Discours direct

la fourmi (live I, Fable 1) : Résumé : Une cigale insouciante se voit refuser le secours de sa voisine la fourmi qui la condamne à la mort imminente. Images récurrentes : - Personnification : de la cigale et la fourmi. - Prosopopée : discours direct d’un être disparu, d’une personnification, d’une allégorie : la cigale dit à la fourmi. - Moral implicite. - Thème : l’art et l’argent avec inversion de la situation de la cigale. - Forme : vers irréguliers, alternance de rimes analogues.

le recours à la fable est-il mis en valeur ? Le fabuliste permet-il de comparer les deux discours ? Dans un premier temps, dans les vers un à quatorze, l’orateur cherche à convaincre son peuple en s’exprimant avec violence. Les nombreux verbes d’actions tels que « courut » (v.3), « parla » (v.5), « recourut » (v.6) nous montrent l’énergie qu’il met pour se faire entendre. En plus d’être violent, le discours de l’orateur semble également très bruyant et fait naître une impression de cacophonie.

la description simpliste et sobre de l'esclavage par Voltaire derrière les propos du nègre. Nous remarquons la forme du texte : un dialogue encadré de narration. En effet, Candide introduit, et clôt le dialogue. Voltaire a décidé d'employer le discours direct afin de faire parler les personnages, et leur donner cette complicité dès la rencontre : ils partagent le même langage puisque Candide parle en hollandais et qu'il désigne son interlocuteur par « mon ami », puis il favorise la parole de l'esclave

d'abord le personnage à travers un groupe nominal assez vague, « une femme » pour la désigner ensuite avec le pronom personnel de la troisième personne du singulier « elle ». Ce n'est qu'à la moitié du passage que son nom est cité par le biais du discours direct d'une personne de la foule non déterminée : « Ohé, madame Baptiste ! ».Cependant, si le passage étudié correspond bien à un récit,le narrateur semble présenter la scène comme une scène de théâtre. D'abord la présence du théâtre apparaît à travers

par le fait que le conte se déroule en Westphalie. De même, le nom de « Candide » résume le personnage et l’enferme dans une naïveté qui confine à la bêtise. Le choix des noms ne serait qu’une annonce de l’ironie que souligne les interventions directes du narrateur, lorsque, par exemple, dans la phrase « c’est, je crois, pour cette raison qu’on le nommait Candide », il feint le doute alors qu’il insiste sur sa simplicité et sa douceur avec l’utilisation du superlatif . Les phénomènes de renchérissement

moins est déjà subdivisée par la virgule ; ou encore pour séparer des propositions de même nature qui ont une certaine étendue. Il clôt des phrases courtes formant une énumération. o Les deux-points s'emploient pour annoncer une citation, un discours direct ; pour annoncer l'énumération, l'analyse, l'exemple, la conséquence, la synthèse de ce qui précède. o Les points de suspension indiquent que l'expression de la pensée reste incomplète, qu'une citation ne reprend pas entièrement le texte ou

des temps : « j’ai aimé » terminé  amour révolu v.2 « regardaient »  description « Vous êtes »  discours ( ponctuation) « S’éloigne »  discours ? Description ? Juxtaposition des temps (// cubisme), éclatement temporel 2) Mélange des genres et des registres - Elégie, tristesse - « Or » en début de vers, qui n’introduit pas un élément narratif  Surprise - Mélange de discours direct « Qui donc… » et de description intemporelle - Eléments lyriques traditionnels : « barque », « eau »

abondamment de la question rhétorique. ß I. Un dialogue fictif. 1. L’énonciation. Nous avons du discours direct à travers un « je » et un « tu ». Seul le « je » parle en s’adressant de façon ponctuelle à un interlocuteur. Cela permet au locuteur d’exposer sa thèse tout en gardant un certain effet de réel puisque tt est dit sur le ton de la conversation Il utilise le discours direct : les pronoms je, tu, nous, on ; le présent, une ponctuation expressive. Les propos semblent réellement tenus

plus virulente est dirigée contre la propagande officielle. La force de cette propagande est exprimée par la formule « On vous a fait croire», reprise aux lignes 2 et 8 du premier premier paragraphe, ensuite désignée nommément dans le second : « discours officiels » (l. 17) repris par la formule hyperbolique violemment accusatrice, « une propagande éhontée ». Son efficacité est soulignée par la reprise du verbe « croire », d’abord au présent : « Les meilleurs d’entre vous croient, de bonne foi »

Prof: Edward Tilson - French 3171 | 10/28/2013 | | Étudiez l`analyse des sentiments dans La Princesse de Clèves dans leurs rapports aux autres discours (narrative, descriptive, etc.) du roman. En quoi ses rapports caractérisent-ils une nouvelle idée du roman? Je vais vous introduire aux sentiments de Madame de Lafayette et comment qu’elle réserve ses émotions pour ne pas être le bouffon dans