Je Perçois Autrui Comme Comportement

veille lors de ses différentes activités, conscience immédiate = forme de savoir immédiat clair ou confus = relation au monde / conscience réfléchie = perception que l'on a de soi même en train de faire ou dire quelque chose, on se perçoit soi-même comme percevant prise de conscience = moment, instant, où une chose extérieure au sujet devient subitement une idée dans la pensée du sujet, alors que cette chose était jusque là inaperçue par le sujet, idée de changement, modification, apparition de

considère donc le cinéma comme un art philosophique par excellence ! II- Idées principales L'ouvrage est construit autour de trois grandes parties; la perception, la constitution de la psychologie et l'art. Puis l'auteur termine sur deux petites parties, dans lesquelles il traite de la philosophie et de la technique. · Merleau-Ponty commence par définir la perception selon la psychologie classique, théorie intellectualiste de la perception, qu'il considère comme éroné et la nouvelle spychologie

étudiés relèvent du champs perceptif, considéré comme point de départ de toute réflexion philosophique rigoureuse. Le recours au champs perceptif rend possible « le retour aux choses elles-mêmes » dont parlait Husserl avec ferme conviction d’aborder la vraie philosophie qui serait la reprise de l’idée ou de l’idéal antique. L’idée de philosophie chez Merleau-Ponty s’oppose à l’idée cartésienne et husserlienne prônant le « moi pur transcendantal » comme point de départ de la réflexion philosophique

PlanINTRODUCTIONI- Le traitement d’autrui dans la philosophie moderne (philosophie de la conscience) : autrui comme autre conscience ou subjectivité.II - Sartre : l’autre est indispensable à mon existence.A-L’existentialisme est un humanisme : autrui, condition de la conscience de soi.B- L’intersubjectivité et le duel des consciences.III- Le problème de la reconnaissance d'autruiA- autrui comme personneB- L'humanité en questionC- Le respect des différences : la tolérance.ConclusionBibliographie |

envoyé (par l'ensemble du corps et son déplacement dans l'espace, pas seulement la parole) → manière de modélisation (se représenter les choses) ? Qu'est ce qui fait que je perçois la situation de cette manière ? -Le miroir sans tain, la caméra, l'étude objective -L'observation et la description minutieuse des comportements -La modélisation, la construction des hypothèses, la vérification... je fais l'hypothèse de … que je partage avec les autres. Rendre concret l'analyse qu'on fait de la situation

un discours brillant et digne d'être approuvé et c'est le sophiste qui enseigne cet art de manier les mots avec aisance et habileté. Dans quel but veut-on apprendre cet art du discours ? A Athènes, cité démocratique, celui qui sait parler, tient autrui en son pouvoir en le ralliant à sa cause, qu'elle soit bonne ou mauvaise. Les Sophistes ont, ainsi, codifié toutes les procédures rationnelles de raisonnement et toutes les ressources poétiques de la langue pour émouvoir autant que pour convaincre

existence. Se demander qui l'on est c'est douter, c'est à dire rechercher la vérité sur notre existence et de ce fait penser. Je pense donc je me défini comme un sujet pensant, un néant ne pouvant pas douter. Il est donc impossible pour le sujet de ne pas réaliser qu'il existe. La conscience nous défini donc comme sujet pensant mais également comme un être unique c'est à dire que je suis moi et pas un autre. Pour se connaître et savoir qui il est, le sujet peut s'analyser lui même. Cela ne suffit

sens , à proprement parlé ne se trompe pas ; c’est mon interprétation , ma raison qui se trompe. Dès lors , qu’est-ce qui me garantit l’objectivité de ce que je perçois ? Je n’ai aucun moyens de me définir de mes sens pour voir ce qu’est le réel. Mes perceptions s’intercalent entre moi et le monde. La perception doit-elle être conçue comme pure réception d’informations venants de l’extérieur ou bien , est-elle constituée par une activité du sujet pensant ? A cette antonymie ( opposition ) , l’empirisme

De nombreux philosophes, comme Sartre, Descartes, Nietzsche, Hume ou encore Freud ont essayé à travers leur thèses bien que différentes à découvrir la source de la connaissance de l'homme. L'identité d'un l'individu peut être altéré par différents éléments comme nos relations avec autrui, notre volonté ou ce que nous ne pouvons percevoir soit l'inconscient. On peut exprimer l'idée que le temps nous fait sans cesse changer, en effet, on ne peut faire aucune similitude avec se que je fus lorsque j'était

Hume) 14 2. La conscience doit s’extérioriser dans le monde pour se comprendre (Hegel) 15 3. La conscience se constitue dans le rapport à autrui (Hegel, Sartre, Goffmann) 16 III. Approches morales 18 A. La conscience morale 18 1. La « voix de la conscience » 18 2. Conscience et conscience morale 18 3. La conscience comme indépendance à l’égard de nos instincts 18 B. Qu’est-ce qu’une personne ? 19 1. Conscience, identité et personne morale (Locke) 19 2