Gérondif

effroi· Evocation des médecins· Didascalies internes· Gérondif = personnages dans l’action· Attitude de MDC qui renforce la théâtralisation· « Digne de sa vertu et de sa piété »· La litote « déplaisir » et l’euphémisme « vous quitter » · Une mère dans la retenue et l’autorité = Moment solennel est créé<-> Retenue = pudeur religieuse = belle mort chrétienne = moyen d’influencer PDC pour qu’elle suive le même cheminAxe 2 :  · L’exorde· Gérondif « en lui tendant la main »· L’apostrophe « ma fille »

V10 //v12 « quand + verbe+ » * Fusion de deux états contraires Parataxe V1 « je vis,je meurs » qui superpose les deux états Les associations avec la répétition de la conjonction de subordination « et » V1 ;v3 ;v5 ;v6 ;v7 ;v8 ;v10 ;v13 Le gérondif V2 »en endurant froidure » Des expressions comme « tout à coup »/ »Tout en un coup » v5 ;v8 Le participe passé qui lie plaisir et douleur V4 « entremêlé » Processus de transformation « et » « puis » « remet » retour cyclique, boucle . c) L’amour :

verbe "traînait" au vers 8 qui fait penser à une espèce de lenteur pour avancer. Au vers 5, le fait d'être pratiquement nues souligne la situation de victime et leur enlève leur charme et leur dignité, celà va dans le sens de l'animalisation (le gérondif "montrant" peut signifier soit qu'elles ont une impudeur consentie, soit qu'elles sont violées). De plus, ce vers est mis en tête, ce qui a pour effet de mettre en valeur ce spectacle pitoyable. La soumission, l'impuissance des femmes est extrêmement

qu’en FM. Le gérondif était souvent employé seul (sans la préposition en) et seule son invariabilité le distinguait de l’adjectif verbal et du p. présent qui, tous deux, pouvaient varier en cas et en nombre (formes en –ant st épicènes en AF) Le classement : en fonction de leur appartenance syntaxique à la classe du verbe ou à celle de l’adjectif. I- Appartenance à la classe du verbe A- Le gérondif invariable. Sa fonction est celle d’un adverbe 1- Le gérondif élément d’une

l’amante Vocabulaire fort + syllabes brèves -> rythme assez haché (brusque) => création de l’absolue, l’Amour est absolue, tout est dans l’absolu (vie ou mort) 2ème vers : Antithèse liée par un gérondif qui exprime la simultanéité des états => nouvelle surprise Opposition entre « chaud » et froid relié par un gérondif => variation dans la manière de lier les antithèses « endurant » : souffrance, torture et sous-entend la durée -> renforcé par « extrême » Vers 1 et 2 : 3 antithèses en 2 vers reliées

vivimos habláis coméis vivís hablan comen viven 2. Le gérondif .Equivalent du participe passé en français Hablar-> hablando Comer->comiendo Vivir->viviendo .Lorsqu’un pronom lui est associé, il faut faire l’enclise et ajouter un accent écrit. Diciéndolo-> en le disant haciéndolo-> en le faisant .Estar+Gérondif permet de décrire l’action en train de se faire Estoy hablando -> je suis en train de parler 3. L’imparfait Cantaba

familial : « son père » (l.4), « frères » (l.10), « époux » (l.17) nous montrant qu’Andromaque est touchée par ces évènements et recherche du réconfort. Ainsi, elle témoigne de la précision de ses souvenirs. On note aussi la présence de nombreux gérondifs agissant dans ce sens : « se faisant », « entrant », « ensanglantant » (l.10/9/5). De plus, l’emploi d’adjectifs de description : « étincelants » (l.8), « expirants » (l.13) et d’autres encore, cela appuie le fait qu’elle souhaite décrire ses souvenirs

d’un nom. * Il peut avoir une valeur de verbe pour exprimer une interrogation, un sentiment, un ordre, une interdiction, un conseil, une action. Participe : * Adjectif (épithète ou apposé) * Verbe (noyau d’une P.S. Participiale) Gérondif : * Complément Circonstanciel DISCOURS DIRECT : * ponctuation ( « » / - ) * présent d’énonciation * la majuscule après : * verbe de parole * phrases de type exclamatif et type interrogatif * tournures orales *

verbe "traînait" au vers 8 qui fait penser à une espèce de lenteur pour avancer. Au vers 5, le fait d'être pratiquement nues souligne la situation de victime et leur enlève leur charme et leur dignité, celà va dans le sens de l'animalisation (le gérondif "montrant" peut signifier soit qu'elles ont une impudeur consentie, soit qu'elles sont violées). De plus, ce vers est mis en tête, ce qui a pour effet de mettre en valeur ce spectacle pitoyable. La soumission, l'impuissance des femmes est extrêmement

in Paris  NEITHER        ni l'un ni l'autre                             I like neither of these books   NONE       aucun      pour plus de deux on utilise none                               We have three sons but none of them lives nearby Le gérondif peut être utilisé 1. Comme sujet du verbe: The baby eventually learnt that eating was a real work. ( 'eating' est le sujet de 'was').  2. Comme complément du verbe: Her problem is stealing. / He has a real problem with dancing. ('stealing'