Déportation

l’amplification : « Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers » (v.1). Il nous montre aussi que les Hommes ont perdu leur identité : « Ils n’étaient plus que des nombres » (v.5), c'est le principe de la déshumanisation. Il indique que la déportation a touché tout le monde, et pas seulement les juifs en citant des prénoms de déportés de religions et d'origine différentes : « Jean-Pierre, Natacha ou Samuel » (v.13). (prenom français, slaves et juifs) "certain prait Jesus Jeovah ou Vichnou" (v14)

que rudimentaire. Après trois semaines passées là-bas, le 2 septembre 1943, ils sont plus d’un millier de personnes envoyés à Drancy afin d’être acheminés par train jusqu’à Bobigny puis Birkenau, agrandissement d’Auschwitz. Les conditions de déportation Les juifs arrêtés sont transportés vers des wagons bestiaux, où ils sont entassés, se retrouvant à près de 100 personnes par wagon. Les conditions d’hygiène sont déplorables, ils n’y pas de véritable espace permettant aux passagers d’avoir un

etai bien responsable de ce fais distoiire . Marion : Lensmble du territoire est sous lautorite du gouvernement de vichy dirige par le marechal petain. Letat francais a collaborer avec l'etat nazi lors de l'arrestation des juifs et de leurs deportations vers les camps. La france s'est chargee du recensement, de leur rassemblement ds les camps de concentration.  Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Français vivent sous un régime autoritaire, une dictature. Le pouvoir confié au général Pétain

Ces pages présentent un homme changé, très différent de celui qui écrivait 30 ans plus tôt. Son regard s’est assoupli, il montre plus de compassion. Il s’est réconcilié avec sa propre humanité. Plus de Passé/ Pas de Futur Dès le début de sa déportation, Primo Levi constate que se souvenir ne peut générer que de la souffrance supplémentaire. S’il n’y a plus de passé, aucun futur ne peut exister et inversement, sans avenir, le passé n’a plus de sens. Les déportés savaient que très peu reviendraient

réponse individuelle et romanesque à l’angoisse. Le personnage de Madame Rosa est celui qui fait l’expérience de limites dépassées ; Dhia Gritli montre comment la rescapée du génocide reste captive du passé, tombée dans « le cercle vicieux d’une déportation perpétuellement revécue » 294 ; le personnage de l’apprenti glisse dans celui, pour reprendre le mot de Dhia Gritli, du « sauveur » qui, « […] en l’aidant à se cacher – ultime acte d’insoumission, de résistance à l’ordre établi et à la volonté

1830-1905,alias « Enjolras » est une figure emblématique de « La commune » en 1871.Militante anarchiste,on se la représente au combat,les armes à la main en faveur de la commune.Son caractère bien trempé,ses actions,sa détermination lui ont valu la déportation en Nouvelle-Calédonie en décembre 1873.Ce 7ème convoi ne transportait que des déportés politiques dont faisaient partie Louise,rocheford ou encore Nathalie Lemel. Cette terre d’exil fut pour elle l’occasion d’approcher le monde canaque et d’écrire

Wladyslaw est séparé de ses proches et sauvé du convoi par un des gardes de sa connaissance.Il ne reverra plus jamais sa famille. il exécute des travaux de maçonnerie et de terrassement dans des conditions inhumaines.Se sachant condamné à la déportation à plus ou moins brève échéance, Wladyslaw,grâce à des amis ,réussit à se cacher dans un appartement.Il est rapidement trahi et est contraint de changer de cachette.Il assiste à la destruction du ghetto. il est tout de même hébergé par des résistants

la grâce divine amène à son repentir et transforme sa chute en salut. C’est ce point qui distingue l’héroïne anglaise de son collègue espagnol Lazarillo de Tormès qui restera un anti-héros jusqu’au bout.  424 – 471 : Moll condamnée à la déportation retrouve en prison son mari du Lancashire. Il n’y a d’abord aucun signe de repentir. Puis la conscience de Moll se réveille et elle commence à prier Dieu. Elle retrouve aussi son mari irlandais à Newgate et cela l’attriste. La gouvernante qui

traduit par la mise en place de kolkhozes (exploitations agricoles collectives). 4 – Beaucoup de paysans se révoltent face à cette politique. 5 – La répression stalinienne se traduit par l'exécution (« liquidation ») des personnes insurgées, la « déportation » des familles et l'emprisonnement des opposants dans des goulags (camps de travail). Paragraphe argumenté : En 1924, après la mort de Lénine, Staline s'impose à la tête de l'URSS et met en place un État totalitaire. Ce système est basé sur le

mondiale.22 juin 1940 : signature de l’armistice par les plénipotentiaires français. L’armistice met en place les conditions de l’Occupation allemande. novembre 1942 : * Occupation de la zone libre par les Allemands * Départ du 45e convoi de déportation des Juifs de France vers Auschwitz : 745 déportés, 2 survivants en 1945.6 juin 1944 : Débarquement de Normandie. Le général américain Eisenhower assure la direction. Du 18 au 25 août : Paris est libéré.8 mai 1945 : L’Allemagne capitule. Hitler s’est