Démocrite

Définition : L’atome est la plus petite particule qui compose la matière et qui peut se combiner chimiquement avec un autre. La combinaison de deux au moins est appelée molécule. Les premiers à parler d’atome sont Leucippe et son disciple Démocrite dans l’Antiquité (Vème siècle). Les atomes (ou éléments chimiques) ont été classés dans un tableau que l’on appelle classification périodique ou table de Mendeleïev. Ils y apparaissent sous cette forme : A Z X Avec A : nombre de nucléons

chants - sans doute non corrigés vu les redites et les lacunes - et en rendant hommage tous les deux chants au philosophe Epicure (342-270), Lucrèce veut amener Memmius à partager sa conception du Monde qui, reposant sur la physique atomiste tirée de Démocrite, élimine tout rapport personnel avec le Divin: la RELIGIO est pour lui une superstition. Ceci lui permet d'accéder à l'ataraxie, l'absence d'angoisse - ce qui n'est pas "être cool": le terme actuel stress est trop étriqué et circonstanciel pour correspondre

Lettre à Ménécée Epicure Epicure : 341 av. J.C, disciple de Démocrite (père de l’atomisme antique) Il représente le matérialisme (tout est composé de matière)≠ idéalisme Epicurisme : philosophie du jardin parce que c’est là qu’il s’installe avec son école. La lettre à Ménécée s’adresse à un ami et non à un citoyen.Voilà pourquoi on dit que c’est une philosophie domestique. Le thème général, c’est le bonheur (eudeimonia). Epicure donne des conseils à son ami pour êtreheureux. Le bonheur

fait, le poète lyrique Xénocrite de Locres est réputé être aveugle de naissance7 ; Achaïos d'Érétrie devient aveugle pour avoir été piqué par des abeilles, symbole des Muses8 ; Stésichore perd la vue parce qu'il a dit du mal d'Hélène de Sparte9 et Démocrite s'ôte la vue pour mieux voir10. Tous les poètes grecs ne sont pas aveugles, mais la fréquence avec laquelle la cécité est associée à la poésie pousse à s'interroger. Martin P. Nilsson remarque que, dans certaines régions slaves, les bardes sont

de renforcer la comparaison .pour compléter son système de comparaison Rabelais fait référence de manière explicite à plusieurs philosophe de l'antiquité et à différentes textes : Alcibiade L.2 / Platos L.2/ Socrate L.3/ Galen L.50/ Aristote, Démocrite, Lucrèce .

détester le hasard. Les premières s’en remettent au plan divin pour éliminer le hasard. Dieu est à l’origine de tout. Les sciences ont longtemps considéré que l’ordre cosmique garantit que tout est déterminé dans les moindres détails. Pourtant, Démocrite affirmait au Vème siècle avant JC que « tout ce qui existe dans l’univers est le fruit du hasard et de la nécessité. 2300 ans se sont écoulés avant que Jacques Monod ne retienne la formule « Le hasard et la nécessité » comme titre de son ouvrage

Versailles", Revue française d'histoire du livre, n° 12, 3me trimestre 1976, pp. 367-426. 40. On remarquera que le jardinier est, dans l'ensemble des Fables, le seul personnage auquel va, de façon constante, la sympathie du poète. 41. VIII, 26, Démocrite et les Abdéritains, v. 33-35. 42. Hypnerotomachia Poliphili, Venise, Alde Manuce, 1499. Traduction française, Le Discours du Songe de Poliphile, Paris, Jacques Kerver, 1546. Note sur cette édition 1. Inscription tirée de Boissard, texte précédant

qu’elles sont (retour au point 4 ) #2 et #3 vont ensemble 6. Cause explicative des êtres matériels  gouvernement C’est > qui cause le gouvernement Anaximène : air est à la base de taille chose Condensation Raréfaction (diminuer, dispersion) Démocrite : L’univers c’est …. 1. Échapper à nos sens 2. Atomes (êtres) 3. Vide (non-être) La matière 1e doit être indivisible. Parménide (il va s’intéresser à la raison) Raison Nature Sens (pouvoir limité) Principe de non-contradiction :

Socrate •Socrate •Platon •Aristote •Les Cyniques •Les Sceptiques •Les Epicuriens •Les Stoïciens Avant Socrate « Ce monde est une comédie pour ceux qui pensent et une tragédie pour ceux qui ressentent, c’est pourquoi Démocrite riait et Héraclite pleurait » (Horace Walpole) « Tout s’écoule » (Héraclite) « Chacun ne se fie qu’à son expérience » (Empédocle)

matière, l'absence d'être. Mais peut-on parler du vide comme d'une entité en soi, ou uniquement comme une absence ? Parménide disait « l'être est, le non-être n'est pas » ; le vide était pour lui un non-être, et ne pouvait donc exister. Leucippe et Démocrite, contre Parménide, admirent l'existence du vide et en firent avec l'atome le principe de toute chose ; le vide, lieu dépourvu de matière, a donc reçu une certaine forme d'être et devint le doublet indispensable et inséparable de l'être. Aristote