Inflation Chomage Mankiw

31 L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 123 123 124 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de la politique économique 2. Un renouveau de la macroéconomie classique VI 127 127 129 Table des matières De

L’impulsion du renouveau libéral par le monétarisme 1. Friedman et les monétaristes dans la discussion sur la stabilité des fonctions macroéconomiques de comportement 2. La critique monétariste de la courbe de Phillips et la théorie du taux de chômage naturel 32 La nouvelle macroéconomie classique 1. L’hypothèse d’anticipations rationnelles et l’inefficacité de la politique économique 2. Un renouveau de la macroéconomie classique VI 123 123 124 127 127 129 Table des matières

après les vacances. Rem : Mieux vaut lire le livre avant d’avoir les questions. Plus de détails suivront sur iCampus. Les notes de TP sur iCampus. Des exercices QCM sur iCampus. Pas d’ouvrage de référence mais : Principes de l’économie de G. Mankiw = manuel le plus utilisé dans les cours d’économie politique, bien sur la partie microéconomique mais pas sur la partie macroéconomique. Principes d’économie moderne de J. Stiglitz. Evaluation. Examen au mois de juin. Dissertation sur le livre

................................................................................................ c - En quoi, par l’éducation, la famille participe à la création de lien social 1.2 Des limites du lien marchand a - En quoi la crise et le chômage peuvent-il provoquer un affaiblissement dans les autres sphères de la société ? La famille participe à la création de lien social dans les autres sphères de la société car, par l’éducation, elle aide les individus à s’intégrer dans la société et

qui l’affectent.[8] Cette régulation présente des dimensions liées qu’il convient de distinguer : - La régulation économique qui devrait permettre au capitalisme de concilier croissance économique et respect des grands équilibres, emploi, inflation, budget des administrations et de l’Etat, commerce extérieur, ... Cette régulation économique permet la gestion de la rareté. Elle a pour objectif l’efficacité économique. - La régulation sociale permettant de concilier le changement

pourrait d’abord penser que l’incompréhension vient de l’ignorance. Mais, même parmi ceux qui sont censés savoir, il n’y a pas de consensus. L’incompréhension vient donc plutôt de l’attachement à la croyance en ses connaissances. Selon Gregory N. MANKIW et Mark P TAYLOR6, les individus sont trop confiants en eux. Quant on leur demande, par exemple, de donner une fourchette à 90% qui comprend la valeur du nombre de pays où on parle espagnol, la vraie valeur a 90% de chance d’être en dehors. Les individus

concurrentiel dans une course à la productivité du travail. De plus, un phénomène nouveau est apparu et s’est rapidement propagé à l’ensemble des zones urbaines. Ce phénomène est l’apparition conjuguée d’un chômage de masse et d’emplois précaires. Selon un rapport de l’OCDE en 2005, le taux de chômage serait passé de 8% en 1995 à 11,8% en 2000 avec des pointes à 20% dans certaines provinces particulièrement touchées par les réformes du milieu des années 1990. Jusqu’au milieu des années 1990, la croissance

SYNTHESE DU LIVRE : PRINCIPES DE L’ECONOMIE DE GREGORY MANKIW. L’économie, c’est l’étude de l’humanité dans les affaires courantes de la vie. Pourquoi s’intéresser à l’économie ? Cela permet de comprendre le monde où nous vivons. Et cela fera de nous un acteur plus avisé de la vie économique. Une fois dans la vie active il faudra décider de la part de revenu destinée à être dépensée, épargnée, investie judicieusement. Mais l’étude de l’économie nous permettra d’apprécier le potentiel

Les classiques et leurs analyses ont été rapidement critiqués. En 1818, Jean de Sismondi publie ses Nouveaux principes d’économie politique où il critique les conséquences sociales de l'industrialisation visibles dans l’Angleterre de son époque : chômage, inégalité, paupérisation … dénonçant un libéralisme qui ne se fait qu’à sens unique, procurant des droits aux entrepreneurs et imposant des obligations aux ouvriers. Il cherche aussi à développer une théorie économique montrant la possibilité de

le taux de croissance naturel, gn (qui équilibre l’offre et la demande sur le marché du travail), Harrod met en évidence un paradoxe de la théorie keynésienne. Si gw est supérieur à gn, le rythme élevé de croissance pourra permettre de réduire le chômage. Mais lorsque l’économie tend vers le plein emploi, le taux de croissance effectif g sera limité par le taux naturel. La croissance réelle devient inférieure au taux garanti. Harrod en conclut que l’économie tendra progressivement vers la dépression