Corpus Victor Hugo Chatiments

convient, ce qui est approprié et, au-delà, ce qui est utile. Dans le registre du droit, le bon est aussi ce qui est utile à la vie des hommes vivant dans telle société à telle époque. Le droit est l’art du bon et de l’équitable. Victor Hugo écrivait : « Qu’y a-t-il au dessus de la justice ? L’équité ». La notion d’équité est difficile à cerner, tout comme sa fonction et sa place par rapport au droit et à la justice. On oppose le droit strict[7] à l’équité : l’équité repousse la lettre

Parlement et que le roi ne peut pas lever de paix et enfin que le roi ne peut pas suspendre une loi votée par le Parlement, que le roi accepte le droit de pétition de ses sujets, que le jugement des crimes est confié à un jury et pas à un juge et que les châtiments cruels (découper les membres d’une personne) étaient interdits et que les amendes excessives qui ruinaient les gens étaient également excessives. Le système a tenu car la succession de Guillaume D’Orange et de sa femme Marie auraient pu donner lieu

faibles, ne trouvent de refuge que dans les hôpitaux de l'Église et les monastères. Les hommes de ce moyen-âge ignorent le plus souvent le nombre de leurs années. Les auteurs chrétiens ont une vue pessimiste de la vieillesse qui, à leurs yeux, est un châtiment divin, une malédiction qui pèse sur l'homme en raison des ses péchés. Ils voient les vieillards comme des foyers de vices. On leur reproche notamment leur concupiscence. Le vieillard pauvre doit travailler tant que ses forces le lui permettent, ensuite

Caecilia Paulina. [ 234 BELOCH (J.), Griechische Geschichte, IV, 1, 1925, p. 416-422. 02, [ 235 BÉMONT (Colette), Les enterrés vivants du Forum Boarium. Essai d'interprétation, Mélanges de l'Ecole Française de Rome 72, 1960, p. 133 sv. 08, 10 châtiment, Vestales. [ 236 BENARIO (Herbert W.), «Julia Domna, Mater Senatus et Patriae », Phoenix 12, 1958, p. 67-70. 03, 11 impératrice, Iulia Domna, titulature. [ 237 BENARIO (Herbert W.), « The titulature of Julia Soaemias and Julia Mamaea », Transactions

raidies par le sang séché. Incapable d'attendre plus longtemps la purification si ardemment désirée, Silas fit une rapide prière, saisit la discipline, ferma yeux et commença à s'en fouetter alternativement les deux épaules. Sans relâche. Castigo corpus meum. Je punis mon corps. – 14 – Jusqu'à ce qu'il sente les gouttes de sang couler le long de son dos. – 15 – 3 Assis sur le siège passager de la Citroën ZX qui, gyrophare allumé, descendait en trombe la rue Saint-Honoré, la tête à demi

applaudissements de l'histoire et les simples révoltes qui méritent une répression plus ou moins sévère ; et, quand on s'est accordé par hasard à reconnaître dans certains soulèvements le caractère d'une révolte injustifiable, on n'a su dire quel châtiment leur convenait. Aussi les a-t-on traités tour à tour par le massacre en bloc ou l'amnistie sans distinction. Il en était de même dans le passé. Les grandes compagnies du XIVe siècle étaient amnistiées de temps en temps jusqu'à du Guesclin qui les

évêchés des Pays-Bas et d’Allemagne. En 1496, Windesheim commandait une centaine d’abbayes, dont vingt environ peuplées de religieuses. Les chanoines réguliers hollandais allaient tenter bientôt de s’établir en France, à Château-Landon, à Livry, à Saint-Victor de Paris. Malgré la bulle d’union signée le 2 février 1456 par Calixte III, les querelles des Frères Mineurs ne s’apaisaient pas, et les conventuels refusaient d’admettre les observants aux élections. Pie II, le 11 octobre 1458, rendit à ceux-ci

représentatif de « la police française » en général. Celui-ci est constitué par les écrits des policiers. Or, peu de policiers écrivent, d’une part, et, d’autre part, ceux qui le font sont en général d’un niveau hiérarchique et intellectuel élevé. Dans le corpus des ouvrages étudiés, on trouve moins de 5% de « gardiens de la paix ». L’immense majorité de ces écrits sont le fait d’inspecteurs, et, surtout, de commissaires. Or, bien évidemment, ce grade va de pair avec un niveau d’études conséquent, et donne

impuissance, que remplace la notion d'une force brutale, passagère, mais immense. L'exagération, chez les foules, porte malheureusement souvent sur de mauvais sentiments, reliquat atavique des instincts de l'homme primitif, que la crainte du châtiment oblige l'individu isolé et responsable à refréner. Ainsi s'explique la facilité des foules à se porter aux pires excès. Habilement suggestionnées, les foules deviennent capables d'héroïsme et de dévouement. Elles en sont même beaucoup plus

plus rigoureusement synchronique, tandis que celle que nous offre Matoré semble toujours ouverte sur des considérations panchroniques, ou, comme il le dit à propos de Bache[ard, « intemporelles » : car si ses références sont toujours prises dans le corpus particulier du xxe siècle, rien ne permet encore de juger du degré d'originalité de la « mentalité historique» qu'elles révèlent. Les linguistes l'ont en effet bien souvent remarqué et, l'on. sait tout ce que Bergson en a tiré pour son compte: il