Deus ex machina

permettent de concocter des charmes ou encore d'ouvrir, à l'aide de sa « baguette », la porte de la prison où Égée est retenu prisonnier. Ces éléments impliquent que des stratagèmes ont été mis en place sur scène pour retranscrire le merveilleux. Le deus ex machina final en est la preuve. Médée est aussi à placer dans une approche baroque car elle possède un goût prononcé pour la violence et le macabre. En effet, les meurtres se font sur scène et les personnages meurent lentement et dans d'atroces souffrances

doit être complet et rapide. Inscrit dans le dernier acte, il résout le conflit de façon définitive. Idéalement, il doit résulter de la logique de l'action elle-même. On connaît cependant des dénouements qui découlent d'une intervention divine (deus ex machina) comme dans Dom Juan, de Molière. Il peut être déclenché par une dernière péripétie : la reconnaissance, le mariage dans la comédie ; la catastrophe dans la tragédie et le drame. IV. La dramaturgie du théâtre moderne Toute définition du

qui se fait passer pour un héros, une personne d’exception. Le singe n’a rien de poétique, bien au contraire : il est vulgaire ! C’est Victor Hugo qui se cache derrière le belluaire et il vient apporter une solution miraculeuse, une sorte de « deus ex machina ». On a une image de dévoilement, d’un masque qui tombe, comme au théâtre. Il veut lancer un message qui est une mise en garde : on peut toujours se faire duper par un imposteur. Conclusion : Le texte constitue un apologue avec une argumentation

mieux que lui ne sait se faufiler à travers un enchevêtrement d'aventures d'apparence inextricable pour aboutir, sans fatigue et sans défaut, au dénouement logique et naturel. Il est obtenu grâce à Cador qui joue dans la nouvelle le rôle de « deus ex machina », Voltaire ayant recours à lui quand il s’agit de régler une situation embarrassante. L'amour est le ressort qui déclenche les événements, et les événements à leur tour déclenchent des réflexions. Mais Voltaire ne retint que les épisodes principaux

dans l'action, sans préambule (voir exemple in Bordas 1°, p. 503 : Lorenzaccio) L'intrigue (ou 1'action) . L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de Cinna (1640) de Corneille : Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste, conspire contre celui-ci afin de venger son père. Cinna, son amant, doit tuer Auguste. Mais Cinna est partagé entre son amour pour Emilie et son estime pour Auguste

scène le coup de théâtre qui rétablit l’ordre familial bafoué par l’intrusion et les menées malhonnêtes de l’imposteur. L’intervention royale, telle que la décrit l’officier qui exécute ses ordres (v. 1904-1944), n’est pas simplement celle d’un deus ex machina, d’un dieu de théâtre descendu "de la machine" pour dénouer une action sans issue. Le roi est en effet présenté par l’Exempt qui arrête Tartuffe — au moment où celui-ci lui demandait d’arrêter Orgon — en garant de la véritable justice qui ne se

dominant/dominé. Les conflits d’idée/politique sont essentiellement au XXème siècle avec le théâtre de l’Absurde, engagé : ex Ionesco, Anouilh, Camus, Sartre, Giraudoux. Les conflits intérieurs sont présent de l’antiquité jusqu’à nos jours : Le conflit amoureux : Le Cid de Corneille La jalousie: Phèdre de Racine (tragédie) mais aussi dans la comédie où cette jalousie devient ridicule ex LMF  Quelque soit le type de conflit, il est toujours présent dans une pièce de théâtre : on dit que le conflit est

demeure » : on assiste à un dénouement inattendu qui fait l’effet d’un véritable coup de théâtre. C’est grâce à l’exempt, que l’on considérait alors que comme un personnage secondaire que la situation bascule. Cette intervention s’apparente à un « deus ex machina » (Dieu issu de la machine) qui est une intervention divine, venant dénouer une situation dramatique lors d’une représentation théâtrale descendu sur scène à l’aide d’une « machine » Interrogation « Qui ? moi, Monsieur ? », « Pourquoi donc la

dimension théâtrale apporte du sens au texte. I) Ces deux scènes constituent le dénouement 1) L’intervention du surnaturel Don Juan ne peut être arrêté par les humains donc c’est dieux qui se doit de l’arrêter grâce au spectre et à la statue (Deus ex machina) On voit la scène de la punition alors que l’usage veut que dans la tragédie on ne le voit pas donc parodie de la tragédie. Femme voilée = toutes les femmes que Don Juan a séduit Représentation du temps = allégorie de la mort Spectre relayé par

Le dénouement est le moment où les conflits se résolvent (dans la comédie), où la mort et le malheur l'emportent (dans la tragédie). Quelques principes classiques doivent cependant être respectés, notamment la vraisemblance : l'arrivée d'un deus ex machina que personne n'attend et qui, ayant tout pouvoir, résout les problèmes par enchantement doit rester exceptionnelle. Si, en principe, il répond à toutes les questions que le spectateur se pose, on remarque cependant que, dans le théâtre contemporain