Élection présidentielle française de 2007

| |Majorité relative (ou majorité simple) |le plus grand nombre de suffrages exprimés au second tour. | |Abstention |ne pas participer à une élection ou à des opérations de référendum. | |Bulletin blanc / vote blanc |pour un électeur, mettre dans l'urne un bulletin sans nom de candidat. | | |Ce

Ce travail trouve son origine immédiate dans la campagne des présidentielles de 2007: le candidat conservateur, depuis président de la République, qui se servait naturellement du thème de l'émigration pour se concilier le vote des électeurs d'extrême droite, tenta plusieurs fois de mettre en avant le sujet du regroupement familial. Il n'obtint pas d'ailleurs de se voir suivi ni par le candidat du centre ni par la candidate du PS, laquelle ne releva pas la perche hameçonnée tendue lors du débat du

bénéfice est réinvesti, et relevé à 40% lorsqu'il est distribué. Cette modulation changerait la donne pour beaucoup de PME qui seraient soumises à un impôt sur les sociétés beaucoup plus faible.» Ségolène Royal, dans les 100 propositions pour la présidentielle 2007: «Donner la priorité à l’investissement des entreprises avec un taux d’impôt sur les sociétés plus bas si le bénéfice est réinvesti et plus haut s’il est distribué aux actionnaires.» Benoît Hamon et Henri Emmanuelli avaient quant à eux signé

La campagne présidentielle de 2007 voit, pour la première fois depuis Raymond Barre en 1988, une personnalité du centre rassembler un soutien assez important pour être considérée comme éligible. François Bayrou annonce le 3 mars 2007 dans Le Monde qu'en cas d'élection, il créera "un grand Parti démocrate". Avec 18,57 % des voix au premier tour, le 22 avril 2007, François Bayrou arrive en troisième position. François Bayrou annonce la création du « Parti démocrate ». Le 10 mai 2007, les conseillers

est communément et officiellement admis qu’elles sont aussi à-même que les hommes pour exercer une carrière politique. En témoigne le parcours de la socialiste Ségolène Royale qui s’est confronté à Nicolas Sarkozy lors du deuxième tour des présidentielles de 2007 : du jamais vu jusqu’alors. Cependant, encore aujourd’hui, il reste « dur d’être une femme en politique » comme le souligne Roselyne Bachelot, dans un monde régit par des codes masculins et teinté de sexisme. Ces femmes se trouvent souvent

pour une élection pose le problème de l’égalité d’accès entre les candidats. Les hommes politiques dépendent des médias et du format qu’ils imposent. La télévision, par exemple, conditionne certains comportements : il faut résumer en quelques instants des problèmes complexes. Aussi, il paraît aujourd'hui inconcevable de mener une campagne politique sans l'outil médiatique. En effet, des sondages sont publiés régulièrement. Si nous prenons pour exemple la dernière élection présidentielle, d’après

système politique? C'est une idée qui n'est pas récente, en effet Lancelot avait déjà effectué un premier constat français en publiant son ouvrage L'abstention électorale en France en 1968. Plus près de nous, hormis les dernières élection présidentielles de 2007, les élections législatives qui ont suivi ont été marquées de forts taux d'abstention. Mais cet abstentionnisme ne touche pas de la même façon toutes les tranches d'âge: _Nous allons voir que l'abstention électorale des jeunes, qui constituent

Sarkozy et les médias : l'information neutralisée par la communication politique publié le vendredi 21 septembre 2007 à 20h01 Hyperprésidence, omniprésence médiatique, tels sont les qualificatifs qui reviennent le plus souvent à propos des premiers mois de Nicolas Sarkozy à l'Elysée. Le chef de l'Etat est partout, il s'occupe de tout. Et la presse en redemande comme en témoignent les Unes des hebdomadaires (Le Point, L'Express, le Nouvel Observateur) : Nicolas Sarkozy et les patrons, Nicolas Sarkozy

|dissous. Une fraction de l’Union pour la démocratie française u(UDF)| | |rejoint également l’UMP. Nicolas Sarkozy en prend la présidence en | | |2004 avant d’être élu à la présidence de la République en 2007. | | |Candidat à l’élection présidentielle de 2012 Sarkozy | |[pic]

Novembre 2002 * Tout d’abord appelé Union pour la Majorité Présidentielle (en vue de soutenir Jacques Chirac au présidentielle de 2002) * Fusion du * Rassemblement pour la République (partie gaulliste) * Démocratie libérale * + (A partir de Juin 2002) des 2/3 des députe de L’Union pour la Démocratie Française. * l'UMP est le premier grand parti fédérant l'essentiel des forces des droites françaises. * l'UMP cherche donc à sa création à être un rassemblement de