Fourrage

en voie de disparition dans la région d'autant plus que les baliveaux sont également exploités sans discernement comme bois de service. f/ Essences fourragères Il s'agit des essences forestières dont les feuilles ou les fruits sont utilisés comme fourrage pour le bétail. Plusieurs essences forestières peuvent être classées sous cette rubrique. Le degré d'appétabilité d'une essence est fonction de la nature du bétail (les caprins notamment broutent toutes les espèces ligneuses alors que les bovins

|C’est un nouvel ouvrier suite au | | |parents. Construction d’une stabulation|Frédéric | | |départ a la retraite de l’ancien | | |de 35 places + stockage de fourrage | | | |ouvrier | |1990 | |22ha supplémentaires pour | |Maïs sur les 22ha |

d’utilisation des semencescertifiées à l’horizon 2020 (1) Quantité(Qx) Taux d’utilisation (%) Céréales 2,8 millions Qx 45 Blé tendre 1,4 millions Qx 62 Blé dur 0,9 millions Qx 60 Orge 0,5 millions Qx 29 Légumineuses  Alimentaires 38 000 Qx 10 Fourrages 60 000 Qx 31 Betterave à sucre     Multigerme 440 Qx 100 Monogerme 81.250 unités 100 Canne à sucre 52.000 T 100 Pomme de terre 120.000 T 45 Maïs 40.000 Qx 30 Tournesol 11.200 Qx 100 Riz 24.000 Qx 100 Colza 3.000 Qx 100 Cultures Maraîchères

poissons menacés par les fermes aquacoles Jusqu'à récemment, les petits poissons (sardines, harengs, anchois et leurs semblables) n'étaient pas surexploités, en raison de l'absence de réels débouchés pour cette pêche. Mais aujourd'hui, ces "poissons-fourrage", comme on les surnomme, sont largement utilisés dans l'agriculture et l'aquaculture : 90 % sont broyés et transformés en farine de poisson et huile de poisson, aliments pour le bétail et les fermes d'élevage – qui produisent la moitié des poissons

particulier. Les chevaux peuvent être vendus à qui le veut particuliers, Professionnel ils vont même à des ventes comme les ventes Nash. Les chevaux sont nourris deux fois par jour avec foin de qualité qu’ils essaient de donner 1h avant les fourrages + fourrage comme de l’orage ou de l’avoine aplati. Les dosages varient selon chaque cheval bien entendu. Pour le travail des chevaux ils ont une carrière de 75/40m et un rond de longe pour les débourrages des jeunes chevaux. Dans l’élevage bovins il

des grandes cultures représente 31% de l’assolement dans les exploitations en produisant, soit 22.5 ha par exploitation. 60% sont consacrées aux surfaces fourragères (surfaces toujours en herbe, prairies temporaires, parcours herbeux, luzerne, maïs fourrage…), 7% aux cultures telles que la vigne, les PPAM, la jachère, 1% aux légumes, 1% aux fruits. La répartition des orientations de ces exploitations produisant des grandes cultures est la suivante : -- 28% sont avant tout orientée vers la production

creusent des terriers ou au moins des abris sous les murs ou les constructions présentes dans la cour. Les mises bas se font dans ces cavités. L'alimentation fait appel à un peu de céréales, des issues de meunerie, les déchets de la cuisine et des fourrages distribués verts ou secs en fonction des disponibilités. De l'eau de boisson est en principe distribuée régulièrement. Pour limiter la consanguinité, ces éleveurs achètent ou échangent de temps en temps un mâle avec un voisin. Il faut aussi souligner

vaches en production -45 de 2 à 3ans (male et femelle) -81 veaux de 1 à 2 ans (male et femelle) -58 veaux de moins d’un an (male et femelle) | 68ha prairie permanente et 20ha temporaire 123ha blé tendre hivers 40ha de maïs fourrage 37 ha de colza hivers 4ha betterave 15ha orge hiver 15ha luzerne | L'entreprise a) La situation géographique J’ai effectué mon stage au GAEC de la ferme

conformité avec les objectifs du projet et des potentialités du domaine, le choix des cultures et leur agencement doit tenir compte : Etant donné que l’élevage représente l’une des composantes principales du projet et de lui assurer tous les besoins fourragers pour l’obtention des rendements qui lui sont assignés, il est de nature que les cultures fourragères occupent une place de choix dans l’utilisation future des sols du domaine de la SMVDA EZARZOURA. En outre, pour concilier entre les plans nationaux

où75% de la terre est cultivé), à l’assolement quinquennal ( 80%) ,puis à la disparition totale de la jachère avec par exemple deux à trois céréales (i.e : blé ; orge ; froment , seigle ou avoine )cultivées en rotation avec deux à trois plantes à fourrages ( trèfle , luzerne , sainfoin , chou-rave)ou encore des pommes de terre , des navets , de rutabaga , des betteraves , qui présentent en plus l’avantage d’enrichir les sols. La rotation dite du Norfolk (navet-trèfle-blé-orge) devient classique. Toute