Fumier

d'engrais chimiques, ces principes ont été introduits en France suite à la seconde guerre mondiale. Les produits de synthèse sont alors exclus un maximum de ce système et remplacés par des produits naturels issus des plantes ou des animaux  : fumier, compost. Elle permet aussi d'avoir un sol fertile sans produits chimiques de synthèse ni OGM, de conserver la biodiversité. Ce terme définit l'un des 5 signes officiels d'identification

rencontre deux types d’effluent d’élevage : • Le fumier lorsqu’il s’agit de stabulation sur litière à base de paille. Cet effluent est donc un mélange d’excréments, d’urine et de paille. • Le lisier lorsque la stabulation est réalisée en caillebottis. L’effluent est, dans ce cas, uniquement constitué d’excrément et d’urine. 3.1. Effluents solides Les stabulations sur litière doivent être régulièrement récurées afin d’évacuer le fumier qui s’amasse. Celui-ci est déplacé vers les zones de

accumulée, litière quotidienne… Or, certaines conduites émettent plus de GES que d’autres. Le système en litière accumulée est polluant. En effet, la masse des animaux présents sur la litière tasse le fumier et conduit à une asphyxie du milieu et donc à une forte production de méthane. Au contraire, si le fumier est raclé quotidiennement les conditions seront favorables à des phases successives d’aérobiose et d’anaérobiose et ce sera le protoxyde d’azote qui sera libéré. Le stockage du lisier (qui vient

un soussalage croisé à une profondeur de 60-80 cm, répierrage, un labour moyen (30-40 cm) et un cover-cropage. En culture moderne, les densités de plantation sont de 6x4 m, soit 416 arbres/ha La fumure de fond se compose respectivement de 5 kg de fumier, de 100 g de superphosphate et 100 g de sulfate de potasse par pied. Ces apports sont enfouis par un labour à 30-40 cm de profondeur. L'azote sera apporté en fin d'hiver (février) à raison de 2 quintaux/ha de sulfate d'ammoniaque à 21% N et de 2 quintaux/ha

l’énergie a mené un projet pour récupérer la chaleur provenant de fumier de porcs dans les exploitations porcines. L'énergie récupérée contribue à chauffer les installations de l'exploitation à forte intensité énergétique telles que les pièces dans lesquelles les porcelets sont élevés ainsi que pour la résidence des agriculteurs. L'autre avantage du système est que l'ammoniac, le méthane et autres émissions nocives provenant du fumier de porc sont considérablement réduits, ce qui permet donc au personnel

cultures légumineuses comme le pois de conserve et la betterave car elles s’adaptent à tout type de sol. - L'exploitant entretient ses sols en apportant de la chaux (carmag, 1,5T/ha tous les 4 à 5 ans ou des écumes à 1,5T/ha tous les 7 à 8 ans), et du fumier (35T/ha tous les 3 ans). - Le pH de l'eau est élevé par rapport à la norme souhaité, ce dernier est de 8,2 en moyenne. b) le climat - Cette région bénéficie d’un climat tempéré doux en toutes saisons, marqué par la fréquence de vents du sud-ouest

exploitants en E.A.R.L. Ils ont quatre enfants. Leur objectif : -Gérer au mieux leur temps de travail pour profiter de leur vie de famille -Avoir des bâtiments fonctionnels (racleurs, D.A.C, D.A.L) -Réaliser les travaux des champs par ETA (fumier, fauche, semis). - s’impliquer à l’extérieur de l’exploitation. Mr Derouault est administrateur Groupama ; il est président du club de foot de Chantrigné. Mme Derouault est administratrice de la M.S.A, elle est adjointe à la mairie de Chantrigné

l’agriculture biologique mentionne que l’apport de fumier sur les sols ne peut se faire que s’il y a compostage. Le compost est composé du fumier des élevages bovin et porcin à Herbsheim ; ils produisent tous les deux près de 1 400 t par an. Il vient de l’aire de repos des VL ou des aires paillées des génisses et des boxes paillés des porcs. Il est composté sur la plate-forme cimentée de compostage où les jus sont récupérés dans une fosse. Le fumier porcin rentre dans la composition du compost pour

non mouillées). La fertigation est de plus en plus utilisée aussi. Les soins culturaux sont la coupe des stolons, l'effeuillage, le désherbage et l'aération des tunnels nantais.   Fertilisation : La fumure de fond est constituée de 40-60 T/ha de fumier + 50 kg/ha de N + 100 kg/ha de P2O5 + 100 kg/ha de K2O. En couverture, on apporte 100 kg d'Ammonitrate (33 kg/ha de N) + 260 kg/ha de nitrate de potasse ( 20 kg de N + 104 kg de K2O) + 240 kg de sulfate de potasse ( 110 kg K2O) + 200 kg de MAP ( 24

céréales, la base de leur alimentation. La moisson commence en juillet. Le calendrier agricole que je tiens permet de voir leurs travaux tout au long de l’année. En janvier ; ils nettoyaient les fossés En février ; ils baichaient et épandaient le fumier En mars ; ils taillaient la vigne B. Leurs outils étaient simples, comme la faux, la faucille utilisée pour la moisson, le fléau pour battre les céréales. Les paysans ne produisaient donc pas en très grande quantité… Très progressivement, de nouveaux