Gaz moutarde

plus le protocole de Genève de 1925 alors qu’il l’a signé en 1931 en utilisant des armes chimiques sur la population Iranienne ainsi que sur les soldats iraniens mais aussi sur les Kurdes, alliés à l’Iran. Ces armes chimiques sont le sarin, Tabun, gaz moutarde et cyclosarin. Cette utilisation ne fait pas réagir la communauté internationale. On estime le nombre de victimes à 70 000 dont 10 000 morts liés à cette arme, en grande majorité les victimes sont des soldats. D’ailleurs l’Irak l’utilise pour la

tissulaire. Les acides forts en particulier l’acide sulfurique et les bases fortes comme la soude caustique sont parmi les plus dangereux. Déshabiller la victime, puis rincer la victime, la laisser sous l’eau. Exemples : brûlures de guerre par gaz moutarde (ypérite, gaz vésicant desséchant). Explosion de produits chimiques. On distingue les produits : Corrosifs (bases et acides). Les irritants corrosifs composés arsenicaux inorganiques, du phosphore, du soufre). Les lacrymogènes. Les solvants (carbures

métropole. Les perfectionnements de l’artillerie moderne bouleversent la conduite de la guerre Les innovations techniques sont rendues nécessaires par l’enlisement du conflit (canon : grosse Bertha, mitrailleuse (600 coups minutes), gaz ypérite dit gaz moutarde testé en 1915 à Ypres, lance flamme, sous marins, char). Conséquence des progrès de l’armement, la médecine (radiologie) et la chirurgie de guerre progressent. B Mobilisation économique et financière Pour « tenir », il faut mobiliser

|0,5 PTS | | |2 |Que détecte le DETINDIV ? |1 PTS | | |Les neurotoxiques sous forme gaz et vapeur | | |3 |A quoi sert le JER 405 ?

aussi du lance-flamme (qui était aussi dangereux pour eux même puisque la bonbonne contenant le gaz risquait d'exploser 102 kg mais le chariot est beaucoup plus long que ça on en voit à peine la moitié La bonbonne contient 30 l de mélange ce qui permet 50 coups de 25 secondes entre 25 et 30m de distance) , voire de gaz provoquant l'asphyxie ou de nombreux dégâts tel que le gaz moutarde qui fut Le gaz le plus connu et peut-être le plus efficace de la Première Guerre mondiale. Il s'agit un agent vésicant

| |Composition |Oeuf délicatement poché dans une sauce au |Médaillons de filet mignons avec sa sauce |Coupe de trois boules de crème glacé et | |du |vin rouge accompagné de ses petits oignons,|aux deux moutardes accompagnés de son gratin|sorbets à votre choix. | |plat |lardons et champignons , et déposé sur une |de pommes de terre cuit au four. | | |expliquée

Paulette, Pauline, Pavla, Pavlina, Tim, Timoté, Timotée, Timotéo, Timothée, Titou, Polycarpe LA RECETTE DU JOUR Sauté de porc miel et moutarde Temps de préparation : 15 minutes Temps de cuisson : 30 minutes Nombre de personnes : 4 Ingrédients : - 500g de sauté de porc en petits morceaux - 1 cuillère à soupe de miel - 1 cuillère à soupe de moutarde à l'ancienne - 1 cuillère à soupe de sauce piment (facultatif) - 1 petite briquette de crème fraîche liquide (allégée de préférence) -

fonction de leur mode d'action. On distingue ainsi les vésicants, les suffocants, les plus dangereux étant les neurotoxiques. Ces produits se présentent généralement sous forme de gaz ou d'aérosols largués dans des bombes ou pulvérisés par des avions spécialement équipés. Exemple :Chlore, Acide cyanhydrique, Gaz moutarde, Phosgène, Sarin (utilisé dans l'attaque du métro de Tōkyō en mars 1995 par des adeptes de la secte Aum Shinri Kyo (12 morts et 5 500 blessés)). En mars 1988, dans la ville irakienne

au "nettoyage de tranchées". Avec ces armes, les poilus cachés dans les fossés étaient tous brûlés ce qui rendait leurs pauvres protections dérisoires. Autre moyen qui rendait leur protection dérisoire : les gaz (gaz lacrymogène, gaz phosgène et disphosgène, gaz ypérite et les gaz moutarde) brûlait les yeux et provoquait des troubles de la respiration, et l'asphixie était redoutable car elle faisait souffrir les poilus et provoquait des réactions Des grenades lancées par les lance-grenades; il

Il a fallut s'adapter pour la plupart aux nouvelles conditions de guerre. Les hommes s'enterrent dans les tranchées, le matériel évoluent, les chars font leur apparition mais également l’emploi de gaz toxiques (gaz moutarde). Ce maintien des positions s'accompagnent de façon ponctuelle d'offensives dont la portée est limitée. Les offensives françaises en 1915 coûtent la vie à 350000 soldats. La bataille de Verdun menée par les allemands fait 300000 morts et 400000 blessés, en 7 mois, pour des gains