Fonction syntaxique

On donne le nom d’attribut à une fonction syntaxique assumée par un mot ou un groupe de mots, par l’intermédiaire d’un verbe attributif (ou « verbe d’état » : être, demeurer, devenir, paraître, rester, sembler, etc.). Le mot attribut exprime une qualité ou une propriété que l’on « attribue », ou encore une identité que l’on pose, à propos d’un autre terme de la phrase. L’attribut relève du prédicat dans la logique classique de la phrase : l’attribut est un commentaire du sujet. Il existe des attributs

Rubrique grammaticale » dans notre site, vous pourrez, au besoin, consulter les notions théoriques suivantes : – Antécédent – Complément direct du verbe (fonction syntaxique) www.ccdmd.qc.ca/fr – Phrase et modèle de base – Préposition (classe de mots) et groupe prépositionnel (GPrép) – Pronom (classe de mots) – Subordonnant – Sujet (fonction syntaxique) – Subordonnée relative et pronom relatif LES EXERCICES DE FRANÇAIS DU CCDMD JUSTIFIER LE CHOIX DU PRONOM RELATIF 2 EXERCICE 1 ○ ○ ○

Le Malade Imaginaire, acte III, scène 10, jusqu’à « Le poumon, le poumon, vous dis-je » L’Attribut Le nom d’attribut est donné à une fonction syntaxique assumée par un mot ou un groupe de mots par l’intermédiaire d’un verbe dit attributif. L’attribut apporte l’information essentielle de la phrase, c’est-à-dire le prédicat (ce qui est dit à propos d’une chose, le " thème "). Cette information peut avoir une valeur de qualification lorsque l’attribut est un adjectif qualificatif : « cela

/ somebody else won the match. Très souvent, la fonction de la clivée en it est polémique. Enoncé 2 : présupposé multiple : I like several things … Divergences : Place du focus : avec it il est au début de l'énoncé. Avec la pseudo-clivée : il se situe à la fin. Le cadre de la clivée est réalisé : it + be + x (focus) + un subordonnant + y => On s'aperçoit dans « it was Paul who won the match » que who est un relatif et qui a pour fonction sujet au sein de la relative. Le cadre de la pseudo-clivée :

IDENTIFICATION – TOUTES LES FONCTIONS Catégories et fonctions Fonctions 1 Identification – toutes les fonctions En cliquant sur le bouton « Rubrique grammaticale » dans notre site, vous pourrez, au besoin, consulter les notions théoriques suivantes : – Sujet (fonction syntaxique) – Complément direct du verbe (fonction syntaxique) – Complément indirect du verbe (fonction syntaxique) – Attribut (fonction syntaxique) – Complément de phrase (fonction syntaxique) ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○

Sommaire I. Glossaire de grammaire II. La Phrase et les Fonctions Gr. 1 – La Phrase Gr. 2 – L'Enonciation et les Modalités Gr. 3 – La Modalité Interrogative Gr. 4 – La Modalité Injonctive Gr. 5 – La Modalité Exclamative Gr. 6 – L'Emphatisation Gr. 7 – La Négation Gr. 8 – La Coordination Gr. 9 – Les Subordonnées Gr. 10 – Les Subordonnées Relatives Gr. 11 – Les Subordonnées Interrogatives Indirectes Gr. 12 – Les Subordonnées Complétives Gr. 13 – Les Subordonnées Circonstancielles

complexe par insertion 插入 Une incise 插入句 P3 « dahlia étonnée »→  « dit dahlia étonnée » étonnée fonctionne comme introducteur. Insertion d’éllipse P4 « oui » c’est une struction adverbale, comme  « peut-être » ;c’est une phrase non-standard, non canonique, il peut être un éllipse de « oui, c’est vrai. » P5 complexe par insertion, est construite comme P2 « mais quand même » coordination Procédé de fonction de la phrase complexe A. parataxe a) asynthétique / ou juxtaposition b) synthétique / ou

locution conjonctive.Rendre visite est une locution verbale.Les critères servant au classement des parties du discours sont :des critères de variabilité : les mots d'une classe varient-ils ? comment varient-ils ? en fonction de quoi varient-ils ?des critères syntaxiques : quelle fonction les mots d'une classe peuvent-ils avoir dans la phrase ?des critères de sens : quel type d'information apportent les mots d'une classe ?Les frontières entre les différentes parties du discours ne sont pas toujours

L’anaphore. On répète en début de vers (ou de phrase) un même mot ou groupe syntaxique : « Voilà comme Pyrrhus vint s’offrir à ma vue/ Voilà par quels exploits il sut se couronner ;/ Enfin voilà l’époux que tu me veux donner » (Racine). 4 Les figures par opposition Elles mettent en relation des termes ou des idées qui s’opposent par le sens. L’oxymore. Deux termes s’opposent par le sens au sein d’un même groupe syntaxique : « Le soleil noir de la mélancolie » (Gérard de Nerval). L’antithèse. Deux

d’une proposition principale. Une proposition subordonnée rectrice régit elle-même une subordonnée : La femme qui a vu l’homme qui était assis sur le banc. les subordonnées complétives : elles ne peuvent être effacées ou déplacées. Elles ont les fonctions du nom. les conjonctives pures : introduites par « que » : Je souhaite que tu viennes. introduites par « ce que » : Je m’attends à ce qu’il pleuve. les propositions interrogatives indirectes : totales (toujours avec « si ») : J’ignore s’il viendra