Gavroche

l'Histoire et non l'inverse. B) Peut-on parler d'un roman populaire ? Le roman populaire offre une vision manichéenne (bon / méchant). Force nous ici de constater que Victor n'a parfois aucune objectivité envers certains personnages (Ex : Gavroche, Javert, Thénardier, Jean Vakjean, ... ). Nous pouvons aussi constater que Marius est le personnage le plus complexe et le plus vrai du roman (il change d'opinion politique, de sentiments, ...). De plus, c'est l'alter ego de Victor ! C) Quelle(s)

et Cosette à dix-sept ans, elle est tombée amoureuse de Marius et Valjean se fait désormais apeller Fauchelevent. Au cours d'une émeute à laquelle participaient Marius et son ami, Javert les espionnent sous un déguisement mais Gavroche le reconnait et il est arrêté. Gavroche se fait tué peu après cela. Cepandant Valjean libère Javert et sauve Marius en le transportant dans les égouts. Javert qui à aidé Valjean a ramener Marius chez son grand-père laisse libre celui qu'il a tant recherché. Il se scuicidera

vers la barricade . Il y a deux enfants des rues , l'un est coiffé d'un béret brandissant des pistolets de cavalerie, la bouche ouverte sur un cri le garçon est un « Gavroche » un jeune parisien. Il porte en bandoulière la cartouchière volée sur un soldat mort. Ce personnage a inspiré directement Victor Hugo pour son personnage de Gavroche dans Les misérables, c’est un des rares exemples d’emprunt d’un personnage de la peinture pour la littérature. Il représente ici le petit peuple en révolte. L'autre

Inquiet de sentir l'ombre de Javert peser sur lui, Valjean s'organise pour quitter Paris. En 1832, une émeute éclate rue St-Denis. Sur la barricade, Jean Valjean lutte avec Marius et le gamin de Paris Gavroche, qui était le messager de Marius auprès de Cosette. Mais peu de temps après, Gavroche est tué. Eponine, qui avait voulu protéger Marius, est également tuée d'un coup de fusil. Pendant la bataille, Jean Valjean se voit confier le policier Javert qu’il libère et sauve Marius blessé. Javert

L.A n°2 : «La mort de Gavroche », Victor Hugo, Les Misérables (1862) Problématique : Comment Hugo dépasse-t-il le simple réalisme historique ? I) La réalisme historique d'une scène fortement dramatisée a) Le réalisme historique – Domine dans la 1ère partie (l.1 à 26) – Passage = référence à un épisode réel : soulèvement républicain du 5 juin 1832 pour tenter de renverser la monarchie de juillet (Louis-Philippe 1er, roi des Français) et réprimé dans le sang. – Effet de réel produit par l'utilisation

frigien et un drapeau révolutionnaire français Elle indique d'un mouvement de bras aux autres d'avancer. Le garçon à droite de Marianne, surgissant de la barricade, un pistolet à la main, a toujours été considéré comme une prémonition du Gavroche que Victor Hugo créera dans les Misérables trente ans plus tard. Les lignes du tableau veulent aussi représenter quelque chose : Lorsqu’on trace une ligne droite au milieu du tableau, on a les vivants en haut et les morts en bas. Quand

Mise en place du sujet : « Quel roman que ma vie » aurait dit Napoléon à Sainte-Hélène... Le roman, en effet, pourrait reconnaître pour sien ce personnage dont l'ascension et la chute fulgurantes ont inscrit le mythe dans l'Histoire. Monde clos, dont les ficelles sont manipulées par un créateur démiurge, le roman déploie en effet des personnages qui ne sont pas, comme nous, englués dans l'arbitraire ni voués à des hasards dérisoires. Pour Camus, l'intérêt du roman se rattache à la façon dont

Benoît XVI a exceptionnellement dérogé à la règle des cinq années entre la mort du postulant à la béatification et l'ouverture de son procès. Le pape a aussi profité de son homélie pour rappeler le rôle de son prédécesseur dans la consolidation et la défense du christianisme, en particulier en Europe après la chute des régimes communistes. "Jean Paul II a ouvert au Christ la société, la culture, les systèmes politiques et économiques, en inversant avec une force de géant – force qui lui venait de

des Thénardier. Elle a le même âge que Cosette, toutes les deux sont nées vers la fin de l'année 1815. Éponine a une sœur, Azelma, sa cadette de deux ans et leur frère cadet est Gavroche, né au début de l'hiver 1820. Elle a deux frères encore plus jeunes dont elle semble ignorer l'existence tout comme Azelma et Gavroche, ces petits derniers ayant fait l'objet d'une sordide tractation de la part de leurs parents. Elle tombe amoureuse de Marius qui est son voisin dans la misérable masure Gorbeau

contrer leur puissance de feu JAVERT: Oui, je sais ce qui se trame Il n'y aura pas d'attaque cette nuit Mais ils vont nous affamer Pour nous tenir à leur merci Puis nous prendre en tenaille En une seule bataille C'EST LA FAUTE À... GAVROCHE: Menteur! Cher inspecteur Javert je te fais mes salutations Je suis petit peut-être mais j'ai oublié d'être con! Tu te crois le plus mariole mais faut que t'entraves une bonne fois Qu'on peut se faire piéger par un plus minot que soi Je suis