Corrida

l’œil du peintre pour représenter ses sentiments lors de la guerre civil (sa perception de l’événement). Elle peut représenter une lueur d’espoir malgré la tragédie du bombardement. A gauche : Taureau symbolisant la brutalité et l’obscurité de la corrida. On l’associe aux forces nationalistes franquistes. Il parait impassible, statique. Ses yeux sont humains. Sa bouche ouverte et sa langue pointue lui donnent une expression. Il représente la dictature de Franco (c’est l’image mythologique de Franco)

Surréalisme 1.9 Guernica et pacifisme 1.10 Engagement au parti communiste 1.11 Période de Vallauris 1.12 Dernières années 1.13 Descendance et héritage 2 Zooms sur l'œuvre 2.1 Picasso et la corrida 2.2 Écriture et livres illustrés 2.3 Une cote exceptionnelle 3 Picasso, un peintre de musées 3.1 Les musées Picasso 3.2 Anecdote 4 Notes et références 5 Annexes 5.1 Articles connexes

religieuses, bien que leur nombres soit minime face à celles catholiques. Les fêtes de taureaux sont très appréciées en Espagne et très célébrées en de nombreux endroits. Une feria consiste en une fête annuelle et locale au cours de laquelle se déroule des corridas, des lâchers de taureaux au cœur des rues et la ville est animée par des bars en plein en air et des groupe de musique. Les plus connues demeurent les fêtes de SaintFirmin (dîtes San Fermines en espagnol) qui sont célébrées tous les ans, du 6 au

Picasso se sert aussi de symboles empruntés à la mythologie espagnole, le taureau et le cheval ; le taureau c’est la brutalité et le cheval c’est le peuple. Dans la période qui suit les années vingt, Picasso exécute déjà des œuvres tourmentées de corrida qui préfiguraient Guernica et en 1935, dans une eau-forte, la « Minotauromachie », il exécute une représentation, aux formes torturées, du Minotaure, annonçant une tension qui se terminera deux ans plus tard dans Guernica. | Né à Malaga en 1881

| |Légitime : reconnu et accepté par tous |voter après 18 ans | | |les corridas | | |prendre la direction de l’entreprise de ses parents après y avoir | |

peint le Peintre et son modèle, qui marque sa rencontre avec Marie-Thérèse Walter, alors qu’elle est encore mineure. En 1928, il exécute le Grand Collage du Minotaure, avec l’aide de Georges Braque. De juin à septembre 1934, il fait des séries de corridas, peintes, dessinées et gravées. En 1935, la galerie Pierre expose des papiers collés, en juin, il se sépare d’Olga, et le 5 Octobre naît Maya Picasso, sa fille avec Marie-Thérèse Walter. Au début de la guerre civile espagnole de 1936, il est nommé

des couleurs du journal par lequel Picasso a appris la nouvelle du bombardement. Lumière : Elle vient du plafond. L’œuvre à la loupe : Le taureau : Très présent dans l’œuvre de Picasso (Espagne, tauromachie). Symbole de cruauté, de force brute (corrida). Représente les nationalistes. 2560320694055                   Picasso, tête de taureau Une mère qui hurle avec son enfant dans les bras : Ses yeux sont en forme de larmes. Langue en forme de couteau : violence. Elle montre toute l’horreur

à une inspiration de l'art africain. Au premier plan, on peut voir un cheval transpercé par une lance, sa langue pointue donne l'impression qu'il hurle de douleur, à sa gauche on voit un taureau qui symbolise la force brute, le "sadisme" avec la corrida. Les deux animaux représentent les deux partis qui s'affrontent : le taureau représente les nationalistes qui soutiennent Franco, qui viennent de porter un coup aux républicains, ici le cheval blessé. Entre les deux animaux il y a une colombe, symbole

Vierge à l’enfant. Elle incarne le peuple qui souffre. L’enfant a les yeux vides et la tête pendante. Il symbolise l’innocence assassinée. Le taureau L’un des personnages les plus difficiles à interpréter. Il symbolise l’Espagne, à travers la corrida. Il représente aussi le Minotaure, personnage-monstre très présent chez Picasso. C’est le seul personnage qui tourne la tête vers le spectateur. Il semble impassible devant le massacre. Picasso a dit : « Le taureau n’est pas le fascisme, mais

mars est bien conservée UN PATRIMOINE TOUJOURS VIVANT Apres avoir servie de forteresse, l’architecture gallo-romaine est toujours présente dans note vie. Les amphithéâtres d’Arles, Nîmes, Orange… abritent aujourd’hui des corridas, des festivals, des opéras, des tournois sportifs. Le pont du Gard, merveille de l’Antiquité, résiste aux crues du gardon qui traversent ses arches depuis près de 2000 ans.