Fonction syntaxique

d’induction, mais de déduction. 2°) des procédés morpho-syntaxiques, avec des locutions diverses (touchent à la modalité d’énonciation) : – mise en relief du point de vue de l’énonciateur : en ce qui me concerne ; pour moi ; quant à moi – mise en relief du thème : pour ce qui est de ; quant à – mise en relief du propos avec les présentatifs, dans des phrases averbales : Coucou ! c’est moi ! Voici les clés. 3°) des procédés syntaxiques A. postposition du sujet : mise en relief du sujet (focalisation

mode personnel. Subordination- hypotaxe subordonnante- conjonction,pronom adverbe, adjectif- subordonnants La parataxe es le procédé syntaxique qui consiste à juxtaposer des propositions dans une suite, l'une à coté de l'autre sans intervention d'une conjonction de coordination ou subordination. Hypotexte(coordination et subordination)-les relatons syntaxiques établies entre les propositions à l'aide des conjonctions et des adverbes ou syntagmes La dépendence entre les phrases se fait à niveau

qui se fait sans recourir à un mot subordonnant, se nomme parataxe. Contrairement au rapports implicites de coordination, qui peuvent être explicités par l’emploi de la conjonction, les rapports de parataxe exigent presque toujours des structures syntaxiques spéciales ou des procédés tels que l’inversion VS. 1. cause: Il vaut mieux, que tu t’en ailles, tu aurais peur. 2. condition: Je vous aurais prévenu du danger, vous ne m’auriez pas cru. 3. concession: Les structures employées peuvent

s’accorde en général avec le sujet. exemple : Elles se sont bien entendues tout au long du voyage. ATTENTION : Il y a un contexte où le participe passé qui n’est pas accompagné d’un CD ne s’accorde pas avec le sujet : quand le pronom réfléchi a la fonction de complément indirect du verbe (CI). exemple : Elles se sont parlé et se sont menti. Accord du participe passé employé avec avoir LA RÈGLE D’ACCORD DU PARTICIPE PASSÉ EMPLOYÉ AVEC AVOIR - Le participe passé employé avec avoir s’accorde

façon d’analyser la phrase, d’identifier ses groupes et leur fonction. Nous utilisons des critères plus rigoureux, plus systématiques, fondés sur des caractéristiques morphologiques (la forme des mots, comme leur variation en genre et en nombre) ou syntaxiques (la construction des phrases et des groupes de mots). Les manipulations servent de tests pour déterminer si un mot ou un groupe de mots fait partie de telle classe ou occupe telle fonction dans la phrase. Nous disposons de plusieurs tests pour une

principales fonctions de la ponctuation. • Les fonctions des signes de ponctuation a) Fonction prosodique Les signes servent à marquer les endroits pour respirer dans la lecture à haute voix, donc le rythme mais aussi l’intonation et la mélodie. C’est la fonction historique de la ponctuation. En effet, un texte lu sans ponctuation deviendrait vite essoufflant. Par exemple, une pause que l’on ferait à l’oral peut être rendue à l’écrit par une virgule. b) Fonction syntaxique

L’analyse des niveaux morpho - syntaxiques Le niveau morphologique Dans le texte poétique les catégories et les classes grammaticales tels le gendre et le numéro, ou certains déterminants comme les articles les démonstratifs les déictiques de temps, les temps verbaux permettent remplir une signification connotative. Le gendre des substantives déforme parfois les métaphores. C’est pourquoi dans le procès de métaphorisation ou de symbolisation le gendre exerce une puissante connotation car

Même si les critères qui fondent la distinction entre ces trois formes respectives sont multiples et complexes, on peut tenter d’analyser ces formes dans le texte de La Fontaine selon le schéma suivant : 1) Le gérondif a) Définition Il fonctionne comme complément d’un verbe dit principal. Il exprime une action secondaire qui accompagne ce procès principal. D’où l’emploi usuel de l’indice (préposition) en. D’où également son invariabilité. * En français moderne le gérondif se distingue

subordonnée relative dont le pronom relatif est employé sans antécédent, et qui équivaut à un nom (un substantif) ou un élément nominalisé : Ex. Qui aime bien ne châtie jamais. Elles n’ont pas d’antécédent , aussi peuvent – elles occuper toutes les fonctions que celui – ci ( antécédent ) aurait pu assumer dans la proposition. Les mots relatifs se limitent aux seules : qui , quoi , où, quiconque . (donc, jamais par « que », « dont » ou « lequel »), qui dans ce cas, ne sont plus des anaphores mais des représentants

L’anaphore. On répète en début de vers (ou de phrase) un même mot ou groupe syntaxique : « Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue/ Voilà par quels exploits il sut se couronner ;/ Enfin voilà l’époux que tu me veux donner » (Racine). 4 Les figures par opposition Elles mettent en relation des termes ou des idées qui s’opposent par le sens. • L’oxymore. Deux termes s’opposent par le sens au sein d’un même groupe syntaxique : « Le soleil noir de la mélancolie » (Gérard de Nerval). • L’antithèse