Fourberies De Scapin Analyse

l’Antiquité, e soucieux des codes précis, le classicisme s’incarne dans l’honnête homme. Théâtre baroque (Développement dans un contexte d’instabilité) Emotion, perception Inconstance, paradoxe, excès Complexité Métamorphose Théâtre classique Analyse intellectuelle Vraisemblance Unité de ton Simplicité 3 exigences : plaire et instruire, suivre la nature, et respecter le bon goût. Règles strictes Illusion Ostentation (goût du monumental, volonté d’impressionner, importance des superpositions

ce que vous voudrez. HARPAGON. — Et je te donne ma malédiction. CLÉANTE. — Je n'ai que faire de vos dons. (IV, 5) Pour se faire une idée de l’efficacité sans faille des effets comiques, dont Molière maîtrise parfaitement l’exploitation, il faut analyser la manière dont il joue du quiproquo, procédé auquel il recourt plusieurs fois dans L'Avare, car, nous l’avons souvent constaté, c’est à l’échelle de l’exploitation d’une situation de parole que Molière est inimitable. Le plus long d'entre eux se

prend au jeu. Prenont l'exemple de « l'Avare » de Molière, le personnage principal est caractérisé d'avare et est considéré comme le mauvais de l'histoire. C'est une façon de montrer au gens qu'il faut bien se comporter et en pas faire d'excès. Analyse de l'extrait de « l'Avare » de Molière Scène 7 HARPAGON Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau. « Au voleur! Au voleur! À l'assassin! Au meurtrier! Justice, juste Ciel! Je suis perdu, je suis assassiné, on m'a coupé

Soleil des Scortas Le Tartuffe Le vieux qui lisait des romans d’amour L’Ecole des Femmes L’Ecume Des Jours Les Bonnes Les Caprices de Marianne Les cerfs-volants de Kaboul Les contes de la Bécasse Les dix petits nègres Les femmes savantes Les fourberies de Scapin Les Justes Les Lettres Persanes Les liaisons dangereuses Les Métamorphoses Les Mouches Les Trois mousquetaires L’étrange cas du Dr Jekyll et de Mr Hyde L’Ile Au Trésor L’île des esclaves L’illusion comique L’Ingénu L’Odyssée L’Ombre du vent

donc vu dans un premier temps en quoi le conflit est la trame d’une pièce de théâtre, tout en analysant leur fonctionnement qui support le tout. Cependant, le conflit se noue obligatoirement à quelque chose. Nous allons donc dans un second temps analyser l’essence derrière un conflit, les enjeux créent ainsi que l’effet qu’il donne sur le lecteur. Nous avons vu que le conflit entre deux personnages est un langage théâtrale universel dont le lecteur ou le spectateur connais d’entrée de jeu ;

LES REGISTRES « C’est grâce à la littérature que se forme presque toute notre idée de la vie ; le détour par les textes conduit directement à la formation de l’homme. Ils nous apportent les analyses et les idées, mais aussi les images, les personnages, les mythes, et les rêves qui se sont succédé dans l’esprit des hommes : ils nous ont un jour émus parce qu’ils étaient exprimés ou décrits avec force ; et c’est de cette expérience que se nourrit la nôtre. » Jacqueline de Romilly, « Enseignement

théâtre ne manque pas de variété : c’est le rire franc que font naître aussi bien les comédies d’Aristophane, avec leurs plaisanteries souvent grivoises, que les farces de Molière comme Le Médecin malgré lui ou la fameuse scène du sac dans Les Fourberies de Scapin. Le théâtre, plus que d’autres modes d’expression, est propre à faire rire par son « incarnation » : les gestes, les mimiques, mais aussi les quiproquos, les rencontres inattendues, les retournements de situations, les… portes qui claquent

vérité connue, tout se calme : le stratagème semble finalement interroger le sens de sa propre existence, si les choses sont si simples ! On voit donc que le stratagème comporte un enjeu comique, mais que celui-ci est au service de propos sérieux, une analyse des ressorts de l’âme humaine, et une profonde remise en cause de l’ordre social. S’il a été reproché à Marivaux de « peser des œufs de mouche dans des balances en toile d’araignée », c’est sans prendre en compte la fine critique, héritière des moralistes

Dom Juan est fondateur d’une pratique sociale, celle de la séduction, du rapport entre moi et les autres. A votre avis, pourquoi ce personnage est-il encore d’actualité, pourquoi joue-t-on encore la pièce ? Parce que justement, Dom Juan peut être analysé sous diverses facettes (le séducteur, le libertin, le farceur déguisé en mari, le romantique révolté et seul contre tous, l’individualiste aux accents anarchistes, le névrosé amoureux, d’après une lecture psychanalytique d’Otto Rank qui trouve en

Introduction (p. 2) ==> Définition du mythe ==> Définition de variation Présentation , description et résumé des œuvres étudiées (p. 3) Description et Analyse des personnes principaux (p. 5) ==> Qui est vraiment Don Juan ? ==> Sganarelle, le valet comique Analyse du cadre spatio – temporel (p. 6) Biographie des auteurs (p. 7) Comparaisons des différentes œuvres lues / Thématiques (p. 9) ==> Don Juan, séducteur perpétuel