Je Perçois Autrui Comme Comportement

 Faut-il s'identifier à autrui pour le comprendre ? Nous sommes tous les jours, tout le temps entourés d'autres personnes, d'autrui; donc en tant que conscience, nous sommes entourés constamment d'autres consciences qui m'influence, que j'influence et nous nous permettons mutuellement d'évoluer. Comprendre veut littéralement dire concevoir, saisir le sens, cependant une personne peut-elle ressentir les mêmes sentiments qu'une autre dans les mêmes circonstances et donc me comprendre

pensante. Descartes n’ayant fait aucune allusion à Autrui lors de l’écriture du Cogito. Plus tard, Jean Paul Sartre décide d’écrire un Cogito basé sur l’existentialisme**. En plus de faire référence à Autrui, le Cogito existentielle de Sartre permet d’échapper au problème du solipsisme tout en évitant de faire appel à l’hypothèse d’un Dieu Transcendant. Mon hypothèse de lecture suppose que le sujet Humain partage une relation non-additive avec Autrui, qu’il a besoin de celui pour expérimenter certaines

effet, une bonne partie de notre expérience. Autrui est autre moi, altérité et| |pourtant même. Il est ce qui est étranger pour moi. Autrui est d'abord l'Autre, le différent. C'est| |une autre espèce toute particulière, un moi qui n'est pas moi. Or la question qui se pose ici | |« est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? » porte les

conscience. Ensuite, nous terminerons par comment dépasser ces limites pour que ce que je suis et ce que j'ai conscience d'être coïncide. Je suis ce que j'ai conscience d'être, je suis alors certain de ma conscience de soi . La conscience agit comme un miroir de soi même et de la pensée, c'est une spécificité humaine. En effet, être conscient de soi, c'est être capable de dire «je suis moi», «je me pense», être capable de se dédoubler entre celui qui pense et celui qui est pensée. Ce qui permet

SUJET: Puis-je connaître autrui comme soi-même? Lors de cette œuvre nous cherchons à savoir s’il est possible que nous puissions connaître autrui comme nous-même. Dans un premier temps, il faudra définir les termes afin de pouvoir comprendre et analyser ce sujet. Connaître veut dire juger objectivement une réalité sans la déformer, en prenant conscience au minimum de ce qui est inconnu. Autrui, d’après Sartres (extrait de l’Etre et le Néant) veut dire, « […] est l’autre, […] le moi qui n’est pas

une bonne partie de notre expérience. Autrui est autre moi, altérité et| | |pourtant même. Il est ce qui est étranger pour moi. Autrui est d'abord l'Autre, le différent. C'est| | |une autre espèce toute particulière, un moi qui n'est pas moi. Or la question qui se pose ici | | |« est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? » porte

terme d’introspection vient du latin « introspectus » : « action de regarder à l’intérieur ». L’introspection est l’étude de la conscience par soi-même. Elle est l’étude de sa propre personnalité, de son monde interne et intime, et de ses propres comportements passés ou présents. Elle permet, par une observation intérieure de ses propres états de conscience, la connaissance de soi-même par soi-même. La notion d’introspection est propre au genre humain. Cette méthode d’exploration se nomme également « psychologie

rendre compte de ses représentation. L’intuition et les sensations sont considérées comme une conscience animale. Je peux être conscient de l’objet qui est devant moi, c’est la conscience immédiate. Ces conscience sont présentent chez toutes les espèces animales et sont qualifiés de simple. Ce qui différentie l’Homme de la bête est la conscience dite complexe. Je peux être conscient des opérations de mon esprit, comme des souvenirs, des pensées…C’est la conscience réfléchie. L’être humain peut aussi

AUTRUI: L’homme n'est pas fait pour vivre seul, il a besoin des autres non seulement dans l'entre-aide et la coopération mais ceci et surement pour partager le sentiment d'exister avec ses semblables. En effet, son jugement, ses découvertes, ses sentiments et ses émotions n'ont de signification et de valeur que si d’autres peuvent aussi les confirmer ou les éprouver, que si d'autres peuvent en être les témoins ou les garants. Ainsi la communication avec autrui apparait-elle comme le premier besoin

Faut-il être seul pour être soi ? L’homme ne peut se développer sans la présence d’autrui. Or, autrui nous influence dans nos choix et cela vient à nous demander si autrui n’est pas la contrainte qui empêche d’être soi. Les autres me permettent-ils de me constituer, ou, au contraire empêchent ils mon être de se développer ? La société est basée sur des fondements biens définis. Il est mal vu de se comporter différemment des autres, j’entends par là avoir une attitude, des valeurs autres que