Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre

DM STG com CORPUS  1. Photographie : « la sieste », tableau de Gauguin. (époque polynésienne) 2. Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie (1788)  3. Diderot, Supplément au Voyage de Bougainville (1772) QUESTIONS : 1. Identifiez la forme d’argumentation représentée dans chaque doc. écrit. Justifiez en citant les textes. (3 pts) 2. En décrivant de manière détaillée la photo du document 2, montrez le rôle qu’elle joue par rapport au texte de Lévy-Strauss (document

Diderot, Rousseau et Bernardin de Saint-Pierre célèbres écrivains Français du siècles des Lumières montrent différentes théories ou représentation du bonheur à travers ce corpus composé d’ un extrait du poème satirique de Voltaire « le Mondain» (1736), d’un essai polémique de Diderot « supplément de voyage de Bougainville » (1772), d’un extrait autobiographique de Rousseau « Les rêveries du promeneur solitaire »(1782) et d’un extrait du roman de Bernardin de Saint-Pierre « Paul et Virginie »(1788)

Cette oeuvre est fortement liée au voyage qu’a fait Chateaubriand en Amérique, en 1791. Une idée importante : on considère volontiers, au XVIIIe siècle, que le voyage peut enrichir la littérature. Voir Paul et Virginie, roman publié par Bernardin de Saint-Pierre en 1788. On peut en tout cas parler, à propos de René, d’une coloration autobiographique. Le « château paternel » (p. 159 dans l’éd. du Livre de Poche ; p. 144 dans l’éd. Folio) peut renvoyer au château de Combourg, où Chateaubriand

long du siècle. Le sentiment est ainsi au cœur d'un certain nombre d'œuvres, et les lecteurs ou les spectateurs de cette époque adorent pleurer. C'est ce qui explique par exemple le succès de romans pathétiques tels que Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre, ou les tentatives de drame larmoyant au théâtre. Conclusion  La littérature du XVIIIe siècle est donc plus complexe qu'il n'y paraît d'abord, et il faut faire attention à ne pas la limiter aux clichés les plus simplistes sur les philosophes

Bernadin de Saint Pierre a, très tôt dans la vie, été fasciné par le lointain. Un voyage à la Martinique à l'âge de douze ans, puis sur l'île Maurice n'ont pas peu fait pour développer chez lui un sensibilité qui trouvera dans le préromantisme et dans l'amitié de Jean-Jaques Rousseau une terre d'élection. «Le temps qui passe...» est extrait de son roman Paul et Virginie, la plus célèbre de ses oeuvres, qu'il publie en 1788. Un vieillard a été le témoin privilégié de la vie de deux femmes, Mme de

peut-être, sont contraints de se replier sur eux-mêmes, ils cherchent dans leur imagination ce que la réalité leur refuse, et l’on voit fleurir les utopies. » L’UTOPIE DANS PAUL ET VIRGINIE Paul et Virginie est une œuvre écrite en 1787 par Bernardin de Saint-Pierre, écrivain français (Le Havre 1737 – Éragny-sur-Oise, Paris 1814). Auteur influencé par Rousseau, son œuvre est une défense romantique de la nature en opposition à la science. Pour commencer nous exposerons un tout petit résumé de l’œuvre

pût vivre seule et inconnue, elle s'achemina de la ville vers ces rochers pour s'y retirer comme dans un nid. » Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virginie, Ed. Gallimard, Folio Classique, édition de Jean Erhard, 2004, p. 112. -la force de la nature et l’impuissance de l’Homme : déchaînement de la nature métamorphose l’idylle en tragédie Contexte du roman -Bernardin de Saint Pierre s'embarque pour l'Ile de France (Ile Maurice) où il se brouille avec de nombreuses personnes. Son séjour lui inspirera

de Jacques Aymot, helléniste proche de Marguerite de Navarre. Deux siècles et demi plus tard, Paul-Louis Courier remanie et enrichit la traduction d'Aymot. En 1912, a lieu la première du ballet de Maurice Ravel qui établira durablement la notoriété de cette étonnant pastorale. *Enfin, évoluant entre la pastorale et la robinsonnade, le récit a exercé une influence discrète mais déterminante sur l'évolution de la forme romanesque, éveillant des échos dans l'œuvre de Bernardin de Saint-Pierre qui

Sujet BAC (P.156) Ce corpus de texte est composés d’extraits de romans, presque tous d’époque différente. Le premier est tiré de Paul et Virginie écrit en 1788 par Bernardin de Saint-Pierre, qui est un roman utopique et contestataire où Paul part sauver son amante qui est sur un bateau faisant naufrage. Le second texte est extrait Des trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas écrit en 1844 où d’Artagnan s’alliât aux trois mousquetaires. Le troisième extrait est écrit par Jean-Paul Sartre et figure

jeunesse. Qui de nous n’a pas eu un jour honte d’erreur commises pendant sa jeunesse ? Ce roman méconnu, contient le talent littéraire de Flaubert. Il est à la hauteur des chefs-d’œuvre romantiques de son siècle tel que Paul et Virginie (Bernardin de Saint-Pierre), René (Chateaubriand), Les Souffrances du jeune Werther (Goethe) et Don Juan (Lord Byron). (Court résumer du plan) Dès les premières pages, on ressent l’importance de l’exaltation du « moi ». À tel point que le personnage principal et le