Hermann Hesse éloge De La Vieillesse

Professeur : Laurence Hansen-Löve Bibliographie « La vieillesse » Avertissement : du bon usage d’une bibliographie Cette bibliographie vous fournit des références et non pas une liste de livres à lire (tous) ! Commencez par trouver dans votre propre bibliothèque les ouvrages dont vous disposez déjà. Ensuite, choisissez les livres qui vous attirent le plus, et ceux que vous trouvez en poche ou en occasion en vente sur le Net. Les poèmes sont en accès libre. Un ou deux livres pas catégorie me

La vieillesse Dossier IEP 2010 Réalisé par L. Hansen-Löve (30 octobre 2009) Le plan : Présentation I. Le propre de l’homme II. La vieillesse désolée III. La vieillesse magnifiée IV. Une « voyageuse de la nuit » V. Anthropologie de la vieillesse A - La vieillesse des autres B - Le grand âge aujourd’hui C - Un nouveau modèle social Conclusion Page 1 sur 21 Présentation La question de la vieillesse n’a suscité au siècle dernier qu’un intérêt très limité, tant du côté des chercheurs

plus joli surnom qu'on donne à la vie." [ Jacques Prévert ] "Un jour par an, le Mardi gras par exemple, les hommes devraient retirer leur masque des autres jours." [ Claude Aveline ] "C'est toujours le plus idiot des deux qui s'en prend à l'autre." [ Herman Melville ] "Il faut demander plus à l'impôt et moins aux contribuables." [ Alphonse Allais ] "Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer." [ Beaumarchais ] "La musique, c'est du bruit qui pense." [ Victor Hugo ] "Qui voit le

plus joli surnom qu'on donne à la vie." [ Jacques Prévert ] "Un jour par an, le Mardi gras par exemple, les hommes devraient retirer leur masque des autres jours." [ Claude Aveline ] "C'est toujours le plus idiot des deux qui s'en prend à l'autre." [ Herman Melville ] "Il faut demander plus à l'impôt et moins aux contribuables." [ Alphonse Allais ] "Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer." [ Beaumarchais ] "La musique, c'est du bruit qui pense." [ Victor Hugo ] "Qui voit le

français, 1958 ; 1959). [Paris], Éditions de Minuit, 1988, 24 p., 3.05 €.   — Gedichte, édition trilingue, comprenant les poèmes de Echo’s Bones and Other Precipitates et les dix-huit poèmes en français publiés en revues, traduit en allemand par Eva Hesse et Elmar Tophoven. [Wiesbaden], Limes Verlag, 1959.   — Comment c’est (en français, 1959-1961), roman. [Paris], Éditions de Minuit, 1961, 180 p., 11.74 €. (How It Is, traduit en anglais par l’auteur, 1964 ; Magessa O’Reilly (éd.), Samuel Beckett’s

les descendants des familles protestantes exilées par Louis XIV et où l’on ne parle que la langue française. « On me permettra de ne point dire – raconte Gérard de Nerval – en quelle compagnie nous fîmes un jour une excursion dans la principauté de Hesse-Hombourg, ni à quelle charmante fête nous prîmes part dans un château gothique tout moderne, au milieu d’une épaisse forêt de chênes et de sapins. Je croyais faire un de ces romanesques voyages de Wilhelm Meister, où la vie réelle prend des airs de

escaliers, des châteaux d’eau d’où tombent, comme des rideaux de cristal, des cascades pesantes. [...] » N’est-ce pas 1 2 3 BAUDELAIRE, Charles, « Notes nouvelles sur Edgar Poe », in Œuvres complètes, tome II, ibid., p. 325. BAUDELAIRE, Charles, « Éloge du maquillage », ibid., p. 715. BRUNETIERE, Ferdinand, « L’évolution de la poésie lyrique au XIXe siècle », cité par GUYAUX, André, op. cit., p. 832. 95 une étrange fantaisie que cette composition faite d’éléments rigides où rien ne vit,

connaissons que cela; j’en ai même un sur ce rayon… » Il est inutile d’exprimer ma joie. Le libraire m’apporta un livre in-12, du format indiqué; seulement, il était un peu gros (649 pages). Je trouvai, en l’ouvrant, ce titre, en regard d’un portrait: « Eloge du comte de Bucquoy. » Autour du portrait, on retrouvait en latin: COMES. A. BVCQVOY. Mon illusion ne dura pas longtemps; c’était une histoire de la rébellion de Bohême, avec le portrait d’un Bucquoy en cuirasse, ayant barbe coupée à la mode de Louis

buvait pour oublier la honte causée par le fait qu’il buvait, est illusoire. Quant à la femme, autre refuge paradisiaque, elle serait, selon Clamence, le juge - pénitent, « tout ce qui reste du paradis terrestre 279 . » Le loup des steppes de Hermann Hesse 280 est un autre personnage intéressant, de notre point de vue et pour notre thème de recherche. « Au commencement de toutes les choses il n’y avait ni innocence, ni ingénuité : tout ce qui est créé, même ce qui paraît le plus simple, est déjà

connaissons que cela ; j’en ai même un sur ce rayon..." Il est inutile d’exprimer ma joie. Le libraire m’apporta un livre in-12, du format indiqué ; seulement, il était un peu gros (649 pages). Je trouvai, en l’ouvrant, ce titre, en regard d’un portrait : "Eloge du comte de Bucquoy." Autour du portrait, on retrouvait en latin : COMES. A. BUCQVOY. Mon illusion ne dura pas longtemps ; c’était une histoire de la rébellion de Bohême, avec le portrait d’un Bucquoy en cuirasse, ayant barbe coupée à la mode de Louis