Démence

n’était pas grave qu’on pouvait la remettre à plus tard dans la matinée ou le lendemain. Ainsi je l’aurais certainement apaisé et fait disparaître son agressivité, la communication aurai pu être établie. Ce ne sont néanmoins que des hypothèses car la démence ne répond à aucune règle .Leurs réactions sont imprévisibles. Une attitude imposante, des gestes inadaptés qui pour nous sont anodins peuvent les déstabiliser et provoquer une anxiété qui ne contrôlent pas et qui peut se transformer en agressivité

dans ce domaine semblent toujours liées à des questionnements extérieurs à la gérontologie.Par ex : dans les années 1960, des médecins s’attachent à décrire les différentes étapes de la démence sénile car les familles s’inquiètent de la captation des héritages par des personnes malveillantes profitant de la démence. Il faut donc savoir à quel moment une tutelle est nécessaire. Par ailleurs se développe toute une littérature pseudo-scientifique prolix/riche en conseils d’hygiène de vie pour bien vieillir

Les démences séniles Il existe de nombreuses formes de démences, nous ne citerons ici, que les plus courantes et typiques. Critères thérapeutiques d’un syndrome démentiel : Démence = état acquis désorganisant de manière globale mais à des degrés différents, l’ensemble des fonctions intellectuelles supérieures. Troubles de la mémoire, Désorientation temporo-spatiale, Existence d’au moins une perturbation suivante : Trouble de la pensée Trouble du jugement Trouble d’une fonction supérieure

mettre en évidence un « marqueur diagnostique » et une « cible thérapeutique ». II. Données épidémiologiques La maladie d’Alzheimer (MA) = perte progressive des fonctions cognitives et intellecutelles. Principale cause de démence chez personnes âgées A l’origine de plus de 50% des démences, et affecte > 24M de personnes dans le monde Plus de 5M de nouveaux cas chaque année. Taux d’incidence : 1% entre 60 et 70 ans, 6 à 8% au-delà de 85 ans. Principal facteur de MA lié à l’âge : la prévalence augmente fortement

La maladie d’Alzheimer est une affection dégénérative du cerveau qui entraine à terme une démence du patient. Elle se caractérise par l’apparition de lésions qui envahissent progressivement le cerveau et détruisent ses cellules, les neurones. Les premiers neurones touchés sont les neurones de l’Hippocampe, entre autre, ceux qui aident à la mémoire. Au commencement, les malades présentent de simples troubles de la mémoire, puis peu à peu, ils perdent leurs capacités intellectuelles et ne parviennent

généralisée. Elle est dans un état dépressif profond majorée lors des hospitalisation. Maladie Alzheimer : Variété la plus fréquente de démence pré sénile, caractérisé anatomiquement par une atrophie de l'écorce cérébrale surtout aux régions pariéto-temporo-occipitale, des lésions de l'hippocampe et une dilatation des ventricules cérébraux ; et cliniquement par une démence massive avec de gros troubles de la mémoire, désorientation temporo-spatiale, aphasie (trouble de la parole), apraxie (trouble des

: courts. Expression : joviale mais troubles du langage (arrêt spontané du discours, oubli du sens des mots). - Sur le plan psychique: Comportement : altéré dû à sa maladie d’Alzheimer, présence de plusieurs troubles cognitifs correspond à une démence comme : troubles mnésiques (amnésie des faits récents particulièrement, agnosie), troubles du langage (difficultés de compréhension et d’élocution), troubles des fonctions exécutives (c'est-à-dire d'organisation et de réalisation d'une tâche complexe)…Cependant

Monsieur T. âgé de 76 ans, réside en unité de vie protégée et est atteint d’une démence de type Alzheimer. Il communique peu avec le personnel soignant et les résidents. Il a besoin d’être stimulé pour les actes quotidiens. Nous devons lui réaliser une douche pour assurer son confort et son bien-être. L’objectif du soin étant de l’apaiser et de le rassurer. Lors des transmissions, nous apprenons que ce patient n’aime pas prendre de douche et qu’il peu être agressif lors de la toilette intime

d'Alzheimer est une maladie neurodégénérative, qui est une perte progressive de neurones, détruit du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. C'est la forme la plus fréquente de démence chez l'homme. Elle fut initialement décrite par le médecin allemand Alois Alzheimer en 1906. De Nathalie CARTIER-LACAVE (directeur de recherche à l'I.N.S.E.R.M., pédiatre, consultant à l'hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris) [] Symptômes La maladie

ses actes, qualité que l’on nomme imputabilité. • Causes de non imputabilité Le code de 1810 ne contenait qu’un seul article consacré à deux causes de non imputabilité : la démence et la contrainte. Il s’agissait du célèbre article 64 ainsi rédigé : « Il n’y a ni crime ni délit lorsque l’individu était en état de démence au temps de l’action ou lorsqu’il a été contraint par une force à laquelle il n’a pu résulter ». Un mot qui évoquait la maladie mentale, un autre des circonstances irrésistibles