Héros Surnaturel

introduction d’un élément inexplicable selon les lois de la nature => élément étrange, anormal, voire surnaturel. Ex : découverte d’un miroir derrière lequel se trouve un autre monde… - Accumulation d’éléments étranges (mélange registres réalistes/fantastiques) => glissement dans le fantastique avec écriture du doute rendant l’hésitation entre rationnel et surnaturel (hésitation du héros doit contaminer le lecteur). - Fin = Chute maintenant l’hésitation jusqu’au terme

Du fantastique maupassantien: la femme surnaturelle Noëlle Benhamou armi les récits fantastiques de Maupassant, ceux qui font intervenir des célibataires en proie à des phénomènes paranormaux mettent en scène la femme surnaturelle et mêlent ainsi désirs et obsessions érotiques et inquiétante étrangeté. A travers un corpus de dix contes qui évoquent des amours étranges, nous verrons que le motif de la femme – essentiel à l’œuvre de Maupassant – associé au fantastique permet de souligner la proximité

allons tout d’abord étudier la présence du merveilleux et du surnaturel. Dans un deuxième temps nous chercherons en quoi ces scènes sont tragi-comiques. Et enfin, nous analyserons ce dénouement rapide et baroque. Cette scène nous présente un spectre, une statue qui parle ainsi que des foudres venues du ciel avec la terre qui s’ouvre. Un spectateur en voyant la scène est surement stupéfait par ce spectacle mais en lisant le livre, le surnaturel et le spectaculaire ne sont pas mis en avant. Pour preuve :

description du monstre, v. 1516-1521), qui deviennent symboliques : Hippolyte représente l’humanité en butte aux forces supérieures, qu’elles soient naturelles ou surnaturelles. �� Elle se manifeste surtout par l’intervention d’une causalité surnaturelle : conformément à la malédiction de Thésée, le monstre est bien un être surnaturel envoyé par Neptune pour tuer Hippolyte. La dramatisation du récit permet de rendre le combat spectaculaire aux yeux du spectateur. De fait, il s’agit d’émouvoir le

à un genre littéraire. Principaux registres littéraires. REGISTRES Registre épique Registre tragique Registre comique EFFETS PRODUITS Provoquer l’admiration et l’enthousiasme du lecteur, en louant les exploits d’un ou plusieurs héros. Emouvoir le lecteur en présentant des situations sans issue : les personnages, tourmentés par de fortes passions ou par un dilemme, ne peuvent éviter un dénouement malheureux (la mort ou la folie). C’est un registre qui inspire l’effroi (devant

registre fantastique Il cherche à provoquer la peur et l’angoisse du lecteur en montrant l’intrusion d’un événement surnaturel dans un monde donné comme réel. Il repose sur l’hésitation du narrateur ou du personnage entre deux interprétations, l’une rationnelle et l’autre surnaturelle. Le registre épique Il cherche à provoquer l’admiration du lecteur en exaltant les exploits d’un héros, tout comme le genre antique de l’épopée narrait les hauts faits de personnage sublimes. Il utilise l’hyperbole,

de la momie » (1840), où la réalité et le rêve se distinguent difficilement dans l'esprit du héros romantique. C'est un état psychologique proche d'une folie fantastique, danger du créateur s'il s'abandonne au délire de l'inspiration : « Il eût été capable, sans cette tendance funeste, d'être le plus grand des poètes ; il ne fut que le plus singulier des fous. » Le romantique aime le mystère et le surnaturel. Il y intègre le fantastique. En effet, Le fantastique connaît un grand succès au XIXème siècle

le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à s’interroger sur l’ « effectivité » du phénomène décrit : rêve ou réalité ? Et au-delà de cette simple question, l’errance est-elle due à une « réelle » altération des sens (explication rationnelle) ou à une illusion forcée, voire surnaturelle (domaine de l’irréel) ? Ou encore la force obscure qui pousse le héros au-delà

le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à s’interroger sur l’ « effectivité » du phénomène décrit : rêve ou réalité ? Et au-delà de cette simple question, l’errance est-elle due à une « réelle » altération des sens (explication rationnelle) ou à une illusion forcée, voire surnaturelle (domaine de l’irréel) ? Ou encore la force obscure qui pousse le héros au-delà

est d'illustrer une morale. Héritée de l'Antiquité, la fable a souvent pour héros des animaux, chargés alors de représenter les hommes (Fables de La Fontaine, par exemple). L'auteur d'une fable est un fabuliste. Origine de ce genre littéraire : Ésope. Au Moyen Âge, de nombreux recueils de fables, appelés isopets, sont constitués. Qu’est-ce que le registre merveilleux ? Le merveilleux appartient au registre du surnaturel. La distinction entre merveilleux (du latin mirabilia, choses admirables)