Force de travail

Peut-on dire que l’homme est un animal dénaturé ? Le travail est-il une fatalité ? Travail : activité pratique qui va permettre à l’homme d’assurer sa subsistance / Tripalium = souffrance Fatalité : nécessité sans intelligibilité / dénuer de sens Les activités et le travail sont-ils des tâches absurdes destinées à renouveler sans cesse la vie sans qu’il y ait un but ? (Tout comme Sisyphe roule son rocher indéfiniment) Le travail de la vie - Toutes les espèces ont des tâches pour se

gagne petit ». Tenter de discerner ce qu’il y a à gagner à travailler, c’est tout de suite penser au salaire, c’est-à-dire à la rétribution échangée contre l’effort que le travailleur consent à effectuer. Pourtant, envisager les choses sous cet angle, c’est réduire au moins deux fois le travail. D’une part parce que même si la soi disant sagesse populaire affirme volontiers que tout travail mérite salaire, on sait bien qu’il existe un travail non salarié. D’autre part parce que si le salaire vient compenser

PHILOSOPHIE LA DIVISION DU TRAVAIL SEPARE-T-ELLE LES HOMMES? Généralement, on voit que tous les hommes veulent avoir un travail. Le chômage est d'ailleurs, dans nos sociétés, un véritable fléau que l'on tente de combattre et qui est la source d'un mécontentement social grandissant. On peut dès lors se demander pourquoi les hommes éprouvent le besoin de travailler. Est ce pour s'accomplir dans le travail ou pour jouir d'un salaire qui leur permet un accès aux biens de consommation et aux

durée du travail obéit à une autre logique, celle du respect de l’Homme, y compris dans sa capa- cité à produire. Cette limitation de la rév olution industrielle. Cette lutte portait sur le droit pour les salariés à ne pas être exploités de manière honteuse avec des semai- nes de 7 jours et des journées de 12 à 14 heures. Elle répondait à la volonté des entreprises « capitalis- tes » de la révolution industrielle et de ses suites, d’utiliser au maxi- mum la force de travail tout en la

que tu travailles ». Smith est appelé l’inventeur de l’économie car il supprime tous les aspects liés à la chance et au destin. Comment mesurer le travail ? grâce au nombre de marchandises produites. « Il faut que chaque année tu produises plus que l’année précédente », c’est l’apparition du taux de croissance par Smith. Il divise la société entre les capitalistes, les rentiers (possesseurs de terres) et les travailleurs. Le capitaliste apporte le capital, le travailleur propose sa force de travail

Le facteur du travail Comment définir la force de travail ? Le facteur travail est l’un des deux facteurs de production utilisé par les entreprises pour produire. Les ménages vendent leur travail en échange ils sont rémunéré. Il est analysé sous deux aspects : le quantitatif (volume de l’offre de travail disponible) et le qualitatif (varie selon les qualifications des travailleurs) I – De quoi dépend la quantité de travail disponible ? Qu’est ce que la population active ? La population active

Le travail apparaît souvent comme une contrainte : l’homme ne se soumet pas volontiers au travail. C’est la nécessité qui l’y pousse. Le travail sert à produire nos moyens de vivre. Le travail apparaît comme l’expression de la servitude originelle de l’homme. Dans l’antiquité grecque ou romaine, le travail, c’est le fait des esclaves. Et pour les anciens, il fallait avoir des esclaves parce que toutes les occupations qui permettaient d’assurer nos moyens d’existence étaient des occupations serviles

fonctionnement du marché du travail • L’offre et la demande de travail La demande de travail : Quantité de travail souhaité par l’employeur L’offre de travail : correspond à la force de travail qu’un individu propose pour un salaire donné Marché du travail : Lieu de rencontre de l’offre de travail et de la demande de travail. La demande de travaille est faite par les employeurs, et l’offre de travail est proposée par ceux qui cherchent un emploi. L’offre de travail doit être capable de répondre

Sujet : La répartition des richesses en faveur des profits : fondements et implications chez les classiques (dont Marx) Un proverbe québécois dit que « la peine emporte le profit », malheureusement dans le mode de production capitaliste, sans travail il est possible d’emporter le profit. Communément, le profit représente la rémunération du capital avancé par le capitaliste, il fait partie dans la répartition des richesses crées par l’économie. On peut être étonné du poids du profit dans cette répartition

spontanément que de nombreux biens sont échangeables. Cet échange ne renvoie pas nécessairement à des biens matériels. Ainsi, dans certaines sociétés on a pu acheter des esclaves pour leur force de travail tout comme d’ailleurs, sans faire référence nécessairement à des pratiques anciennes, des individus vendent leur force de travail contre un salaire. Doit-on alors considérer que tout peut s’acheter ? On entend dire par exemple qu’on a acheté le silence d’une personne pour signifier qu’on lui demande son silence