Je Perçois Autrui Comme Comportement

RÉSUMÉ CHAPITRE 1 ORH1163 Introduction au comportement organisationnel Définition du CO : étude du comportement des individus et des équipes au sein de l’organisation. Mieux comprendre les personnes, les équipes et l’organisation  Afin d’augmenter les comportements positifs  Pour maximiser la performance individuelle et organisationnelle. Le management : INTRANT  ORGANISATION –> EXTRANT Système ouvert Souvent dans le monde capitaliste, certains intrants sont négligés. Ce qui caractérise

la notion de responsabilité attachée à l’exigence morale ? Si l’inconscient semble pouvoir conditionner nos tendances, nos affections, nos goûts, ces sentiments intérieurs qui nous font agir, est-ce lui qui agit pour nous ? La conscience entendue comme capacité de recul n’a-t-elle pas toujours la possibilité d’accepter ou de refuser les sentiments qui nous habitent? Autrement dit si nous ne sommes pas libres de former nos désirs ou nos impulsions inconscientes, ne nous appartient-il pas en revanche

L’image ne relève pas seulement de la pure perception, reléguée à un art du seul effet gratuit, elle a pour vocation seconde mais non moins essentielle de donner à penser, d’établir des liens entre différents éléments du film et d’autres domaines comme le théâtre, la poésie, la peinture et la philosophie. Le risque du tout sensible serait d’aboutir à une mystique de l’art dans laquelle l’œuvre deviendrait sacrée, intouchable et entièrement inexplicable. Dans Mulholland Drive, Lynch filme un rêve

reformulation du sujet donnerait la question suivante : pour quelles raisons pourrait-on désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en

reformulation du sujet donnerait la question suivante : pour quelles raisons pourrait-on désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en

I) QU’EST-CE QUE LA COMMUNICATION ET POURQUOI ? A) La communication et ses objectifs Au XXI ème siècle tout le monde s'accorde pour définir la communication comme un processus, cependant, les points de vue divergent lorsqu'il s'agit de le qualifier. Un premier courant de pensée propose une approche de la communication centrée sur la transmission d'informations. Il s'intéresse aussi bien à l'interaction homme-machine qu'au processus psychique de la transmission de connaissances (avec l'appui

vous vous sentez à propos de votre corps, y compris votre grandeur, votre silhouette et votre poids. Ces perceptions amènent une personne à être plus ou moins satisfaite de son corps. Ces personnes ont une image corporelle négative et perçois leurs corps comme n'étant pas attrayant pour les autres. Ils sont convaincus que seuls les autres sont séduisants et que leurs tailles ou leurs silhouettes sont un signe d’échec personnel. Ils se sentent honteux, gênés et anxieux à propos de leurs corps, et

de l'élève comme dans de la cire molle. La deuxième consiste à éviter les conceptions préalables: modèle comportementaliste Comportement  initial         Boîte  noire         Comportement  final attendu Cette théorie, appelée béhaviorisme, prend appui sur les travaux de Thorndike, Pavlov, Skinner et Watson. L'apprentissage résulte d'une suite de conditionnements "stimulus-réponse". Les connaissances sont définies en termes de comportements observables

nous-mêmes, sur nos expériences, nos actions, etc. ; la conscience se retourne sur elle-même, prend ses états de conscience comme objets de conscience; le sujet qui est conscient se ressaisit ici comme conscience, il a conscience d’être conscient (on "prend" conscience) 3) La conscience morale : capacité de répondre de soi, à porter des jugements de valeurs sur ses comportements (ceux d’autrui, ou les miens); nécessite la précédente, car le sujet doit pour cela faire retour sur ses actes afin de les

ressortent : - descriptif ; les économistes cherchent à décrire les situations, des questions ou des problèmes contemporains. - explicatif ; on explique ce que l’on observe, des faits et des comportements. Il se différencie du précèdent en ce qu’il prétend suggérer des enchainements de causes a effets. - prévisionniste ; on prévoit ce qui se passera. Il est fondé sur un postulat (affirmation