Dépression

d’infériorité. - Angoisses. - Fuite du contact et repli sur soi. - Dépersonnalisation. - Discordance (ambivalence, incohérence, flou des propos, coupe des cheveux,…) - Manie (logorrhée, expansivité, fuite des idées…). - Dépression d’allure mélancolique. - Maintient malgré tout de l’insertion professionnelle. • Evolution : - En 1984 : s’agissant d’un premier épisode, il convient d’être prudent et de s’en tenir à un diagnostic de psychose délirante aigue. Mais l’absence

hallucinations entraînent des troubles de la visions, particulièrement lorsque le sujet se trouve debout. D'après le Docteur Marc Schwob « la crise est précédée ou accompagnée d'auras (sensations visuelles anormales) qui disparaissent sans séquelles ». La dépression majeure, la manie, le choc émotionnel, la cataracte, le surmenage, l'épilepsie et la déshydratation grave (mirage dans le désert) sont aussi des causes possibles d'hallucinations. Fort heureusement, pour certaines de ces hallucinations, des solutions

mâtiné Mr D reste encore le plus souvent alité. Mr D a vu l’assistante sociale pour son devenir et une demande de convalescence, elle devait voir sa fille pour envisager un rapprochement prés de chez elle (Arras) PROJET DE SOINS : • Problème de dépression lié a un syndrome dépressif connu, majoré par de l’anxiété se manifestant par ses dires (Mr D est nostalgique de son domicile et de la présence de ses chiens (il dit « avoir peur de mourir ici, sans pouvoir dire au revoir a ses chiens), et aussi

d’action exact n’est pas connu. Effets indésirables : infection virale :pneumonie, infection respiratoire, infection urinaire, infection, otite moyenne, leucopénie, anorexie, augmentation de l'appétit, agressivité, confusion et labilité émotionnelle, dépression, anxiété, nervosité, trouble de la pensée, somnolence, étourdissements, ataxie, troubles visuels tels qu'amblyopie, diplopie, vertige, hypertension artérielle, vasodilatation, dyspnée, bronchite, pharyngite, toux, rhinite, vomissements, nausées

Apparition progressive d’une détérioration intellectuelle où prédominent les troubles de la mémoire, les fonctions « exécutives ». Evolution vers une démence dans plus de 40% des cas. Dr MESSIN-02/2011 TROUBLES DE L’HUMEUR ET DU COMPORTEMENT Dépression fréquente : 40% des cas à tous les stades de la maladie. Anxiété. Apathie. Manifestations hallucinatoires (traitement ?). Délire de type paranoïaque. Le risque de survenue de ces troubles psychiques augmente avec l’âge, la sévérité des troubles

Casselardit Ergothérapeute : XXXXXXXXXXX Melle XX est une jeune femme de XX ans, entrée en hospitalisation libre le XXXXXXX à l’XX, à XXXXXXX pour idées suicidaires et dépression. La veille, son père, suite à une énième agression verbale, et sous l’emprise de l’alcool, devient violent et parle de la tuer. Rassemblant des médicaments dans le but de les ingérer, elle se ravise et demande de l’aide aux urgences psychiatriques. Anamnèse de la patiente Melle XXXXX, née le XXXXXX

propre d’une carence est d’entraîner des frustrations • Carences affectives chez des vieillards : - Besoin d’un climat de tendresse - Les enfants partent - Perte de conjoint - Isolement - Ruptures affectives - Les proches meurent - Morosité, dépression 8 Page : 8 Les femmes sont moins sujettes à ne pas sombrer comme les hommes. Dans les échanges affectifs on donne plus que l’on reçoit. Plus les enfants sont proches de leur mère plus ils vont avoir du mal à assumer son rôle parental. Le

dégradation de ses fonctions supérieures. 3) Antécédent médicaux : embolie pulmonaire AVK au long cours autres vertiges périphériques autre chute de plain-pied insuffisance rénale chronique anxiété généralisée dépression névrotique hypertension artérielle essentielle artérielle syndrome démentiel modérée arthrose lombarthrose troubles de la marche 4) Antécédents chirurgicaux : fracture de l'épaule appendicectomie cholécystectotomie

impose son environnement et de ses propres ressources pour y faire face » • Perception éminemment subjective qui entraîne donc des distorsions et des erreurs d’ajustement. Page 6 Conséquences sanitaires • Troubles psychologiques • Anxiété, dépression nerveuse, apathie, troubles du sommeil, alimentation, burn out, karoshi (mort au travail)  entre 96 et 2001, +30% consommation d’anti dépresseurs. • Maladies somatiques. • Maladies respiratoires, diabète, cardiaques, TMS, fibromyalgies,  selon

de troubles des fonctions de repos : endormissement plus difficile, réveil nocturne (et la fringale qui va avec), agressivité (nous sommes des prédateurs qui avons besoin d’agressivité pour chasser), instabilité de l’humeur, entre excitation et dépression. La restriction alimentaire et énergétique s’accompagne de troubles liés à l’altération de certaines fonctions digestives : ralentissement de la vidange gastrique (évacuation de l’estomac), ralentissement du transit intestinal et constipation