Je Perçois Autrui Comme Comportement

CHAPITRE I : SUIS-JE LE MIEUX PLACÉ POUR SAVOIR CE QUE JE SUIS ? Notions traités la conscience le sujet l’inconscient autrui la liberté Introduction : la conscience de soi n’est pas une connaissance de soi Qui suis-je ? Qu’est-ce-que je suis ? Je suis ... (prénom) Ceci affirme mon identité Je suis moi = la conscience de soi La nature, l’essence, la définition, caractéristiques propres ! Ex : je suis une fille ; je suis un élève ; je suis un animal parlant = une connaissance

connaître et s'aimer comme on est avec ses qualités et ses limites. C'est s'apprécier et s'accepter comme on est. L’estime de soi, un jugement de valeur de soi L’estime de soi représente le versant évaluatif du concept de soi, l’image de soi en étant plutôt son versant descriptif. L’estime de soi correspond à la valeur que chaque individu s’attribue en tant que personne et nous renseigne sur le degré de satisfaction de soi-même : comment je m’apprécie tel que je me perçois. L’estime de soi apporte

s'impose. Derrière le mot éthique se profilent deux mots grecs Ethos et Itos. Ethos et Itos Ethos signifie le comportement juste, Itos, la tenue de l'âme. L'éthique a deux versants, une face interne qui est l'enracinement dans des valeurs et dans des vertus : elle relève d'une justesse et d'une fidélité envers soi (Itos), et une face externe qui est le comportement juste avec qui nous sommes en relation : l'autre, la matière, l'environnement, le marché, le concurrent…(Ethos) L'éthique

totalité : le mouvement social propose un projet de société alternatif fondé sur les valeurs. Classes sociale : groupe de grande taille d’individus partageant des positions similaires dans le système productif et ayant des conditions de vie, des comportements et des valeurs proches. Elles n’ont pas d’existence légale ou officielle (ex : la bourgeoisie). Elles correspondent à un type de stratification sociale devenu dominant avec la révolution industrielle. Lutte des classes : conflits entre les classes

fidélité possible, tandis que le but du philosophe était de reconnaître la vérité…..Pour reprendre une formule de Spinoza, qui a fixé justement la différence entre le philosophe appliquant sa raison à la nature directement et le théologien, conçu par lui comme commentateur de textes, on peut dire que le philosophe vise la vérité, tandis que l’interprète vise seulement le sens d’un texte …leur fonction est tres differente ….Pour le philosophe, il s’agit de découvrir la vérité et de l’exprimer. Pour l’interprète

l’objet conscient, qui perçoit le Monde. Le Monde constitue donc ce qui est perçu. La perception équivaut à une sensation. Mais qui perçoit ? Moi-même. Cette question et cette réponse sont rendues possibles par la conscience. Qu’est-ce que je perçois ? Un arbre. La conscience est une distance psychique. Distance entre Je et Moi. Distance entre Je et le Monde. B) La pensée de Descartes Introduction : Matrix → Le personnage principal se fait une vision du Monde. Dans la chute, on apprend

des questionnements aussi bien en terme de définition et de conception qu’en terme de problématique éthique. On peut voir une évolution de la conception du corps entre l’Antiquité et l’heure moderne contemporaine. Le corps a longtemps été considéré comme le siège du péché de chair, et il est aujourd’hui réhabilité par l’homme moderne qui voit en lui le symbole de la vie, d’une démultiplication des possibilités scientifiques ou encore le siège de certaines libertés conquises. Le corps peut être réduit

et moi seul qui parle, livre mon sentiment. La vie psychique et la vie psychologique comme fait de conscience. Mais où est la conscience ? • mind et brain des compétences cognitives, des mécanismes, des opérations mentales : le cerveau comme machine à apprendre sur la base d’informations bio- chimiques, un calcul de représentations et de transformations, une autonomie des processus internes comme connexions de neurotransmetteurs. • cerveau et intelligence artificielle :

représentations sociales) & des phénomènes de communication. b. Spécificité du regard psychosociale. 1er critères : Conception de l’homme comme un être social => L’homme se définit dans & par sa relation à autrui. Le nouveau-né ne peut pas survivre sans la présence d’autrui à ses cotes. Rôle des émotions essentiel car elles font les liens avec autrui, qui font le lien social. 2eme critère : Souci d’éviter le réductionnisme (= mode d’explicat° des conduites su sujet repose sur une vis° partielle

PREMIERE PARTIE LA CONSTRUCTION IDENTITAIRE 1. Le rapport à Autrui 1.1. Pourquoi Autrui ? Venu du latin alter, « autrui » renvoie tout un chacun à cet autre ou ces autres marqués immédiatement par leur caractère étranger, différent. Mais, comme le souligne J.P. Vernant, « Pour être soi, il faut se projeter vers ce qui est étranger, se prolonger dans et par lui [...] On se connaît, on se construit par le contact, l’échange, le commerce avec l’autre. Entre les rives du même et de l’autre, l’homme