Devoir de mémoire

Plan détaillé : Les dérives de la mémoire collective : La mémoire collective s’oppose à la mémoire individuelle en ce qu’elle concerne une collectivité, une nation, une communauté locale voire internationale. C’est une intéraction entre une mémoire « vérifiée », dite historique et une mémoire « du souvenir », subjective. Le terme mémoire vient du latin memoria, qui désigne l’aptitude à se souvenir, est avant tout un terme scientifique qui renvoie à l’une des principales facultés de l’esprit

d'interprétations et d'utilisations qui échappent au champ de l'histoire quand il s'agit pour une société de construire une mémoire ou un patrimoine empreints de subjectivité, où les traces du passé deviennent des facteurs d'unité d'une communauté ou d'une nation qui s'y reconnaît, quitte à en faire des mythes éloignés du souci d'objectivité de l'historien. I – L'histoire et la mémoire A – Histoire et identités des peuples ×La fonction particulière de l'histoire traditionnelle : Pour certains historiens

il y a une déshumanisation. « Pensez-y » : Il ne demande pas seulement de se souvenir : il ne s’agit pas d’un simple devoir de mémoire (au sens où l’on conserverait un souvenir en archives pour le sortir de temps en temps). Il s’agit de méditer, de réfléchir. Levi appelle à une vigilance constante. Le texte se clôt par une malédiction, si l’on venait à oublier de manquer à ce devoir. Elle occupe trois lignes, et maudit cette personne dans ses biens (« la maison »), sa santé, l’affection de ses enfants

durement d’un point de vue physique pour les hommes. Lévi accorde une place importante au devoir de mémoire. On peut diviser ce texte en 4 grandes parties : -> Du vers 1-4 : L’auteur fait allusion à la vie confortable et tranquille des « civils ». -> Des vers 5-14 : L’auteur confronte la vie confortable des « civils » à la vie des déportés hommes et femmes. -> Des vers 15-20 : Lévi appelle au devoir de mémoire -> Des vers 21-23 : Lévi lance la malédiction finale à l’égard de ceux qui ne veulent

juste un passage dans l’histoire du monde. * Tu es insensible à tout cela, c’est ton choix, mais moi ça me touche beaucoup. Ce centre, que nous avons visité, nous permet de ne pas oublier ce que ces personnes ont vécues, c’est simplement un devoir de mémoire envers tous ces déportés et ces résistants. »

rimes sont embrassées. Ce poème a été conçut après la 1ere guerre mondial et a été écrit par Louis ARAGON en 1956. Problématique : Nous allons voir quel regardl'auteur porte sur l'histoire de la 1ère guerre mondial ,la compassion et le devoir de mémoire que l'auteur porte au soldats . (thème 1 de l'histoire des arts) Annonce du plan : Le plan va secomposer en 2 partie : -La destinée des soldats -La mort des soldats La destinée des soldats : Dans ce poème ,Louis ARAGON s'adresse

conservation : technique(s) utilisée(s) : 9 couplets Domaine artistique : (ex : arts du visuel) Nature de l’œuvre : (ex : photographie) Art du son Chanson Place dans l’histoire des arts ? L’œuvre a-t-elle influencé d’autres artistes ? Devoir de mémoire. Non. 2- L’auteur Nom de l’artiste : Jean FERRAT Dates de naissance et de mort, nationalité : 26 décembre 1930 – 13 mars 2010. Français. Faits ayant pu influencer cette oeuvre (événement marquant dans sa vie, appartenance politique

Travail de recherche : devoir de mémoire Thème : Le monument aux morts de la première guerre mondiale de votre commune Ces monuments on pour but de glorifier les soldats, de les exalter plus encore que de les pleurer. Les monuments que la France élève à leur mémoire, dans un élan de reconnaissance infinie, ne peuvent être des monuments de douleur et de tristesse, mais des monuments d’apothéose. La France d’aujourd’hui, qui a vécu des heures d’angoisse de la tourmente veut que la France de demain

d'éthique ? En quoi la connaissance du passé est-elle une nécessité ? l'Homme est avant tout un être pensant qui se projette dans l'avenir et qui surtout a la notion de temps. En effet, contrairement aux autres espèces animales, il est doté d'une mémoire. Il ne nous suffit pas de vivre dans l'immédiateté, notre raison nous y empêche. Dès lors, comment ne pas devenir fou si nous sommes perpétuellement confronter à l'incompréhension de nos héritages ? Marcher dans la rue, apercevoir une église, et ne

du peuple. 2- Les couleurs sont vives au début de la BD et elles s’assombrissent au fur et à mesure que les soldats s’enterrent dans les tranchées. III- Tardi veut faire prendre conscience de l’horreur et de la bêtise de la guerre. C’est un devoir de mémoire de la part de Tardi pour éviter que cela ne se reproduise. Un récit antimilitariste. Contexte historique Description Conclusion