiss Clary-La réplique absurde témoigne d'une "mécanique de la parole" que Jarry et Ionesco, entre autres, prendront comme élément constitutif du texte théâtral : plus on parle, moins on dit (l. 57-61). Les thèmes croisés (l. 37-44) accentuent l'aspect rompu et incohérent du dialogue : La valse à deux temps // Jocelyn

sujet de Jocelyn | |1.47-49 |le peloton | | |miss Clary | -La réplique absurde témoigne d'une "mécanique de la parole" que Jarry et Ionesco, entre autres, prendront comme élément constitutif du texte théâtral : plus on parle, moins on dit (l. 57-61). Les thèmes croisés (l. 37-44) accentuent l'aspect rompu et incohérent du dialogue : La valse à deux temps //Jocelyn (divertissement)

François Villon (p. 37) puis sous celle de Christine de Pizan (p. 66-67). Encore pratiqué sous cette forme au début de la Renaissance, le genre poétique désignera tout autre chose à partir de la fin du XVIIIe siècle (voir Odes et ballades de Victor Hugo, p. 367). ... à vous de lire Érec et Énide de Chrétien de Troyes... (p. 39) 1. Exposé sur la cour d’Arthur On s’intéressera aux personnages, à la présence des femmes, aux relations de hiérarchie et d’égalité, et aux rapports entre les chevaliers

essentielle du mal : le démon. Un appareil théorique essentiellement anthropologique a été appliqué au fait littéraire, précisément à la quasi-totalité des textes poétiques baudelairiens, c’est-à-dire : Les Fleurs du Mal et les Petits poèmes en prose. [À ce corpus textuel donné, strictement poétique, se sont ajoutés, parfois, à titre exceptionnel, des arguments complémentaires, dotés d’une certaine « poéticité », provenant ou de la biographie du poète, ou, surtout, de ses écrits intimes (Mon cœur mis à nu,