Demosthene

Le personnage politique de Démosthène I Le film de sa vie Démosthène est né comme Philippe en 384. Son grand-père maternel avait longtemps séjourné dans cette région à laquelle lui-même était fort attaché. Venu à Athènes, son métier de logographe l’amena bien vite à participer à la vie politique de la cité. Démosthène passe à l’ecclésia. Grand orateur il sait se faire entendre de la foule. Grand patriote il veut la prépondérance économique, politique et intellectuelle d’Athènes. En 354, il

production Le document soumis est un extrait du Troisième Philippiques (48-51), discours de Démosthène. Ce grand orateur est né à Athènes en 384 av. J.-C. Il fut l'élève de Platon. Il acquit une grande réputation lorsqu'il se fit logographe. En 351, il entra dans la vie politique en défendant les démocrates bannis de Rhodes. À partir de cette année, il s'efforce de combattre le pouvoir de Philippe II de Macédoine. Démosthène fut chef du parti démocratique anti-macédonien avec Hypéride. Il dû s'exiler lui-même

Alexandre n’eut qu’à paraître pour réduire au silence les partis antimacédoniens. Cependant, tandis qu’il guerroyait contre les peuples du Nord, pour les battre de façon définitive, le bruit couru de sa mort en Illyrie ; alors, à la voix de Démosthène, l’agitation recommença ; Thèbes reprit les armes. Alexandre accourut ; enlevée d’assaut, la ville fut rasée, ses habitants vendus. Cet exemple n’eut pas besoin d’être renouvelé. En Macédoine même on extermina par précaution quiconque aurait

et de critique littéraire. Nous possédons un Traité de l'arrangement des mots, la première partie des Études sur les anciens orateurs (sur Lysias, Isocrate, Isée), un opuscule Sur la force du style de Démosthène, un autre Sur le caractère de Thucydide, deux Lettres à Ammée (la première sur Démosthène, la seconde sur Thucydide), un traité intitulé Dinarque (sur la vie et les discours de cet orateur), une Lettre à Cnéius Pompée où il justifie ses opinions défavorables à Platon, mais nous n'avons plus

Phocidens s'allient à Athènes. Néanmmoins, les Grecs ont eu peur : Philippe n'est plus loin au Nord, il est parvenu aux portes de l'Attique. - 346 : Paix de Philocrate. Athènes envoie une ambassade, à laquelle participent Eschine, Philocrate et Démosthène, auprès de Philippe pour signer un traité de paix, qui définit un statu quo territorial : Athènes reconnaît les nouvelles frontières de la Macédoine ; Philippe s'engage à ne pas poursuivre sa politique d'expansion. Philippe attend d'avoir terminé

Athènes n'applique pas ses principes démocratiques à ses alliés. Doc 3 : D'après Démosthène, Philippe II de Macédoine est un danger pour Athènes. Il annonce que les citoyens athéniens se plaignent des attentas commis par Philippe. Ici, Démosthène veut faire réagir les athéniens car tout le monde se plaint mais personne n'agit directement envers lui. Ils attendent tous le moment où Philippe tombera. Pour Démosthène, il est plus facile de parler que d'agir. Le problème étant que si les citoyens n'agissent

éloquence et charisme afin de tenir un discours. L'orateur, à l'inverse d'un simple discoureur, captera plus facilement l'attention de son auditoire et le fascinera par ses propos grâce à un charme propre. Il est capable d'électriser les foules. Démosthène ou Cicéron étaient de grands orateurs de l'Antiquité. Lysias, à l'origine de la dénomination du concours, est né à Athènes en 454 ou en 440, mort vers380, était l'un des dix orateurs attiques retenus par le Canon alexandrin. Beaucoup de dictateurs

pour objet l'argumentation, la persuasion : c'est l'art oratoire, la rhétorique, l'éloquence (le don, la capacité, la performance elle-même). Pendant cette période là, plusieurs assembkées se succèdent. Les principaux modèles d'éloquence sont Démosthène, Cicéron (deux modèles dont l'un est grec, l'autre latin) ; c'est au IV siècle avant J-C que commence l'art rhétorique. Le 16 juin 1789, l'Assemblée du Tiers-Etat devient l'Assemblée Nationale. → La rhétorique, perennité d'un héritage ? La

mois, l’armée stationne dans l’ancienne capitale achéménide. Les Macédoniens hésitent encore à pénétrer plus en avant. En Grèce, Sparte conteste l’autorité de la Macédoine et d’Antipater. Une nouvelle guerre éclate. Athènes, par l’intervention de Démosthène, évite de s’engager trop hâtivement. Si Sparte réussit à prendre la ville de Mégalopolis, en 330, la révolte s’effondre face à Antipater. La victoire d’Antipater sur Sparte autorise enfin Alexandre à reprendre sa marche et à entamer une nouvelle

panique face à la montée en puissance des Phocidiens firent appel à Philippe II. Ce dernier ne parvient pas à s'imposer face aux phocidiens. Il a tout de même été élu à la tête de la ligue Thessalienne et a marqué les cités grecques par sa puissance. Démosthène avertissait ses compatriotes athéniens du danger qu'il représentait déjà. Lassés de ces dix dernières années de guerre, les athéniens voulaient la paix. En -346, Philippe II informa les athéniens qu'il voulait mettre fin à la Troisième Guerre