Cortex

le cerveau. Il est constitué par l’ensemble des « prolongement » (axones) des neurones ganglionnaires. Aire visuelle primaire : Aires visuelles associatives : Le cortex associatif désigne les régions du cerveau impliquées dans des opérations complexes de traitement de l'information. Contrairement à d'autres portions du cortex cérébral comme les aires dites primaires, le rôle fonctionnel des régions associatives est plus difficile à identifier ; elles sont par exemple impliquées dans des processus

le cerveau établie le tri des émotions et des informations, supprimant celles inutiles. Il favoriserait donc le processus de mémorisation et d'apprentissage et fournirait un stimulus interne (agent chimique qui déclenche une réaction au niveau du cortex frontal) favorisant le développement du cerveau. La phase de sommeil intermédiaire comprend des micros- réveils à la fin des cycles , ils sont normales, d'ailleurs le dormeur ne s'en souvient pas au réveil. Pour conclure, un cycle du sommeil dure

message nerveux électrique grâce à leurs pigments. C’est la transduction. Le message nerveux électrique suit les voies visuelles jusqu’au cortex occipital qu’on appelle cortex visuel primaire. C) L’implication d’aires cérébrales différentes Notre cerveau est découpé en aires cérébrales : chacune réalisant une fonction précise. Les aires V1 et V2 forment le cortex visuel primaire et les aires V3 V4 et V5 (respectivement formes, couleurs et mouvements) permettent le traitement des images envoyés par

messages nerveux pour aller de la rétine au cerveau et comment le cerveau interprète ces images schéma des voies visuels Le lobe occipital : zone du cerveau intervenant dans le traitement des informations visuels Pb: Pourquoi la destruction du cortex visuel droit entraîne t -elle une cécité du champ visuel gauche ? Au niveau du chiasma optique la moitié des fibres nerveuses provenant de la rétine (champ rétinien nasal) , passent dans l’hémisphère opposé, Dans chaque hémisphère : champ rétinien

vibrations, il commence à l’oreille, qui les traduit en signaux neuro, cela se fait à la base de la cochlée, elle est tapissée de cellules sciées qui captent des fréquences précises et y répond par des impulsions électriques qui sont ensuite transmisent au cortex auditif grace au tron cérébral. Les scientifiques pensaient que le cerveau ne comportait qu’un centre auditif mais enfaite il en comporte bien plus. (SCHEMA). Applications L’être humain écoute de la musique pour se sentir bien, pour se retrouver

et que la religiosité à l’âge adulte en dépend. Son successeur actuel, le professeur Vassilis SAROGLOU, le confirme. Ce nouveau mécanisme de défense, animiste du temps des premiers hominidés, n’est apparu que grâce à la capacité évolutive du seul cortex préfrontal humain, à imaginer , grâce au langage et par anthropomorphisme, un « Père protecteur, substitutif et agrandi » , fût-il de nos jours qualifié, par rationnalisation, de « Présence Opérante du Tout-Autre »,(A. Vergote). Comme on pouvait

active alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation...) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction. Si le stress est trop fort ou prolongé, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont l'hippocampe[1], l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfronta. • Le « bon » stress permet de déclencher

L’origine et les neurones A. L’origine : L’origine du sommeil paradoxal se trouve dans le tronc cérébral (voir annexe 6), c’est un phénomène physiologique avec 4 critères simultanés : la perte de tonus musculaire, une activation intense du cortex cérébral (EEG : électroencéphalogramme), des mouvements oculaires rapides (REM : Rapids Eyes Mouvements) et des lésions bien localisées au niveau du tronc cérébral. B. Les neurones : Une quantité phénoménale de neurone est activée. Le

membranaires favorisent la dépolarisation et donc l’excitabilité des neurones. - Les bloqueurs de canaux Nav sont utilisés comme antiéleptiques. Changements synaptiques : - Principales structures cérébrales impliquées dans l’épilepsie Cortex cérébral et hippocampe - Deux grands types de synapses : Excitatrices (Glutamate) Inhibitrices (GABA) - Modification au niveau des synapses : Changement du nombre de synapses excitatrices vs. Inhibitrices. Changement de la distribution

« gras » des cellules nerveuses rétrécissent, disparaissent et sont remplacées par des taches dénommées « plaques ». Ces plaques séniles, encore appelées plaques amyloïdes se déposent sur les cellules nerveuses situées dans la substance grise du cortex cérébral, provoquant ainsi la destruction de millions de cellules. Les plaques amyloïdes comprennent des agrégats de peptide bêta amyloïde. Le dépôt de ces protéines empêche les cellules nerveuses de communiquer correctement entre elles. *