Godefroy de Saint-Omer

25 000 templiers présents, on compta seulement 3 000 survivants. Une fois la ville prise, Godefroy De Bouillon fût désigné Roi de Jérusalem. Il refusa ne voulant pas porter une couronne d’or là où le Christ porta une couronne d’épine, et forma de son coté l’Ordre des Chanoines du Saint-Sépulcre. Certains Croisés quittèrent les Templiers pour aller rejoindre ce dernier Ordre qui s’affichait protecteur du Saint-Sépulcre : Il s’agit du sanctuaire édifié à l’endroit même ou a été crucifié et enterré

Payns * Geoffroy de St-Omer * André de Montbard (neveu de Saint-Bernard) * Gondemare * Godefroy * Roral * Payen de Montdésir * Geoffroy Bisol et * Archambaud de Saint-Agnan. Avant, la sécurité des pèlerins chrétiens était menacée par des bandits locaux mais aussi par des croisés indisciplinés. III- Monastère Le monachisme chrétien commença en Égypte et continua plus tard en Abyssinie (Éthiopie). Selon la tradition, au IIIe siècle, Saint-Antoine fut le premier chrétien

tel un coup de tonnerre. Le 15 juillet 1099, les armées franques, rassemblées depuis quelques semaines devant la ville, montent à l’assaut et ouvrent une brèche dans la muraille nord, près de la porte de Damas. Rassemblée derrière Godefroy de Bouillon, Raymond de Saint-Gilles ou encore Tancrède de Hauteville, cette armée hétéroclite est composée de barons ayant quitté leurs régions respectives d’Île-de-France, de Normandie, de Lorraine et du Languedoc, ainsi que de Normands d’Italie du Sud. Ce départ

le 22 janvier 1129[1] à partir d'une milice appelée les Pauvres Chevaliers du Christ et du Temple de Salomon. Il œuvra pendant les XIIe et XIIIe siècles à l'accompagnement et à la protection des pèlerins pour Jérusalem dans le contexte de la guerre sainte et des croisades. Il participa activement aux batailles qui eurent lieu lors des croisades et de la Reconquête. Afin de mener à bien ses missions et notamment d'en assurer le financement, il constitua à travers l'Europe chrétienne d'Occident et à

civile de 1127-1128, ce sont des textes du début du XIIIe siècle qui nous en révèleraient l’existence, pourtant vieille de plus d’un siècle7. Nombreuses sont les pairies attestées une seule 5. Celui de Saint-Pol, dans le nord de la France : J.Fr. NIEUS, Un pouvoir comtal entre Flandre et France : Saint-Pol, 1000-1300, Bruxelles, 2005, p. 403-423. 6. « Née dans la zone franque aux VIIIe-IXe siècles, assimilée à une charge de jugeur, au nombre de douze, pendant la période carolingienne, la pairie est

chefs-d'œuvre architecturaux, en particulier la basilique Sainte-Sophie, qui fut le centre du Christianisme oriental pendant plusieurs siècles. Sa politique fut fortement critiquée par Procope de Césarée, dont les œuvres représentent les sources les plus importantes de l'époque de Justinien. Les auteurs Jean Malalas, Agathias et Ménandre le Protecteur fournissent des sources complémentaires sur le règne de Justinien. Il est considéré comme saint par l'Église orthodoxe et fêté le 2 août ou les 14 et

part et d'autre de l'Escaut entre la Francie orientale (le futur Saint Empire) et la Francie occidentale (le futur royaume de France). Elles dépendent dès lors de ces grands Etats. Placées à la périphérie, elles vont devenir enjeu et champ de batailles. A la fin du IX ème siècle, Baudouin II, prince territorial, cherche à se soustraire de l'autorité royale française. Il y parvient et étendit son autorité autour d'Arras, de St Omer, de Tournai. Deux siècles plus tard, ses prédecesseurs créent un

l'Ile de France (opus francigenum), berceau de la royauté française pour laquelle l'abbé Suger a voulu mettre cet art au service. Nous développerons plus loin cette oeuvre entreprise par ce moine bâtisseur, abbé de la prestigieuse abbaye royale de Saint Denis où reposent les dépouilles des monarques français. Victor Hugo fut, lui aussi à son époque, émerveillé par cet art si noble. Dans son célèbre roman, "Notre Dame de Paris", il nous décrit de manière magistrale la cathédrale de la capitale :

multitude de notules relatives à des questions de toponymie et signées de Camille Jullian, Albert Grenier, etc. Il en existe un relevé en deux mémoires de fin d'études, dactylographiés, de l'Institut des Techniques de la Documentation : - M. de Lingua de Saint-Blanquat, Dépouillement systématique et analytique des articles et comptes rendus d'ouvrages relatifs à la toponymie française dans la Revue des Etudes anciennes, de son origine, 1899 à 1918. Paris, 1964, 37 pp. - G. Delaunay, Relevé des articles et

possibilité d’étendre singulièrement leurs ravages. A une date que l’on ne saurait préciser, probablement aux environs de 890, une petite nef sarrasine, qui venait d’Espagne, fut jetée par les vents sur la côte provençale, aux abords du bourg actuel de Saint-Tropez. Ses occupants se terrèrent, tant que le jour dura, puis, la nuit venue, massacrèrent les habitants d’un village voisin. Montagneux et boisé — on l’appelait alors le pays des frênes, ou « Freinet » (6) — ce coin de terre était favorable à la