Cyclope

patient, L’endurant= lorsque l’aède veut mettre en valeur ce qu’est en train d’endurer le héros Le fameux, fils de Laërte, roi d’Ithaque= affirmation de l’identité, problématique du Kléos Le Fléau des villes= orgueil du guerrier/confrontation avec le cyclope. Pour les dieux, le poète insiste sur leur puissance et leurs pouvoirs. Par exemple, Zeus est celui « qui règne sur le monde », IX, 552, « celui qui tonne dans le ciel », V, 4, « celui qui sait rallier les nuages », V, 21, « le rassembleur des

touchons au rivage du pays des Cyclopes, nous apercevons à l'entrée du port, près de la mer, une caverne immense ombragée de lauriers. Là reposent de nombreux troupeaux de chèvres et de brebis. Autour de la caverne s'étend une bergerie construite sur des pierres enfouies dans le sol et entourées de pins énormes et de chênes à la haute chevelure. Là demeure aussi un homme gigantesque, qui, seul, fait paître au loin ses troupeaux : il ne se mêle point aux autres Cyclopes, mais, toujours à l'écart, il

Eros Eros est la personnification de l'amour, de la pulsion de la vie. Hécatonchires Au nombre de trois, Cottos, Briarée et Gyès, les hécatonchires sont des monstres semi-humains possédant chacun cent bras et cinquante têtes. Tout comme les cyclopes, ils furent emprisonnés par Ouranos mais libérés par Zeus lors de la Titanomachie. Typhon Fils de Gaïa et de Tartare, Typhon est parfois représenté comme un ouragan destructeur, parfois comme un monstre cracheur de flammes. Echidna Echidna

rien. Le chaos. Sans qu’on sache pourquoi, Gaïa, la Terre-Mère sort du chaos et donne naissance à Ouranos, le ciel, et Pontos, l’eau salée. Ouranos, couché sur Gaïa la féconde et Gaïa met au monde les plantes, les animaux et ensuite les Titans, les Cyclopes et les Hekatonchires, des monstres gigantesques avec cent bras et cinquante têtes. Mais Ouranos étouffe Gaïa et empêche ses enfants de naître alors Gaïa appelle ses enfants à l’aide mais seul Cronos répond à son appel. Alors Gaïa donne une serpe

le personnage d'Ulysse. C'est une véritable évolution qui se fait ressentir chants après chants. Chaque obstacle auquel doit faire face Ulysse s'avère être enrichissant par la suite, lui délivrant donc un enseignement particulier ( l'épisode du Cyclope condamne son orgueil, les Lestrygons mettent en relief les conséquences de sa curiosité, la Nekuia lui rappelle son rôle d'épou, de père mais aussi de fils ...) Cet enseignement indirect fut repris par Fenelon, comme on peut le voir avec " Les Aventures

neuf jours. Le lendemain la tempète se calme, la brume s’efface et le reste de l’équipage d’Ulysse aperçoivent une île au loin. Ils décident alors de faire une escale. * Les stratagèmes d’Ulysse pour échapper au  cyclope Fils de Poséidon et de la nymphe Thoosa, ce Cyclope était un monstre gigantesque, qui n'avait qu'un oeil au milieu du front et se nourrissait de chair humaine. Il demeurait dans une caverne, non loin du mont Etna, et faisait paître son énorme troupeau de moutons sur la montagne

"Nous reprîmes alors la mer avec tristesse, heureux d'être vivants, mais pleurant nos compagnons morts" LES LOTOPHAGES "mangeur de lotos"= plante de l'oubli, qui fait perdre la mémoire. LE CYCLOPE: pays hors la loi, ne respecte même pas les Dieux (vers 107) monde qui s'écarte du monde des humais. Le Cyclope s'appelle Polyphéne. Ulysse manifeste toujours de la curiosité, c'est de sa faute si ses compagnons se font piéger par les obstacles. ->perte de compagnons ->respect du aux Dieux ->"Ulysse

qualités, certes mortel, mais renommé : cela d'ailleurs le rend semblable aux dieux. Seulement, il est aussi un homme, plein de faiblesses, il est ainsi surpris par la fougue de ses compagnons, par ses propres erreurs même, en témoigne l'épisode du cyclope. Enfin, Ulysse en devient presque un autobiographe lorsqu'il conte ses aventures qui eurent lieu près de sept ans auparavant, et ce devant le peuple des Phéaciens. I] Ulysse, un héros d'envergure a) Un héros mortel L'invocation à la muse introduisant

folie », l’art de Tinguely se fait l’écho dans des trains fantômes et des carnavals, et suscite autant de fêtes aux allures archaïques et primitives. La Hon (la flemme) qu’il réalise avec Niki de Saint Phalle et Utveldt à Stockholm en 1966, comme le Cyclop, qu’il édifie avec ses complices à partir des années 70, restent des « œuvres d’art total » qui, souligne P.Hulten, en dépit de « côtés burlesques» ont la dignité et la gravité du destin. Dans ses travaux illuminés une idées de la fête se conjugue

d'agilité et de courage ; étrange exception à la règle éternelle qui veut que la force, comme la beauté, résulte de l'harmonie. Tel était le pape que les fous venaient de se donner. On eût dit un géant brisé et mal ressoudé. Quand cette espèce de cyclope parut sur le seuil de la chapelle, immobile, trapu, et presque aussi large que haut, carré par la base, comme dit un grand homme, à son surtout mi-parti rouge et violet, semé de campanilles d'argent, et surtout à la perfection de sa laideur, la populace