Divine Comédie

l'Iliade trouve de nombreux admirateurs, y compris certains de ses ennemis troyens. Quelques siècles plus tard, le personnage inspire toujours et connaît aussi des qualités et des défauts divers. C'est ainsi que l'œuvre la plus célèbre de Dante, La Divine Comédie, écrite entre 1307 et 1321, nous représente un Ulysse, ici nommé Dante qui est à la fois l'auteur et le héros de cette épopée, témoignant de la civilisation médiévale. Cette œuvre a été écrite en Italien. C'est un poème divisé en trois parties

libéré de la stylisation de l'art byzantin, qu’il a créé de nouveaux idéaux de naturalisme et un nouveau sens de l’espace pictural. Son énorme succès a d’ailleurs été reconnu par ses contemporains : Dante lui consacre un passage fameux de la « Divine comédie » où il écrit qu’il dépasse son maître Cimabue ; en 1400 Cennini a écrit que « Giotto traduit l'art de la peinture du grec au latin ».

penser que Pinocchio a toujours existé, on ne s'imagine pas en effet un monde sans Pinocchio. » Les Aventures de Pinocchio a été le deuxième livre le plus vendu en Italie au XXe siècle avec le tirage de 9 à 10 millions d'exemplaires, derrière la Divine comédie de Dante Alighieri (11 à 12 millions d'exemplaires)[1]. Pinocchio signifie en toscan « pignon » (« pignolat » ou « pigne » en provençal, « pinolo » en italien. C'est la graine comestible du pin pignon (Pinus pinea) dont l'amande protégée par

XIe-XIIIe siècles sont souvent décrits comme un « beau Moyen Age » et une période d'essor démographique, on voit se développer dans un même temps de nombreuses représentations originales de la mort (comme le tympan de Sainte-Foy de Conques ou La Divine Comédie de Dante). En effet, si les XIe-XIIIe siècles se caractérisent par un calme relatif – les invasions normandes et hongroises ont pris fin, la Guerre de Cent ans n'a pas encore commencé – comme en témoignent les grands défrichements, la mort n'est

fille qu’il « voit » se faire kidnapper « sous les yeux » de Virgile. Des éléments fantastiques : * Des dates précisées * Le récit à la 1ère personne : « je » * Un sentiment d’inquiétude, de peur * Des références à « La Divine Comédie » de Dante Alighieri grand poète italien dans laquelle Virgile est le guide du poète à travers l’enfer et où Béatrice, la femme aimée de Dante le mènera vers le paradis. D'autres thèmes : * Les relations inter-générationnelles *

intitulé les “ portes de l’enfer “ destiné au “musée des arts décoratifs “ à Paris. Placé au dessus d’une série de condamné sculptés en bas relief, “le penseur” intitulé à l’époque “ le poète “ représente en fait le poète italien DANTE auteur de la “ divine comédie “, méditant sur la condition humaine. Mais faute de crédits, le projet dans son ensemble n’a pas lieu. Rodin expose alors “ le penseur “ au cours de l’exposition universelle et après quelques modifications, en particulier de taille, elle devient

le fameux bleu de Giotto - a été commandé au début du XIVe siècle par un riche mécène, Enrico Scrovegni, banquier et homme d'affaires padouan, fils d'un célèbre usurier de Padoue, que Dante avait précipité en enfer, au chant dix-septième de la Divine Comédie. Histoire[modifier]La première pierre de la chapelle a été posée l'année du premier Jubilé (1300). Pour décorer la chapelle qu'il faisait construire, à côté de son palais, Enrico Scrovegni fit appel aux plus grands artistes de l'époque : Jean

La divine comédie: Ce récit est en quelque sorte, l'histoire d'un poète voyageant dans un monde imaginaire. Ce voyage se divise en trois phases, l'Enfer, le Purgatoire et le Paradis. L'Enfer est une sorte d'ensemle d'anneaux numérotés de manière à former une sorte de cône renversé. La partie terminale du cône représente la rencontre avec Lucifer (le Diable). Le premier de la série d'anneaux se nomme la Limbe. La Limbe représente les âmes pures, mais celles qui n'ont pas reçu de baptème. Les enfants

Mimésis pour Aristote : 1) les moyens est le mètre 2) le personnage est les objets de la mimésis 3) les modes — comparaison entre Homère et Empédocle ; — soit : on imite ou non personnages nobles (tragédie – noble/ comédie – pas noble) — soit on présente meilleur (épopée), pire (comédie) ou semblable à héros réels (exclusion de toute forme de réalisme — soit un narrateur raconte, soit les personnages en discours direct, soit un mélange des deux. Aristote

scène avec une complaisance certaine, comme s’il s’ennoblissait de cette fin si belle qui consiste à se donner la mort pour son aimée, et à se mettre dans les traces d’un Paolo Malatesta, par exemple, l’amoureux de Francesca da Rimini dans La Divine Comédie de Dante. Son suicide est théâtral au possible et Roméo, même à l’article de la mort, ne cesse de ressasser ces métaphores littéraires dont il use sans doute trop : celle de la mort comme d’une barque est tissé d’un bout à l’autre de la tirade