Elgin

Le Moray est une région d'Écosse située à l'est des Highlands, basée sur l'ancien comté de Moray ou Morayshire. D'une superficie de 2237 km², elle comptait environ 86 000 habitants en 1996. Sa ville principale est Elgin. La limite nord de la région est constituée par la côte, basse et formée de plages sablonneuses. En allant vers le sud le relief s'accentue et devient montagneux en se rapprochant du Cairn Gorm (1245m), un des principaux sommets des Grampian. Les principaux cours d'eau sont la

des frontons, 15 métopes (panneaux sculptés) et environ 75 m de frise sculptée en relief. Après l’expédition aidée par l’empire ottoman en août 1800, Lord Elgin se fut emprisonné par Napoléon et endetté en 1803, mais, les œuvres grecques exportées étaient considérées comme propriété du Lord Elgin et comme sa fierté. Lord Elgin avait été ruiné par le coût important des travaux en Grèce et du transport de ses marbres et par le fait que sa carrière diplomatique était terminée. Il n'avait

Le pillage du Parthénon commença immédiatement. Les sculptures furent descendues du temple et transportées par des marins britanniques sur un affut de canon. Le 26 décembre 1801, craignant que les Français ne fassent obstruction à son travail, Elgin ordonna l'embarquement immédiat des sculptures sur le navire "Mentor", amené dans ce but. Au cours de l'année 1806, une des Caryatides fut emportée, ainsi qu'un coin de l'Erechteion, une partie de la frise du Parthénon, bon nombre d'inscriptions

était comme leurs noms l’indique situées sur la devanture Parthénon a Athènes. Mais depuis le 19° siècle ces dernières se sont retrouvée en Angleterre ainsi que d’autre biens anciennement présent au Parthénon suite au pillage organisé par Lord Elgin un ambassadeur britannique entre 1800 et 1801. Ces frises se sont vue appropriées par les britanniques et depuis une tension règne entre les britanniques et les grecs sur la réelle origine de ces frises et leur place. En effet les grecs réclame

Point plus polémique, Elgin estime qu'un Microsoft par exemple a tort de vouloir maintenir la compatibilité entre ses OS jusqu'à de très anciennes versions - Vista aurait dû s'en tenir à la compatibilité avec les applications créées pour XP - même si cela peut avoir un avantage pour l'utilisateur. Cette politique se paie par des coûts de support technique et de développements plus élevés et freine l'innovation. Secret n° 7 : le nom d'un produit est (absolument) crucial Elgin illustre ce point par

Museum de Londres et c’est donc avant tout la conservation des frises à Londres qui engendre des tensions entre la Grèce et le Royaume-Uni. Pendant la domination ottomane, les frises ont été vendues au British Museum sous la volonté protectrice de Lord Elgin, ambassadeur du Royaume-Uni, suite à un accord avec le gouvernement turc. Mais après l'indépendance de la Grèce à partir de 1830, la question des marbres empoisonne les relations entre la Grèce et le Royaume-Uni et la nouvelle royauté demande même

religieuses des Panathénées. Ses premières dégradations commencent en 1687 et les pillages de fragments continuent et accentuent ce sabotage du patrimoine hellénique qui continuera sur près d’un siècle et demi. C’est sous l’ordre de l’ambassadeur Lord Elgin du Royaume-Uni que les frises sont prélevées. La Grèce étant à l’époque sous domination de l’Empire ottoman, n’a pas pu plaider en sa faveur la conservation de son « trésor emblématique ». Après cette dévastation de l’un des symboles de « l’art hellénique »

un bâton de commandement en jade vert et or appartenant personnellement à l’empereur qu’il destine à Sa Majesté, la reine d’Angleterre comme « un acte de galanterie de la France », alors qu’un second bâton, identique au premier est offert par lord Elgin à S. M. l’empereur des français. Un trésor d’ environ 800 000 livres est aussi trouvé, grâce à l’aide de enuques, probablement la caissette personnelle de l’empereur et est partagé également entre les deux commanderies. Malgré un salaire distribué

accessible, jusqu'au siège d'Athènes par les Vénitiens commandés par Francesco Morosini en 1687, quand un cinquième a été détruit, réparti sur les côtés nord et sud. Un peu moins de la moitié de la frise se trouve au British Museum, apportée par Lord Elgin ; un tiers est encore en Grèce, au musée de l'Acropole d'Athènes ; le reste est conservé dans divers musées, notamment au Louvre et au Vatican. L'État grec réclame depuis près de deux siècles au Royaume-Uni la restitution de la partie de la frise

l'Acropole par les Propylées à l'ouest voyaient donc en premier. Elle se déroule ensuite d'ouest en est, de chaque côté du naos. À l'est, elle est accueillie par les dieux4. La frise à l'ouest est encore pratiquement intégralement sur le bâtiment : Elgin n'a fait enlever que deux blocs au nord-ouest, se contentant de moulages du reste5. Conduit par les magistrats, le cortège représente des cavaliers et des soldats en armes, des citoyens, des musiciens ainsi que des porteurs d'offrandes, des animaux