Critique de la faculté de juger

de celui que nous portons, mais jamais il ne saurait nous convaincre de son illégitimité. Ainsi n’y a-t-il aucune preuve empirique permettant d’imposer à quelqu’un le jugement de goût » Kant, Critique de la faculté de juger, § 33 Thème : le jugement de goût. Question : Qu’est-ce le jugement de goût ? Le premier enjeu de ce texte consiste à préciser ce que l’on signifie lorsqu’on distingue le beau du laid. Car si, lorsque je dis que

Critique de la faculté de juger ou Critique du jugement [1] (allemand : Kritik der Urteilskraft) est un ouvrage philosophique d'Emmanuel Kant, publié en 1790. On considère en général cet ouvrage comme la troisième grande œuvre de Kant, après la Critique de la raison pure et la Critique de la raison pratique, et comme une œuvre fondamentale de l'esthétique moderne. Dans cet ouvrage, Kant tente de compléter son système philosophique et de créer un lien entre ses deux premières critiques

Bourdieu, Le «goût de la réflexion» et le « goût des sens». Ce texte est extrait du post scriptum de l’ouvrage de Pierre Bourdieu publié en 1979, LA DISTINCTION- Critique sociale du jugement de goût. Cet ouvrage est une lecture qui se veut plus sociologique que philosophique de l’ouvrage d’Emmanuel Kant, Critique de la faculté de juger, à travers laquelle Bourdieu cherche à démontrer le fondement social de l’opposition du «goût pur» ou « goût de la réflexion» au « goût des sens». Thèse: L’analyse

raison de son statut de reine des facultés dans la recherche de la vérité : la raison – faculté de juger et d’enchaîner les propositions et les raisonnements – n’est pas l’unique faculté que l’on doit solliciter pour atteindre la vérité. Ce qui ne veut pas dire que la raison ne joue aucun rôle dans la recherche de la vérité ; seulement, elle ne peut à elle seule connaître la vérité. Il faut qu’une autre faculté entre en jeu… b. Il faut qu’une autre faculté intervienne, à savoir : le cœur «

à un individu ou à un groupe, une façon de juger, une opinion. Toujours par définition, le fait d'être soi même représente la façon d'être d'une personne, de suivre ses envies et opinions sans se soucier de ce que pensent les individus qui l'entourent. Mais alors, si on ne pense pas par soi-même on pense alors par les autres, à travers les autres ? Il s’agirait alors d’une attitude dans laquelle je suis ce que disent les autres, sans aucun sens critique, sans réflexion. On se demande donc qu’est

Rechercher la réponse la plus commune, celle qui correspond à l’opinion immédiate.   - Faire la critique de l’opinion. - Faire la critique de la critique de l’opinion, ce qui permet de déplacer ou de renverser le débat, en tout cas l’opposition des deux thèses doit déboucher sur une troisième solution qui permet de la dépasser. (Une thèse, critique de la thèse, critique de la critique de la thèse.) La plan du devoir découle du problème tel qu’il est construit. C’est le plus souvent, prenant

cela par IMPERATIF CATEGORIQUE = obligation impérieuse très forte = commandement obligatoire en matière de morale = chef de l’IC « agit uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle » Critique de la métaphysique des mœurs. Distinction entre maxime = règles que l’individu élabore et ce donne a lui-même (subjectivité) et loi = de porter universelle = valable pour tous quelques soit époque et culture (objectivité) Maxime doit toujours pouvoir

par définition, doit plaire à tous. Mais la définition des philosophes contredirait -elle l’opinion commune ? Ont -ils raisons? C’est effectivement ce que Kant traite dans le paragraphe 7 de la Critique de la faculté de juger, l’Analytique du Beau. Mais qu’Est-ce que la faculté de juger? La faculté de juger est la capacité d’attribuer à des objets que la sensibilité appréhende, donc toujours unique, des concepts généraux et universel. À travers l’analytique du beau, Kant distingue deux concept différent:

universelle. Une philosophie morale ne repose que sur sa partie pure, sans faire appel à l'Anthropologie, et donne à l'homme des lois morales pour qu'il puisse se comporter en être raisonnable. Ces lois demandent à l'homme une faculté de juger. En effet, il faut être capable de juger quand ces lois doivent être appliquées (pour pouvoir les appliquer au moment opportun). Car l'homme pourrait concevoir l'existence de la philosophie morale pure, sans l'appliquer. La moralité peut être corrompue ; une métaphysique

de nouveaux outils, ainsi que la capacité de varier l'usage possible de chaque outil déjà créé, est la marque de l'intelligence proprement humaine. "En définitive, l'intelligence, envisagée dans ce qui en paraît être la démarche originelle, est la faculté de fabriquer les objets artificiels, en particulier des outils à faire des outils, et d'en varier indéfiniment la fabrication."- L'évolution créatrice L'ethnologue André Leroi-Gourhan montre aussi que l'utilisation de l'outil distingue l'homme des