Divine Comédie

de torture fut encore employé à la fin du ve siècle avec l'exécution à Toulouse d'un certain Burdunellus. Références littéraires au taureau d'airain Dante cite le taureau d’airain au Chant XXVII de l'Enfer (vers 5 à 12), première partie de la Divine Comédie : « Come 'l bue cicilian che mugghiò prima col pianto di colui, e ciò fu dritto, che l'avera temperato con sua lima, mugghiava con la voce de l'afflitto, sì che, con tutto che fosse di rame, pur el pareva dal dolor trafitto; » « Comme le taureau

penser que Pinocchio a toujours existé, on ne s'imagine pas en effet un monde sans Pinocchio. » Les Aventures de Pinocchio a été le deuxième livre le plus vendu en Italie au XXe siècle avec le tirage de 9 à 10 millions d'exemplaires, derrière La Divine Comédie de Dante Alighieri (11 à 12 millions d'exemplaires)[1]. L'histoire Article détaillé : Histoire de Pinocchio. « Il était une fois... — Un Roi ! s'écrieront aussitôt mes petits lecteurs. Non, les enfants, vous vous trompez. Il était une

à partir de son quotidien dans le camp, la lutte et l'organisation pour la survie des prisonniers. Tout au long de ce récit, il montre les horreurs de la déshumanisation des camps. Ce livre comprend de nombreuses citations et rappels de la Divine Comédie de Dante : là où Dante descend dans les neuf cercles de l'enfer avant de retrouver le paradis, Primo Levi s'enfonce dans l'horreur de ce camp d'extermination. Il est considéré comme l'un des meilleurs témoignages sur la Shoah, car contrairement

1947, Si c’est un homme de Primo Levi est un récit autobiographique d’un homme dans l’enfer des camps. Tout au long de ce récit, il montre les horreurs de la déshumanisation des camps. Ce livre comprend de nombreuses citations et rappels de La Divine Comédie de Dante : là où Dante descend dans les neuf cercles de l'enfer avant de retrouver le paradis, Primo Levi s'enfonce dans l'horreur de ce camp d'extermination pour être détruit à jamais. La guerre n’est pas nécessaire, certes, mais ce

quelques sculptures de sujets religieux et collabore à diverses revues dont le Journal pour tous. En 1854, l'éditeur Joseph Bry publie une édition des œuvres de Rabelais, illustrée d'une centaine de ses gravures. De 1861 à 1868, il illustre la Divine Comédie de Dante. De plus en plus reconnu, à la fois autodidacte et exubérant[style à revoir], Gustave Doré illustra entre 1852 et 1883 plus de cent vingt volumes qui parurent en France, mais aussi en Angleterre, en Allemagne et en Russie. Lors de

homme en train de méditer, Le Penseur de Rodin est aujourd'hui universellement connue. Créée en 1902, cette oeuvre est née d'une commande du musée des Arts décoratifs de Paris. Ce dernier voulait en effet créer un portail monumental basé sur La Divine Comédie de Dante. Chacune des statues devait représenter l'un des personnages principaux du poème. La sculpture en bronze Le Penseur, d'abord appelée Le Poète, a donc été imaginée pour représenter Dante devant les portes de l'Enfer, méditant sur son poème

voyageur, et Ulysse en sait quelque chose, lui qui, à son retour à Ithaque, n’a d’abord été reconnu que par son chien. L’errant s’est enrichi de son expérience, mais il peut parfois payer cette richesse par une nouvelle errance, comme l’Ulysse de la Divine Comédie de Dante qui préfère finalement se détourner d’Ithaque en une ultime errance « pour acquérir l’expérience du monde » à la recherche d’un horizon toujours inaccessible. Ithaque résume alors tous les fantasmes du voyage : elle est le lieu du retour

qui se disputent les anges et les démons s'accrochant à un chapelet. Cette dernière image est une condamnation des protestants pour qui la dévotion à la Vierge est rejetée. Tout en bas de la fresque, on remarque deux personnes inspirées par la Divine Comédie de Dante. -Charon chasse les damnés quant à Minos, lui, est représentés avec des oreilles d’âne, il avait critiqué la fresque et Michel-Ange ne l'a pas pardonnée- L'ensemble des personnages est emporté dans un mouvement d’éclipse. C'est une

lois de la nature. La créature est comparée à l'enfer, comme si Frankenstein avait projeté une image infernale sur sa créature. De plus, l'auteur italien Dante est mentionné, il est donc facile de faire le lien avec son œuvre la plus connue, la Divine Comédie, divisée en trois parties : le paradis, le purgatoire et l'enfer. Cet article explique que, bien que Mary Shelley ne fournisse aucune explication ou discussion détaillée quant à exactement comment Victor Frankenstein a créé son « homme mort

vers l'enfer par les démons qui s'accrochent à un chapelet : condamnation implicite des protestants qui rejètent leur dévotion de la Vierge. Enfin, tout en bas de ce tableau, on remarque deux personnages inspirés non par la Bible mais par la Divine comédie de Dante : On voit Charon chassés les damnés hors de sa barque. L'ensemble compose une scène saisissante à la fois ordonnée et bouillonnante. Les personnages, prfois contorsionnés, semblent nous emportés dans un gigantesque mouvement d'éllipse