Courir

l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? n'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête. (À lui-même, se prenant par le bras.) Rends-moi mon argent, coquin... Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais

au spectacle. | La fonction du GROUPE VERBAL (GV) Prédicat | Julie mange une pomme. | La fonction du GROUPE VERBAL INFINITIF (GVInf) Fonctions | Exemples | Sujet | Manger est un plaisir. | Complément direct | J’aime courir. | Complément du nom | L’exercice – courir, marcher, sauter- vous fera du bien. | Attribut du sujet | Le feu semble s’éteindre. | La fonction du GROUPE VERBAL PARTICIPE (GVPart) Fonctions | Exemples | Complément du nom | On avait fermé le corridor menant aux

presque portés par les indigènes du pays qui ne sont pas du tout des sportifs. Quand Jazy court, en France, en Belgique, en Suède, en U.R.S.S., où vous voudrez, n’importe où, si ça lui fait plaisir de courir, pourquoi pas ? S’il est agréable à cent mille ou deux cent mille personnes de le regarder courir, pourquoi pas ? Mais qu’on n’en fasse pas une église, car qu’est-ce que c’est ? C’est un homme qui court ; et qu’est-ce que ça prouve ? Absolument rien. Quand un tel arrive premier en haut de l’Aubisque3

interrogations, cela montre qu’après la surprise, Harpagon cherche une explication à son vol : « Qui peut-ce être ? «  (…) « Qui est-ce ?  ». Il interroge alors qu’il est tout seul. Certaine questions qu’Harpagon se pose se contredise : « où courir ? Où ne pas courir ? ». La formulation de la première question n’est pas correct : « Qui peut-ce être ? ». Le personnage va jusqu'à s’en prendre à lui-même : « Il se prend lui-même le bras », ce qui va générer des situations comiques et le montrer proche de

et presque portés par les indigènes du pays qui ne sont pas du tout des sportifs. Quand Jazy court, en France, en Belgique, en Suède, en URSS, où vous voudrez, n'importe où, si ça lui fait plaisir de courir, pourquoi pas? S'il est agréable à cent mille ou deux cent mille personnes de le regarder courir, pourquoi pas? Mais qu'on n'en fasse pas une église, car qu'est-ce que c'est? C'est un homme qui court; et qu'est-ce que ça prouve? Absolument rien. Quand un tel arrive premier en haut de l'Aubisque3

juin 1972,elle représente une jeune fille de neuf ans, du nom de Phan Thi Kim Phùc. Elle est née en 1963 dans le village de Trang Bang, au sud-Vietnam; Kim Phuc est connu pour la célèbre photo de Nick Ut, qui a fait le tour du monde où on la voit courir sur la route, hurlant de peur et de douleur à cause de son énorme brulure situé dans son dos. C 'est lors de la guerre au napalm que l'accident surviendra. C'est Nick Ut qui la transportera à l'hôpital de Saïgon. Description du photographe :

de m’échapper de cet exile. Parfois je me regarde dans le miroir en me disant que je ne suis peut-être pas fait pour cette vie-là, que je devrais prendre mon courage à demain et me prendre en main pour sortir d’ici, aller courir, sauter, tomber, me relever pour encore courir mais je ne peux pas. C’est chez moi ici et ça le restera, à jamais. Je ne me souviens même plus comment je suis arrivé là, mais cela n’a pas d’importance, j’y suis et j’y resterai pour toujours. Chaque jour, j’observe toute

d’équipes. Durant 13 ans de ma vie, mon père m’a supporté, m’a entendu dans les estrades durant mes matches, mes pratiques et mes tournois. Après 14 ans à pratiquer ce sport, j’ai décidé de renoncer pour permettre à mes parents d’arrêter de ‘’courir les arénas’’ et de leur permettre d'avoir du temps pour eux. Durant mon année sans jouer au Hockey, j’ai pratiqué plusieurs sports comme le cross-country et la balle molle. À l’âge de 17 ans, j’ai pu avoir mon permis et conduire seul. Malgré les sports

marbre. C'était du marbre jaune de Sienne. Ce n'était pas de l'or mais l'effet était le même. Je voyais que les muses m'attendaient au pieds d'un portail qui était aussi grand que devait l'être le cyclope. Je m'approchais des muses et se mirent à courir en direction d'un incommensurable pont qui montait en direction de la ville haute. C'était le pont de Poséidon, il était pour la plus grande partie fait en aigue-marine, très certainement une façon de rappeler la mer. L'ascension commençait donc,

levèrent. Nancy:Bonjour tout le monde! Puis soudain, des craquements de branche se font entendre, Nancy alla voir Nancy:Il n'y a ri... Elle se fit poignarder dans le dos, elle retomba lourdement sur le sol. C'était Jason, tout le monde se mit à courir sauf Paige, qui, elle, était dans un sommeil profond. Personne n'avait remarqué son absence... Même Jason ne l'avais pas vu. SCENE 4: Elle ouvrit les yeux, dans la nuit... Paige : Il y a quelqu'un ? Paige : Nancy ? Chris ? Héééo ! Elle vit