Centrisme

gauche : « L’être est, le non-être n’est pas » (vérité universelle) 3b Une dimension anthropologique Corps : local : inscrit dans l’espace Esprit : rationnel : ouvre à l’universel 3c L’espace politique des centrismes ------------------------------------------------- Centrisme : tentative de réunir la droite et la gauche ------------------------------------------------- - Soustraction des extrêmes ------------------------------------------------- - Addition des extrêmes : formule même

une alliance entre les principes socialistes et les principes d’une démocratie parlementaires. Les pays qui en font parties sont marqués avec des lignes roses. Nous avons la France, la Belgique, Les Pays-Bas, …  Gouvernement centriste (centrisme) : Le centrisme désigne l'attitude ou les positions politiques de ceux qui se situent au centre de l'échiquier politique et qui refusent les positions extrêmes. C’est une attitude se situant entre les conservateurs et les progressistes. Les pays qui en font

nationale), nationalisme, politique d'exclusion | | |- gaullisme, libéralisme, France forte et indépendante | | |- centrisme, libéralisme, humanisme | |Les dirigeants |Jacques Chirac / Alain Juppé | |

* libre circulation des capitaux, * mise en concurrence des travailleurs et nivellement par le bas des salaires et droits sociaux, * suppression de services publics, * suprématie absolue de l'économie Famille centriste : Le centrisme peut se percevoir soit comme l'affirmation d'une force politique distincte de la droite et de la gauche, soit comme un compromis entre les deux. Le terme peut également être associé à l'idée de modération entre des antypodes politiques : - conservatisme

L'architecture moderne à Berlin Depuis la chute du mur et la réunification, Berlin redevenue capitale a connu une effervescence incroyable de projets d'architecture et d'urbanisme plus prestigieux les uns que les autres. De nombreux bâtiments publics ont été bâtis ou rénovés à cette occasion : le Reichstag et son nouveau dôme en verre, la chancellerie, les nouveaux ministères, des ambassades plus magnifiques les unes que les autres. Le secteur privé n'est pas en reste, on peut citer la Potsdamer

et de Marrast. Bloc républicain-libéraux, opposés au socialisme. Enfin, deux des 11 acteurs se trouvaient au centre, Lamartine et Ledru-Rollin. Ils souhaitaient simplement éviter une lutte des classes, et concilier gauche et droite. Seulement, ce centrisme est durement jugés car le peuple y voit une menace pour la lutte ouvrière et une incapacité a prendre part dans un partie. Cependant on pourra ajouter que ces deux personnages sont affectés aux deux ministères les plus importants: les affaires étrangères

dérèglement du système politique gaullien 1- VGE : fragilisation et échec de reconstitution du modèle gaullien : échec du parti présidentiel (UDF) et dérive conservatrice. 2- Le retour des partis : rivalités à droite, gauches en conflit, impossible centrisme 3- La gauche au pouvoir B/ La crise économique 1- Le 1er choc : récession et reprise 2- Le 2nd choc et la stagflation 3- Inefficacité des politiques économiques : tentative libérale, relance, rigueur C/ Le désarroi de la société française

1962 au sein de la majorité et qui se sont par ailleurs amplifiées entre 1969 et 1981. En effet, en 1966, Valéry Giscard d’Estaing tentait déjà d’établir des primaires internes à la majorité et s’attachait à donner une conception « d’attitude » au centrisme. Ceci étant, l’UNR se réclamait aussi de cette conception centriste et les premières divergences étaient réelles. Dans cette perspective, on ne peut pas encore parler de « droite ». Par ailleurs, en 1967, Pompidou subissait un échec cuisant dans

Républicains Conservateurs, une appellation qui témoigne de l'ambigüité des positions de ce groupe. Celui-ci se place contre les monarchistes et contre les fractions plus radicales de la gauche. En ce sens, sa position est résolument orientée par un centrisme modéré, et contribue à effacer l'idée d'un clivage gauche / droite effectif à cette époque. Il s'agit donc de faire primer l'idée d'une trichotomie droite / centre / gauche de fait sur celle d'une dualité droite / gauche conceptuelle, selon les termes

SFIO et le MRP centriste échouent en juin 1965[2]. L'idée d'un grand mouvement démocrate, inspiré du modèle américain et du président Kennedy, échoue donc. François Mitterrand et Jean Lecanuet porteront finalement les couleurs de la gauche et du centrisme au scrutin de décembre 1965. En avril 1969, la démission du général de Gaulle ouvre à nouveau la bataille pour la présidence de la République. Gaston Defferre est cette fois-ci candidat, en tandem avec Pierre Mendès France qui doit devenir son