Duché de Brabant

Albe qui écrasa les révoltés près de Jemmingen à l’été 1568.38 Guillaume d’Orange chercha alors une confrontation directe entre ses troupes et celles du duc d’Albe et pour ce faire, passa la Meuse près de Maastricht et traversa le Limbourg et le Brabant, sans qu’une réelle bataille n’ait lieu. Sans ressources, Guillaume dut abandonner son idée de combat et se retirer, laissant les deux principautés traversées en ruines.39 Plus tard, en 1572, un noble de la famille de Nassau et une troupe de Huguenots

pas tout de suite et proposent la couronne occidentale à Arnulf qui les éconduit. Il faut compter aussi avec les autres grands : Richard le Justicier dans la partie occidentale de la Bourgogne intégrée au royaume de Francie occidentale (le futur duché de Bourgogne) qui préféra se contenter de ce titre, Guillaume le Pieux, comte d'Auvergne et marquis de Gothie mais dont la sphère d'action est lointaine. Le pouvoir est régionalisé et négocié entre des grands qui ont à cœur de défendre leur principauté

à cette suzeraineté, situé à l’ouest de l’Escaut moyen et aval, certes de parler flamand dominant, englobait des territoires septentrionaux de parler picard (la Flandre «française», mais aussi l’Artois et le Hainaut à certaines périodes). Le Duché du Brabant, implanté à l’est du même Escaut, partie de l’Empire germanique, majoritairement germanophone (parler brabançon), comportait une partie méridionale de parler wallon. Quant au Comté de Namur, essentiellement francophone (wallon) il avait une petite

Gesta episcoporurn Leodiensiurn de Gilles d'Orval, ni les Gesta abbret:iata attribués au même auteur - deux textes des environs de 1250 - ne reprennent la lïta Rolendis ; par contre, c'est cette Vila qui a poussé l'auteur d'une généalogie des ducs de Brabant rédi gée vers 12ïO1271 à insérer le nom de Rolende parmi les nomina quorumdam sanctorum et sanctarum prosapie illustri,�simorum duel/m Lotharin­ gie et Braban tie, annexés à sa généalogie 65. En plaçant vers 1250 ou au début du troisième quart du

le périmètre des régions et départements limitrophes de notre pays. France : Nord Pas-de-Calais, Picardie, Champagne Ardenne, Lorraine Allemagne : Rhénanie du Nord-Westphalie, Rhénanie-Palatinat, Sarre Pays-Bas : Zélande, Brabant Septentrional, Limbourg Grand-Duché du Luxembourg Si un de ces états entre en guerre ou n’offre pas une sécurité suffisante, le camp ne peut avoir lieu. Pour déterminer cela, la fédération se base notamment sur les informations venant du Ministère des Affaires

plus tard, qu'il a certainement servi le roi en secret... -Camille Desmoulins Camille Desmoulins est né en 1760 à Guise. Ce journaliste participe au mouvement révolutionnaire en rédigeant le journal "Les révolutions de France et de Brabant", il devient un des principaux orateurs de la Révolution française. Son premier grand discours a lieu devant la foule réunie dans les jardins du Palais-Royal devant le café de Foy le 12 juillet 1789 après le renvoi de Necker. Son rôle est important

entreprend de conquérir la Lotharingie en tant que seul carolingien régnant. Il passe par l’alliance avec les chefs des principautés locales. Au début de son règne, il a ainsi soutenu le comte Régnier, qui dispose de possessions en Ardenne, Hainaut et Brabant dans son opposition à Zwentibold mais renonce à intervenir lorsque l’aristocratie lotharingienne prend le parti de Louis l’Enfant en 900. En 911, l’élection de Conrad en Francie orientale est mal vécue par les Lotharingiens qui se tournent vers Charles

dictature, il est arrêté et guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794). Camille DESMOULINS (1760-1794) : Avocat, il est à Paris le 12 juillet 1789, où il incite le peuple à prendre les armes. Il fonde un journal, les Révolutions de France et de Brabant, et se lie à Danton. Elu avec lui à la Convention, il rejoint son groupe d’Indulgents. A la fin de 1793, il lance un appel à mettre fin à la Terreur, ce qui irrite Robespierre, qui était pourtant son ami. Desmoulins est arrêté avec Danton, jugé et

oppositions. Les catholiques et les libéraux belges vont former une alliance, l’Union, contre Guillaume I. 3) Le royaume des Pays-Bas (1814-1830). Guillaume I est le roi des Pays-Bas qui comprenaient les Pays-Bas actuel, la Belgique et le Grand-duché du Luxembourg. Les Belges veulent la séparation. Mais pourquoi les Pays-Bas ont-ils été créés en 1814 ? Les troupes de Napoléon avaient conquis l’Europe. En 1813, les alliés contre Napoléon arrivent aux Pays-Bas et libèrent le territoire. Ils

dirigés par un souverain, Joseph II, dit « le monarque éclairé ». Il va tenter de moderniser un peu les territoires sous sa domination. Il va, entre autre, tenter de diminuer le pouvoir de l’Eglise, et ainsi contrôler ses activités. Chaque ancien duché a ses propres règles. Joseph II va tenter d’unifier tout cela, et ainsi tenter de centraliser le pouvoir administratif à Viennes. Problème : Ces mesures sont très mal vues par les autorités de l’époque. De là éclate la révolution Brabançonne. 1. La