Idée Universelle Kant Cosmopolitique

Kant, Critique de la faculté de juger, Formation continue Académie de Nantes Critique de la faculté de juger de Kant FORMATION CONTINUE 2005-2006 © Académie de Nantes 2008 1 FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement

FORMATION CONTINUE 2005-2006 Lecture collégiale de la critique du jugement esthétique dans la Critique de la faculté de juger de Kant Première séance : jeudi 11 janvier 2006, 14 h – 17 h. Découpage des séances de formation : Bien entendu, ce découpage ne peut être respecté « à la lettre », et le déroulement effectif de la première séance illustre déjà cette salutaire « résistance du réel » à nos projets les plus ambitieux… Le schéma suivant est donc susceptible de quelques variations : Première

étant basé sur le rapport entre des états égaux. 2.2) Faiblesse des régulations Le système politique international dressé par Aron ne correspond plus à la situation actuelle : on a inséré des règles de droit au sein de ce système, on se base sur une idée du consentement des états, il n’y a pas de constitution classique ou d’exécutif chargé de faire exécuter les normes choisies dans le système international. Tout traité se base selon une politique de consentement et donc d’intergouvernemental. (comme

suffit de bien juger pour bien faire ? Littérature : Les liaisons dangereuses, Laclos Dom Juan, Molière Faust, Goethe Crime et châtiment, Dostoïevski Philosophie Fondements de la métaphysique des mœurs, Kant. Dans votre livre, p. 452 Critique de la raison pratique, Kant Deuxième dissertation de la Généalogie de la morale, Nietzsche. Dans votre livre, p. 428 Le savant et le politique, Weber Eichmann à Jérusalem, H. Arendt. Dans votre livre, p. 442 Totalité et infini, Lévinas

en tant que tel sans prétendre traduire une règle supérieure (règles d’inspiration divine par exemple). Pour les positivistes en droit juste ou injuste, le droit doit être obéit. D’ailleurs les devoirs l’emportent sur les droits. A partir de cette idée de base, deux approches on était développées : positivisme étatique qui fait reposer le droit sur la force qui l’impose, Kelsen au 20ème siècle et avant lui il s’est inspiré des travaux de Hegel au 18ème siècle ; Puis le droit dérive de la sociologie

qui s’était développé à l’ombre du franquisme. La lecture d’Aristote, à partir de Sepúlveda 2 et de Victoria 3 s’imposait, par exemple, dans les cours de droit naturel. Je rappelle qu’à l’époque – 1959-1963 – les textes de la philosophie allemande de Kant, Hegel, Schopenhauer, Nietzsche, Des présocratiques nous en parlerons dans la partie concernant la théorie et la philosophie de la nature. Rappelons que Juan Ginés de Sepúlveda (1490-1573) fut le théologien de Charles Quint et qu’il s’opposa à Bartolomé

est un Dieu pour l’homme (L’amour. La concorde. Le commerce) 11 C. L’ambivalence fondamentale du rapport à autrui (Kant, Freud) 11 IV. Autrui et la morale 12 A. L’être-avec nous place dans la dimension de la moralité (Heidegger) 12 B. Les sentiments moraux sont inspirés par autrui (Hume, Rousseau) 14 C. Autrui est la source des commandements moraux (Kant, Levinas) 15 D. Autrui permet de faire retour sur soi et fonde la conscience morale (Sartre) 15 Conclusion 16

évidence quelques types d' échanges, fondamentaux pour la vie sociale. Les ethnologues (Lévi Strauss) affirment que toutes les sociétés font circuler les femmes: exogamie Toutes les sociétés ont une même règle (alors que jamais une règle n’est universelle): la prohibition de l’inceste, c'est-à-dire l’interdiction du mariage avec la personne proche. (La définition de la proximité varie de société en société). Il s’agit de constituer des alliances entre les cellules familiales biologiquement définies;

ca "réducteur" de définir la mythologie par rapport aux religions uniquements. Il me semble que la définition devrait être plus générale, plutôt se rapportant à l'ensemble des récits propres à un peuple, ou à une civilization ou se rapportant à une idée s'imposant au sein d'une communauté (ici, les religions entre autres). Et pourquoi forcemment "auxquelles plus personne ne croit plus" ??? [Mulot] J'ai procédé par l'histoire du concept. D'une part, on étudie la mythologie que depuis la période

innocentes" ; il faut, pour définir plus nettement la responsabilité du pour-soi, ajouter celle-ci : "On a la guerre qu'on mérite."» 2. Un monde sans mérite serait peu motivant ou supposerait le despotisme de l’État Kant, Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique, 1784 : « Ainsi, dans une forêt, les arbres, justement parce que chacun essaie de ravir à l’autre l’air et le soleil, se contraignent réciproquement à chercher l’un et l’autre au-dessus d’eux et par suite ils poussent